La clé de la chaîne sur son corps était dans la main de Laurent, ce n’est que lui qui pouvait le sauver !Margueritte a piétiné d’impatience et a dit : « Laurent, sauve-le, Je… je t’en supplie... »Laurent a souri, « Alors comment vas-tu me supplier ? Il faut être un peu sincère. »« Être sincère... » Margueritte a dit d'une voix douce.« Alors, si tu m’appelles “Chéri”. Je vais le laisser partir », a dit Laurent avec un sourire en coin.Margueritte a rougi et s'est mordu les lèvres. C'était la première fois que quelqu'un faisait une telle demande. Normalement, elle se sentait supérieure et les autres l'appelaient respectueusement « Madame Raymond ».Auguste n'a pas pu le supporter tout de suite et était sur le point de l'arrêter, mais quand il pensait que sa vie était maintenant entre les mains de Laurent, il a avalé sa salive. Ses yeux flamboyaient de colère. « Si tu ne veux pas, je vais partir », a dit Laurent avec un sourire en coin. En même temps, il a maudit dans son cœur : « c
Il y avait une certaine tristesse sur le visage de Charlotte.« Qu'est-ce qui ne va pas ? » a demandé Laurent avec un sourire.Charlotte a soupiré : « On nous a informés que grand-mère va convoquer une réunion de famille. »Laurent a froncé les sourcils.Pourquoi il y aurait une autre réunion de famille ? La grand-mère de la famille Averie, il semblait qu'elle aimait particulièrement les réunions. Que voulait-elle faire exactement ?En y pensant, Laurent a dit : « Je vais aller avec toi. »En chemin, Laurent a finalement compris pourquoi la famille aurait une autre réunion.Rodolphe avait déjà été enfermé. Il avait dit qu'il achèterait vingt pour cent des actions, mais finalement, il ne les a pas achetées. Beaucoup de gens dans la famille ont attribué la responsabilité à Charlotte et pensé que c’était à cause d’elle que la collaboration avait échoué.Les gens sont toujours égoïstes et égocentriques. Entre les intérêts et l'affection, la plupart des gens n'hésitent pas à choisir la prem
En entendant cela, Charlotte a tremblé de désespoir. En revanche, Charles et les autres Averies avaient un sourire joyeux sur les joues. Pour eux, le bonheur de cette femme pourrait être sacrifié. Ce qui importait, c'était d’utiliser l'argent de Rodolphe pour fonder une autre compagnie. Mais Laurent a éclaté de rire en entendant leur dialogue. « Pourquoi as-tu ri ? » la grand-mère s'est mise en colère. Laurent a ironisé : « Ridicule. Les Averies ne peuvent pas organiser bien la compagnie, alors, ils ont donné le tort à une femme. Et puis, pour le "futur" de la famille, vous avez même oublié les affections en sacrifiant une fille innocente. » La grand-mère était fâchée : « Ce n'est pas dans tes cordes, elle se sentirait plus heureuse au cas où elle se marierait avec Rodolphe, tout compte fait, il est meilleur que toi ! » Laurent a poussé un soupir : « À cause du fait que vos actions sont majoritairement dans la main d'autrui, alors, vous vous sentez fâchés ma
« Kai l'appelle "belle-sœur" ? Elle est infidèle à son mari ? » Les Averies regardaient Charlotte avec la bouche bée. Juste à cet instant, Kai a souri et s'est dirigé vers Laurent, puis, il s'est incliné avec plein de respecte ! « Monsieur, si je savais que Madame Averies était ma belle-sœur, je ne devrais pas faire cela. » Laurent n'a pas répondu mais en souriant. « Monsieur, je vais quitter. Je suis toujours à votre disposition. » Kai est sorti avec ses assistants. C'était brutal ! Les Averies ont repris la conscience après qu'il était sorti. « Qu'est-ce qui s'est passé ? » « 51% des actions sont à la main de Charlotte ? » La grand-mère l'a regardée avec stupéfaction, mais elle n'a rien dit. Charlotte, avec des dossiers dans la main, a tressailli. Elle se sentait dans un rêve. « Laurent, quelle est la relation entre Monsieur Mahut et toi... » Elle a demandé avec pleine de curiosité. Laurent a répondu aisément : « Nous sommes des ami
