À vrai dire, Laurent ne s'intéressait pas au contenu de la soirée. Dans cette fête, il y avait simplement des chansons des stars. Laurent a cherché dans la Galerie et n'a pas trouvé Jacqueline et Anastasia, alors, il a su qu'elles étaient dans la cantonade pour préparer leurs spectacles. Il ne voulait plus voir cette soirée, et il avait l'intention de rentrer chez lui, de changer les vêtements, de prendre une douche et de s'endormir. Une fois ayant quitté le Bâtiment de la station de télévision de la Cité Mer de l'Est, Laurent a allumé une cigarette devant la porte. Il était déjà huit ou neuf heures du soir, mais dans la rue, les lustres s'étincelaient, beaucoup de gens y faisaient la promenade. Laurent a voulu appeler un taxi, mais juste à cet instant, il a vu deux personnes anormales près d'une voiture de luxe. Ces deux personnes avaient une valise dans la main, l'une était grosse, l'autre était mince. Ils ont discrètement posé la valise derrière la voiture et ont rap
« Vous ne pouvez pas élever délibérément le prix devant une jeune fille. » Immergés dans les discussions, le gros et le mince se sont regardés, et avaient encore un air banal. En guise d'escrocs professionnels, ils avaient déjà préparé. En fait, le certificat était faux, toutefois, les fragments du vase étaient vrais, c'étaient sûrement les fragments d'un vase dans l'époque de Louis XIV ! Cependant, ils ne les avaient achetés qu'à un mille euros. Ces deux frères jouaient toujours ces intrigues derrière des voitures de luxe, et au cas où le conducteur démarrerait la voiture et que la valise soit tombée par terre, ils disaient que le conducteur avait cassé le vase. Les victimes étaient fâchées, mais ils ne savaient pas comment se débrouiller. « Vous ne nous croyez pas ? Y a-t-il des spécialistes ici, vous pourriez vérifier notre vase », le mince a promené ses regards autour de lui et a dit à haute voix. « Je travaille au Musée de la Cité Mer de l'Est, je peux le v
« Vous avez raison, si ce vase n'est pas cassé, il vaudra deux millions d'euros », a dit Laurent, « mais, vous avez négligé une question importante: quand ce vase a-t-il été cassé ? » Entendant cela, la mine de Paul a changé, mais, il n'a rien dit. « Jeune homme, tu te sens plus professionnel que ce monsieur travaillant dans le musée, non ? » « Voyez ses vêtements ! Il est sans doute un agent de garde, et... quelle mauvaise odeur ? Il a à peine nettoyé les toilettes, il est à la fois un garde et un balayeur ? » La foule a éclaté de rire, à vrai dire, tout le monde a senti une odeur piquante. Seulement Liliane n'a pas ri, et a regardé attentivement Laurent. Laurent a accroupi et pris un fragment dans la main : « Si vous êtes un spécialiste sur le vase des Bourbons, vous n’êtes pas sans savoir que cette antiquité est faite de porcelaine et de sol, alors, l'intérieur de ce vase est un peu jaune. S'il est cassé et qu'il s'expose en plein air, la couleur deviendra un
« Tant pis, Margueritte est la sœur de ce garçon ! » « Quittons ici ! »" Paniqués, les deux escrocs ont couru dans la foule et ont échappé. À la vue de cela, Laurent ne s'empêchait pas de rire. « Allô ? Mon petit frère, je ne t'entends pas, qu'est-ce qui s'est passé ? » Margueritte a dit dans le téléphone. Puisque les deux escrocs se sont enfuis, Laurant a souri : « Rien. » Et puis, il a décroché le téléphone sans exprimer. Margueritte a piétiné de colère, « Laurent m'a téléphoné à peine nuit, et il n'a pas dit ce qui s'était passé. Ridicule ! » À ce moment-là, la foule devant le Bâtiment de la station de télévision est dispersée. « Merci. » Liliane s'est approchée de lui en saluant très bas de Laurent. Heureusement, cet homme était apparu, sinon, elle aurait été trompée sans se rendre compte. Laurent a souri : « De rien. » En disant, il a regardé Liliane, qui était à la fois naïve et adorable. Liliane se sentait un peu honteuse et timide
