Près de lui, une jeune femme prenait sa main. Elle était plus grande que lui. « Jacqueline, veux-tu boire avec moi ? » Côme s'est approché avec un air ironique. Il a promené ses yeux sur elle, tout en négligeant Laurent. Il a pris cet homme avec des lunettes noires pour un garde du corps. Jacqueline s'est mordu les lèvres sans rien dire. Elle s'est souvenue que ce gros homme avait fait des choses obscènes devant elle, elle le détestait. À la vue de ses gestes, Côme a été irrité : « Jacqueline, tu es libre maintenant, oui ? Tu n'as aucune coopération avec les autres compagnies, tu ne peux pas te présenter ni dans les films ni dans les publicités, sais-tu pourquoi ? » À ces mots, il avait un air arrogant. Jacqueline a pâli : « c'est à cause de toi. » Laurent a froncé aussi les sourcils. Pendant cette période, Jacqueline n'avait reçu aucune invitation et n'avait rien fait. Anastasia était une nouvelle star, mais elle était toujours occupée. Toutefois, même
Jacqueline avait aussi un air stressé, elle s'est mordu les lèvres : « Laurent, halte-là. » Laurent a souri : « Ne t'inquiète pas, je ne vais pas me bagarrer avec lui. » « Laurent, non », Anastasia a ajouté d'une voix douce. Tout compte fait, les deux gardes de Côme faisaient près de deux mètres. Si Laurent y allait, il serait battu. « Halte-là, Laurent », Anastasia a répété. « Ne vous inquiétez pas. » Laurent s'est dirigé vers les toilettes à grands pas. À la vue de cela, elles se sont regardées. Chacune avait une mine stressée. Laurent s'est dirigé vers les toilettes, et une fois entré, il a vu Côme et ses deux gardes. Côme s'est avancé : « Mec, je te pardonnerai si tu t'agenouilles. » D'après lui, ce jeune allait lui demander pardon au cas où il ne serait pas fou. Cette fois-ci, il avait tort. Laurent a ricané et s'est avancé vers les toilettes. Il a détaché le zip, et a dit en urinant : « Oui, quelqu'un doit demander pardon à un autre, ma
Rentrées dans la Galerie de soirée, Jacqueline et Anastasia étaient encore rougies, cela les a rendues plus jolies. Gisant aux toilettes, Côme a été trempé. Laurent a porté ses pantalons et a souri : « Désolé monsieur, mais c'est toi qui as fait des troubles lorsque j'urinais. » « Je vais te tuer, bâtard ! » Côme s'est immergé dans la haine, et a eu presque des larmes dans les yeux. En guise de président de la Compagnie de Concord, il n'avait jamais été humilié comme cette fois-ci. Il voulait se venger à tuer ce garçon. Un sourire a trahi sur les joues de Laurent : « Ne sois pas si vicieux, gros ! Je vais te laver maintenant. » À ces mots, il a saisi le collet à Côme, et l'a noyé dans les toilettes. Paniqué et enragé, il n'a pas repris la conscience et a bu des urines. Il s'est vautré sous la main de Laurent comme un gargouille en péril de mort. Toutefois, son cou était dans la main de Laurent, il avait beau se débattre. Et puis, il a été paralys
Laurent se sentait ridicule en entendant cela, il a dit avec un sourire : « Voudriez-vous me dire l'identité de cette demoiselle, qui pourrait rendre toute ma vie misérable ? » La secrétaire a poussé un soupir. « Ce garde est fou ou pas ? Il peut demander vite le pardon de Mademoiselle Perin, mais, il résiste encore ici. » Elle a secoué la tête : « Attention, elle s'appelle Réa Perin, la star la plus connue dans la Compagnie de Concord. Si tu l'offenses, tu perdras ton boulot. » « La star dans la Compagnie de Concord... votre patron a à peine bu mon urine. » Laurent a ricané : « Peu importe, c'est toi qui as marché à l'encontre de moi. Je ne te demande pas mon patron, tu ne dois pas être trop irraisonnable. » Il avait donné des leçons au directeur de la Compagnie de Concord, alors, il n'avait pas peur d'une star dans cette entreprise. Il y avait déjà une foule autour de lui, et les personnes ont secoué la tête. « Ce mec va perdre son boulot. Un garde ne peut
