« Oui, Laurent, tu n’as plus de force interne. Si la Porte céleste n’est pas venu, tu énerveras Océan. Et nous serons aussi tués ! »« Tu n’es que la matrilocalité. Tu n’as pas la force d’essayer d’être un héros. »En écoutant ces railleries, Laurent a exprimé qu’il ne s’en souciait pas : « Lorsque ce groupe de personnes du Palais de Sablemer vous a encerclé, vous avez tous eu peur. Quand vous avez vu Luna et les filles se faire brutaliser, vous n’avez pas osé dire un mot. Je n’ai pas de force interne maintenant, mais j’ose au moins les aider. Je suis un bon à rien, mais vous êtes encore pire que moi. »« Vous… » En entendant ces mots, la foule est devenue muette.« Arrêtez. » Luna a ri et s’est assise près du feu de camp, « Tout le monde a faim, mangeons du poisson grillé… » Elle a donné à Laurent le poisson rôti : « Laurent, merci. »Luna a regardé Laurent de haut en bas. Cet homme était un peu intéressant. Bien qu’il n’ait aucune force, il a quand même osé l’aider. Il était vraiment
« Chef, je voudrais être à votre disposition ! Je voudrais joindre à la Porte céleste ! » À ce moment-là, le Huitième Malfaiteur n'en pouvait plus, et s'est agenouillé par terre. « Je suis aussi à votre disposition ! » « Et moi... » En deux minutes, les Dix Malfaiteurs se sont agenouillés l'un après l'autre. « Libère-les ! » Laurent a ri, puis, Tonnerre s'est précipité vers eux pour les libérer. Laurent était tout à fait content, et a levé la main : « Mes chers frère, c'est grâce à vous tous que la Porte céleste pourrait être si bonne ! Réjouissez de ce repas ! À votre santé ! » Tout le monde a levé le verre. « À votre santé ! » Des milliers d'hommes ont cri et ont bu. Tous se réjouissaient de ce repas, véritablement, l'amitié entre les hommes se fondait sur la table. Les hommes étaient ivres, et se vantaient ensemble. Bien qu'ils soient nouveaux, les Dix Malfaiteurs, Océan et Fleuve ont noué l'affection avec les frères et ont bu, certains frères gisaien
Sentant l'indifférence de Laurent, Margueritte s'est mordue les lèvres avec les larmes dans les yeux : « Cher frère, désolée, je ne le veux pas... mais mon professeur m'a obligé, je n'ai pas de choix... » Elle a ajouté : « Je veux te voir, je veux te demander le pardon, d'accord ? » Laurent est sorti des toilettes, s'est assis sur la chaise et a siroté du vin sans rien dire. « Cher frère, cher frère... » Margueritte était noyée dans le regret, « Cher frère, désolée, pourrais-tu me voir... Sinon, je le regrette de toute la vie et je vais suicider. » Laurent a poussé un soupir : « Où ? » Il ne voulait pas la voir, mais ayant entendu cela, il s'est édulcoré. Margueritte était excitée : « Très bien ! » Elle était comme une petite fille car elle se sentait toujours regrette, elle avait peur que Laurent ne veuille pas la voir, ainsi, à ce moment-là, elle était tout à fait contente. « Dans le Bar de Rêve Bleu ! » Elle a décroché le téléphone. Le Bar de Rêve
Ayant entendu que Laurent la pardonnait, elle était tout à fait contente, mais juste à ce moment-là, le téléphone a sonné. Une fois qu'elle avait jeté un coup d'œil sur l'écran, elle était paralysée, c'était Jade. Les relations entre Jade et elle étaient mauvaises, ainsi, elle pensait que c'était Sorcière de Bonheur qui la téléphonait. En y pensait, elle a accroché le téléphone, et a entendu la voix indifférente de Sorcière de Bonheur : « Margueritte. » « Madame, qu'est-ce qui s'est passé ? » Curieuse, elle a demandé doucement. « Margueritte, j'ai entendu dire que Laurent était revenu dans la Cité Mer de l'Est, tu le sais ? » Sorcière de Bonheur a dit. Margueritte a tremblé de stress, elle ne pouvait pas même saisir le portable. « Pourquoi sait-elle que Laurent est revenu ? Sait-elle encore que je sois avec lui... Elle le déteste le plus. » En y pensant, elle a tressailli : « Je... » Sorcière de Bonheur l'a interrompue : « Margueritte, tu es l'adepte la plus