Jeanne l'a regardé en souriant : « Oui, c'est ça. Toutefois, pour te remercier, je t'ai aussi donné une herbe de renforcement sans laquelle tu ne deviendrais jamais un adepte, alors, je ne te dois plus. » Impuissant, Laurent a souri avec l'amertume : « Si tu ne me dois plus, pourquoi tu m'as pincé et m'as amené ici ? » Jeanne a siropé du vin, et a répondu lentement : « Tu n'en sais rien, ou tu te freins d'être idiot ? Mon frère a envoyé les gens pour arracher la femme de Nino, mais, tu les as empêchés. Oses-tu te mêler aux affaires de nos Sanchez ? » À ces mots, elle le regardait avec mépris, et l'ambiance dans le bureau est devenu aussi sombre et étouffante. « C'est à cause de ça. » Laurent a souri, et l'a regardée directement : « Nino est mon ami, sa femme est comme ma sœur. Je dois la sauver. » Jeanne est devenue sombre, et a élevé brutalement son verre. Puis, elle a arrosé du vin sur le visage de Laurent. « Merde... » Laurent a murmuré et s'est mis u
Alors, Jeanne avait utilisé tous ses maillages et ses forces pour partir à la recherche de la pilule de ciel, toutefois, ses efforts avaient été en vain. Il y avait quelques jours, au cours de l'enchère Lusson-Lusson, une pilule de ciel avait été vendue à cinq milliards d'euros. Jeanne n'avait pas participé à cette enchère, et une fois informée, elle avait été noyée dans le regret. Pour devenir un guerrier, cinq milliards d'euros n'étaient pas un problème ! Même si une pilule coûtait cinquante milliards d'euros, elle voudrait vendre sa résidence, sa voiture et sa compagnie pour l'acheter ! Franchir la barre était un ultime rêve pour les adeptes. À sa surprise, Laurent avait plusieurs pilules de ciel ! Même les six écoles n'avaient pas de pilules de ciel, alors, à cet instant, Jeanne a été excitée. À ce moment-là, Lauret a ricané et a échappé à sa main, ensuite, il a posé des pilules dans la bouche et les ont avalées. « Qu'est-ce qu'il a fait ! » Jeanne a tressai
Jeanne s'est mordu les lèvres, elle ne pouvait pas obtenir ce qu'elle briguait, la pilule de ciel, bien qu'elle soit devant elle. « Je peux faire d'innombrables des pilules de ciel. » Laurent a souri, « Mais, je ne veux pas les donner à n'importe qui. » « Je te prie de m'en donner une... » Jeanne a perdu son attitude arrogante en le suppliant. Un sourire a trahi sur le visage de Laurent, et il se freignait d'aller prendre la dernière pilule de ciel. « Non ! » Jeanne a été paralysée, « je te prie, ne la mange pas, donne-la-moi... j'ai tort, je ne dois pas te maltraiter comme ça, je ne dois pas te donner des coups de fouet, c'est de ma faute... » Laurent a souri et s'est assis sur la chaise : « Toutefois, c'est toi qui m'as donné des coups, comment faire ? » « Tu... tu peux me donner aussi des coups de fouet... » Jeanne a baissé la tête, elle ne voulait pas non plus dire cela, toutefois, devant la pilule de ciel, elle devait abandonner son estime d’elle. « Te
« Si je pouvais me plonger dans sa tendresse, seulement un moment, je voudrais être condamner à la mort. » Entourée par les regards de son entourage, Charlotte se sentait mal à l'aise. « Où est "Monsieur Duhamel" ? Il n'est pas encore venu. » En y pensant, elle a entendu le bruit du moteur, et puis, une McLaren est venue. Puis, un jeune homme est descendu, il était beau, avec un visage raffiné et des traits statuesques, il était comme un prince dans les contes de fées. Cet homme, portant un costume, était gentil et élégant. Les yeux de plusieurs filles ont étincelé à la vue de lui. « C'est un prince ! » En regardant ce jeune homme s'avançant vers elle directement, Charlotte a aussi souri. « C'est sans aucun doute "Monsieur Duhamel", il est si jeune et beau, et sa voiture coûte au moins quelques millions d'euros. » « Mademoiselle Averie, bonjour. Je m'appelle Malo Duhamel, soit "Monsieur Duhamel" », le jeune homme s'est approché d'elle, et lui a dit en so