À vrai dire, Laurent ne s'intéressait pas au contenu de la soirée. Dans cette fête, il y avait simplement des chansons des stars. Laurent a cherché dans la Galerie et n'a pas trouvé Jacqueline et Anastasia, alors, il a su qu'elles étaient dans la cantonade pour préparer leurs spectacles. Il ne voulait plus voir cette soirée, et il avait l'intention de rentrer chez lui, de changer les vêtements, de prendre une douche et de s'endormir. Une fois ayant quitté le Bâtiment de la station de télévision de la Cité Mer de l'Est, Laurent a allumé une cigarette devant la porte. Il était déjà huit ou neuf heures du soir, mais dans la rue, les lustres s'étincelaient, beaucoup de gens y faisaient la promenade. Laurent a voulu appeler un taxi, mais juste à cet instant, il a vu deux personnes anormales près d'une voiture de luxe. Ces deux personnes avaient une valise dans la main, l'une était grosse, l'autre était mince. Ils ont discrètement posé la valise derrière la voiture et ont rap
« Vous ne pouvez pas élever délibérément le prix devant une jeune fille. » Immergés dans les discussions, le gros et le mince se sont regardés, et avaient encore un air banal. En guise d'escrocs professionnels, ils avaient déjà préparé. En fait, le certificat était faux, toutefois, les fragments du vase étaient vrais, c'étaient sûrement les fragments d'un vase dans l'époque de Louis XIV ! Cependant, ils ne les avaient achetés qu'à un mille euros. Ces deux frères jouaient toujours ces intrigues derrière des voitures de luxe, et au cas où le conducteur démarrerait la voiture et que la valise soit tombée par terre, ils disaient que le conducteur avait cassé le vase. Les victimes étaient fâchées, mais ils ne savaient pas comment se débrouiller. « Vous ne nous croyez pas ? Y a-t-il des spécialistes ici, vous pourriez vérifier notre vase », le mince a promené ses regards autour de lui et a dit à haute voix. « Je travaille au Musée de la Cité Mer de l'Est, je peux le v
« Vous avez raison, si ce vase n'est pas cassé, il vaudra deux millions d'euros », a dit Laurent, « mais, vous avez négligé une question importante: quand ce vase a-t-il été cassé ? » Entendant cela, la mine de Paul a changé, mais, il n'a rien dit. « Jeune homme, tu te sens plus professionnel que ce monsieur travaillant dans le musée, non ? » « Voyez ses vêtements ! Il est sans doute un agent de garde, et... quelle mauvaise odeur ? Il a à peine nettoyé les toilettes, il est à la fois un garde et un balayeur ? » La foule a éclaté de rire, à vrai dire, tout le monde a senti une odeur piquante. Seulement Liliane n'a pas ri, et a regardé attentivement Laurent. Laurent a accroupi et pris un fragment dans la main : « Si vous êtes un spécialiste sur le vase des Bourbons, vous n’êtes pas sans savoir que cette antiquité est faite de porcelaine et de sol, alors, l'intérieur de ce vase est un peu jaune. S'il est cassé et qu'il s'expose en plein air, la couleur deviendra un
« Tant pis, Margueritte est la sœur de ce garçon ! » « Quittons ici ! »" Paniqués, les deux escrocs ont couru dans la foule et ont échappé. À la vue de cela, Laurent ne s'empêchait pas de rire. « Allô ? Mon petit frère, je ne t'entends pas, qu'est-ce qui s'est passé ? » Margueritte a dit dans le téléphone. Puisque les deux escrocs se sont enfuis, Laurant a souri : « Rien. » Et puis, il a décroché le téléphone sans exprimer. Margueritte a piétiné de colère, « Laurent m'a téléphoné à peine nuit, et il n'a pas dit ce qui s'était passé. Ridicule ! » À ce moment-là, la foule devant le Bâtiment de la station de télévision est dispersée. « Merci. » Liliane s'est approchée de lui en saluant très bas de Laurent. Heureusement, cet homme était apparu, sinon, elle aurait été trompée sans se rendre compte. Laurent a souri : « De rien. » En disant, il a regardé Liliane, qui était à la fois naïve et adorable. Liliane se sentait un peu honteuse et timide