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Chapitre 696
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Mon Mari Puissant Chapitre 697
D'un autre côté, dans la Cité Mer de l'Est, au Pavillon d'Étoiles. L'armée de 200 000 soldats la Terre de Ciel avait déjà attaqué le Pavillon d'Étoiles !Il y a juste un moment, les gens de la Porte céleste et les Six écoles s'entretuaient. L'armée de la Terre de Ciel avait profité du chaos pour attaquer la Terre de Sol par surprise.Que ce soit la Porte céleste ou les grandes écoles, personne ne s'attendait à ce que l'armée de la Terre de Ciel profite de l'occasion pour attaquer. Lorsque l'ennemi a attaqué, la Porte céleste et les grandes écoles ont dû temporairement mettre de côté leurs rancunes actuelles et s'unir pour résister à l'armée de la Terre de Ciel, mais dans leur hâte, ils n'ont pas pu vaincre l'armée de la Terre de Ciel ! Après une lutte acharnée, tout le monde était presque incapable de se retenir. Cependant, aucun d'entre eux n'a reculé, ils ont serré les dents et résistaient jusqu'à la mort ! Car toutes les gens des grandes écoles savaient clairement dans leur cœur que
Mon Mari Puissant Chapitre 698
Au début, Laurent était un peu désemparé face à ces deux gros insectes venimeux, mais petit à petit, il s'est senti à l'aise avec eux. Il a découvert que ces deux insectes venimeux, bien que leur armure dorsale soit très dure, mais leurs estomacs étaient très mous.« Pouf ! » Finalement, Laurent a trouvé sa chance et s'est couché au sol d'un seul coup et a poignardé de son épée l'abdomen du scarabée. Le scarabée s'est débattu en quelques secondes, puis n'a plus bougé. En voyant cette scène, Laurent avait un sourire sur le visage et après quelques minutes à se battre avec un autre scarabée, il a trouvé une autre opportunité et a utilisé la même méthode pour le poignarder dans l'estomac avec son épée.Dans la seconde suivante, alors que les deux coléoptères sont morts, deux élixirs d'essence sont également tombés de leur corps. Ces deux élixirs d'essence étaient évidemment plus gros que les précédents ! Laurent les a saisis rapidement et les a poussés directement dans sa bouche. « Buzz !
Mon Mari Puissant Chapitre 699
Laurent, il... Il n'est pas mort ?À cet instant, les visages des Sept Fées étaient remplis d'incrédulité !Ce... Comment cela pouvait-il être possible ? Pendant des milliers d'années, quiconque était jeté dans la Tour de la Mort, quelle que soit sa force, était condamné à mourir ! Personne ne pouvait s'échapper, mais ce Laurent, non seulement il avait survécu, mais... Les fluctuations de son énergie interne ont fait trembler la Tour de la Mort jusqu'à ses fondations ! Ce... Qui l'aurait cru s'il ne l'avait pas vu de ses propres yeux ?Pour une raison quelconque, la Petite Fée était inexplicablement exaltée en regardant Laurent ne pas mourir.« Laurice ! » Par conséquent, à ce moment précis, une silhouette a trébuché et s’est approchée. C'était Josse Neveu ! Ces jours-ci, Josse séjournait dans la chambre d'amis du Palais de Fées. Il n'avait plus de force maintenant et nulle part où retourner, alors Laurice a fait une exception et l'a laissé rester quelques jours.Laurent était piégé da
Mon Mari Puissant Chapitre 700
C’était Laurent !« Dégage, ne me touche pas ! » Rebecca a dit froidement.« Ma chérie, comment puis-je rester là et te regarder tomber au sol. » a dit Laurent avec un sourire en tenant son corps.« Toi ! Va mourir ! » Le corps délicat de Rebecca a tremblé, et elle était en colère en poignardant Laurent avec sa longue épée à la main. Cependant, avant qu'elle ne puisse le lancer, Laurent lui a saisi le poignet !« Que fais-tu, assassiner ton propre mari ? » Laurent était délibérément en colère contre elle. En entendant ses mots, le visage de Rebecca est devenu rouge ! Ce bâtard, pourquoi il n’avait pas honte ? Rebecca voulait le tuer, mais elle ne pouvait tout simplement pas se battre, et à ce moment-là, elle était déjà fermement sous le contrôle de Laurent, donc elle ne pouvait que se mettre en colère !À ce moment, le reste des six fées, étaient toutes choquées aussi !Laurent a étreint Rebecca et s'est lentement posé sur le sol. À ce moment, il a également ôté son sourire et a parlé