En même temps, Laurent est sorti des toilettes et s'est dirigé vers la salle tout en sifflant. Une fois dans le couloir, il a entendu une voix familière. « Laurent ? » Il s'est tourné, et a aperçu que dans une chambre, il y avait une dizaine de belles filles, c'étaient justement Mélodie, Monique et leurs amies. Mélodie s'est levée et a souri : « Laurent, quelle chance ! » Après la réunion des camarades, elle était avec des amies, et par hasard, elle a rencontré Laurent. À ce moment-là, les filles le regardaient aussi. « Je m'en souviens, c'est lui. » « Dans mon portable, il y a encore la vidéo qu'il a lavé les pieds à Monique... » Entouré par les discussions, Laurent a souri avec l'amertume. À sa surprise, les filles n'ont pas encore oublié qu'il avait lavé les pieds à Monique. « Laurent, assieds-toi. » Mélodie a dit doucement. Sur la plage, les hommes du Palais de Sablemer l'avaient humiliée, Laurent avait été le seul à l'aider de toute la classe, ainsi, el
Monique, restée muette, se sentait satisfaite : « Laurent, tu dois être ivre et gésir ici pour toujours ! » Entouré par une dizaine de filles, Laurent ne pouvait pas même compter combien il avait bu, son visage était tout à fait rouge, près de lui, il y avait beaucoup de boîtes vides. Laurent n'en pouvait plus, paralysé par l'alcool, il s'est couché sur la chaise et s'est endormi. Les filles ont secoué le bras à Laurent : « N'arrête pas ! » « Tu es ivre, n'est-ce pas ? » « Tant pis ! » En bavardant, les filles se sont levées et ont dit à Mélodie : « Mélodie, partons, Laurent a trop bu. Allons voir un film ensemble. » À ces mots, les filles se sont dirigées vers la porte. Désolée, Mélodie s'est tournée vers Margueritte : « Pardon, Madame Raymond, elles sont toujours comme ça. Laurent est ivre maintenant, j'espère qu'elles ne vous dérangent pas. » Margueritte a répondu : « De rien, nous voulons seulement tuer le temps. Venez voir le film, je l'accompagne. »
Les clients ne pouvaient pas entrer dans la salle de surveillance. Margueritte a tourné le poignet, et a sorti une aiguille argentée pour couper la ligne électrique de la surveillance. Elle était familière de cela, car elle devait élucider les affaires criminelles tous les jours avec la surveillance, pour le nouveau système, il suffisait de couper la ligne pour le paralyser et pour éliminer toutes les vidéos. « Je suis désolée, Laurent, je ne le veux pas... Mais je ne veux pas désobéir les ordres de mon professeur, je n'ai pas de choix... » Elle a murmuré devant le bar, et a ouvert la porte de sa BMW, s'est assise, puis a sorti l'Armure du Ver à Soie Céleste et La Force de Sept Couleurs. « Laurent, mon professeur a dit que La Force de Sept Couleurs est vraiment importante et qu'elle ne doit pas dans la main des adeptes des autres écoles... » Margueritte s'est mordu les lèvres, « Tu as des relations avec le Palais Immortel, alors, nous, Bellatrix, voudrions les garder à ta place
« C'est sans doute à cause d'elle que ses amies ont bu avec moi, si je suis ivre, elle pourra me voler le livre ! » En y pensant, il était énervé, et a donné un coup de fil à Monique. Quand elle avait sauvé son grand-père, elle lui avait donné son numéro de téléphone. Puis, Laurent a dit avec la colère, « Monique, tu ne peux pas faire ça ! C'est ton grand-père qui m'a donné La Force de Sept Couleurs, pourquoi l'as-tu volée ? » « Qu'est-ce que tu as dit ? » Monique était en train de voir un film avec les amies, ayant entendu les critiques, elle s'est mise aussi en colère, « Imbécile. » À ces mots, elle a subitement décroché le portable. Serrant les poings, Laurent se sentait de plus en plus fâché. À ce moment-là, une fois qu'elle avait obtenu le livre, Margueritte s'est précipitée dans la villa des Travers. Elle est entrée dans la salle, et a vu Sorcière de Bonheur qui était assise sur la chaise et qui sirotait du thé. Certaines adeptes du Bellatrix restaient debout près