Il y avait trois ans, Laurent avait été exilé, et ses parents avaient été aussi chassés. Ces années, ils habitaient dans la campagne, et Laurent leur rendaient visite chaque semaine. « Laurent, j'ai entendu dire que ton oncle t'a donné le Saphir, alors, je veux venir le voir. » Léonard était ravi en disant. Célia a poursuivi : « Laurent, es-tu vraiment le directeur de Saphir ? » Laurent a hoché la tête en exprimant : « Papa, maman, j'ai concilié avec la famille. C'est mon oncle qui m'a donné la compagnie. » Et puis, il a rassuré ses parents en souriant : « Je sais bien que vous vous inquiétez pour moi ces dernières années, mais tout est passé. Je compte vous prévenir ces jours, et puis, vous êtes venus. » Léonard a soupiré avec plein d'émotion : « Tant mieux, nous sommes rassurés. » Laurent a hoché la tête : « Papa, maman, si vous êtes venus, vous pourriez rester ici. » La campagne était sereine et pure, mais tout compte fait, ce n'était pas pratique. Lé
Saphir, au bureau du président. Trois heures plus tard, la pilule de ciel a été déjà préparée. En plus, Laurent a excellé à préparer la pilule de ciel grâce à l’expérience. Il a préparé cinq pilules cette fois. Prenant les pilules de ciel, le téléphone de Laurent a sonné. « Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi les gens m’appellent toujours ? » « Il ne parait pas qu’ils veuillent acheter les pilules de ciel ? » « Combien de gens auxquels Jérôme en a parlé ? » Voyant le numéro inconnu d’une ligne fixe, Laurent a froncé les sourcils et a décroché. « Allô ? C’est de la part de Laurent Travers ? Ici c’est le service d’urgence de l’hôpital de ville, vos parents sont dans notre hôpital et il faut opérer tout de suite. Venez au plus vite, s’il vous plaît », Quelqu’un a dit rapidement de l’autre côté. « Comment ? » Laurent a tremblé et a pensé qu’il a mal entendu. « Qu’est-ce que tu as dit ? Qu’est-ce qui s’est passé chez mes parents ? » a demandé Laurent à haute voix. L’autre partie é
Tous les gens ont vu Laurent comme s’ils ont vu un diable ! « Qu’est-ce que tu fais ? Garde ! Appelle au garde de sécurité, chasse tous les trois ! » L’infirmière était effrayée évidemment. Les vêtements de Laurent étaient aussi bon marché d’un seul coup d’œil, voulait-il menacer les autres ? « C’est ça, pourquoi tu cries à haute voix à l’hôpital ? » « Tu es si pauvre, tu voudrais que nous sauvions ton père gratuitement ? » Plusieurs médecins ne pouvaient s’empêcher de parler. Cela dit, une dizaine de gardes de sécurité sont venus d’un air menaçant. Vêtus de l’uniforme, ils étaient tous robustes et avaient l’air diabolique et hargneux. Voyant les gardes de sécurité, l’infirmière a reniflé et a dit en indiquant Laurent : « C’est lui qui provoque des troubles. » Les gardes de sécurité dans le troisième hôpital de la Cité Mer de l’Est étaient tous issus de la Société de Sécurité du Loup Noir ! Qui était le directeur de la Société de Sécurité du Loup Noir ? Jérôme et Jeanne. Tous
Entendu parler par l’infirmière, la foule a poussé de nouveau un soupir. « Il n’a pas d’argent pour sauver son père. » Inès a entendu les gens discuter et a vu Laurent et a dit : « C’est pas grave, on sauve le patient en premier, je crois en lui. » Inès a entendu parler au mariage que comme deuxième jeune maître, Laurent avait investi 3 milliards d’euros pour financer sa famille ! Comment était-il possible qu’il n’ait pas 700 mille euros ? L’infirmière de côté était un peu inquiète. Laurent ne semblait pas riche, pourquoi Mlle Inès le connaissait-elle ? Mlle Inès était très gentille, s’ils ont sauvé le patient mais cet homme pauvre n’a pas payé, c’était Mlle Inès qui devait financer l’opération ! Mais puisque Mlle Inès a insisté de faire l’opération, les autres médecins et infirmières ne pouvaient rien dire. Ils n’avaient pas pu faire autrement que de pousser le malade dans la salle d’opération. « Ne t’inquiète pas, je vais faire tous mes efforts », a dit Inès à Laurent et y est