Mon Mari Puissant Chapitre 701
Chapitre 701De l'autre côté, Pavillon d'Étoiles de la Cité Mer de l'Est.À cet instant, près du Pavillon d'Étoiles, le sol était déjà taché de sang, alors que les disciples de diverses grandes écoles tombaient les uns après les autres dans une mare de sang !Les deux continents se sont livrés une bataille acharnée pendant trois jours et trois nuits ! Pendant ces trois jours, il y avait eu des pertes dans toutes les écoles, à l'origine il y avait plus de 200 000 personnes, mais après trois jours de bataille, il n'en restait plus que 5 000 !D'un autre côté, bien que l'armée de la Terre de Ciel ait perdu la moitié de ses effectifs, il restait encore 100 000 soldats ! 5 000 soldats contre 100 000 soldats, c’était comme frapper une pierre avec un œuf ! Les grandes écoles de la Terre de Sol ne pouvaient plus résister, mais ces 5 000 soldats se tenaient encore !Toutes les grandes écoles de la Cité Mer de l'Est s'étaient également précipitées pour les soutenir à ce moment-là. Par exemple, l
Mon Mari Puissant Chapitre 702
Mais au même moment, plusieurs soldats de la Terre de Ciel en profitaient pour se précipiter en avant, de longues épées à la main, poignardant Vent à l'unisson ! « Puff ! Puff ! »La bouche de Vent était pleine de sang ! Son corps a été poignardé plusieurs fois ! À cet instant, Vent ne savait pas où il avait trouvé la force d'enfoncer son énergie et de retirer toutes les lances qui étaient sur son corps ! Au même moment, son autre main s'est violemment élancée, écrasant les soldats de la Terre de Ciel qui l'avaient poignardé, les uns après les autres !Vent a rugi, s’est levé en titubant, il avait le visage pâle, mais toujours imperturbable face aux soldats de la Terre de Ciel devant lui !« Allez ! De quoi d'autre es-tu capable, allez ! » Les yeux de Vent étaient rouges et il hurlait désespérément !Les soldats de la Terre de Ciel un par un, se sont regardés avec incrédulité ! Un soupçon de mépris s'est levé dans leur cœur. « Ce... Cet homme n'avait-il pas peur de la mort ? Il était s
Mon Mari Puissant Chapitre 703
Le visage de Laurent était sans expression et il n'a pas prêté attention à Sorcière de Bonheur. À ce moment-là, il était rempli de colère !Debout sur le dos de l'Aigle de Neige, Laurent regardait le sol, il pouvait voir que les frères de la Porte céleste se sont allongés sur la montagne, morts et blessés !« Ce qui a blessé mes frères, vous méritez tous de mourir ! » Une voix froide est sortie de la bouche de Laurent, et l'instant d'après, Laurent a levé violemment ses mains ! On pouvait voir neuf longs dragons en l'air, encerclant le côté de lui !« Les neuf dragons célestes ! » Laurent a presque sifflé en pointant le camp de la Terre de Ciel ! Un rugissement de dragon fort et clair est sorti alors que les neuf dragons dorés s'abattaient ! Directement au sol !En un instant, sous le déchaînement des neuf dragons dorés, plusieurs centaines de soldats de la Terre de Ciel ont poussé un cri de misère et sont tombés dans une mare de sang !À ce moment, les experts de la Terre de Sol étaie
Mon Mari Puissant Chapitre 704
À ce moment-là, les yeux de Laurent étaient incomparablement rouges, et sous l'effet de sa puissance interne, son Épée de sang clignotait en rouge, tel un dragon du sang, tranchant à la vue des gens !« Si la Porte Céleste n'est pas détruite, la bataille ne s'arrêtera pas, tuer ! »« Tuez ! Tuez ! Tuez ! » Des centaines de disciples de la Porte céleste devenaient fous, suivant Laurent de près !La différence de nombre entre les deux camps était si grande qu'en seulement dix secondes, des dizaines de disciples supplémentaires de la Porte Céleste étaient tombés !À ce moment-là, non loin du champ de bataille, les disciples de la famille Travers se tenaient là. Ils prétendaient être venus pour soutenir la Cité Mer de l'Est, mais ils se cachaient ici, ils avaient pas du tout de l'intention d'aller au combat.Maintenant qu'il voyait la Terre de Sol ne pouvait plus se soutenir, Alex Girard a serré une longue épée, son corps s'est agité, et il a appelé Jules Travers : « Grand frère, allons-no
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