Pouf ! Robin a heurté le bureau et a tombé par terre, il s’est retenu de crier de douleur et a regardé avec appréhension : « M. Gabriel, je... » « Tais-toi. » Gabriel a gourmandé avec froideur : « Robin, j’aurais de grands espoirs pour toi, mais tu me déçois. Tu n’occupes plus le poste de directeur. » « M. Gabriel... » Entendant cela, Robin a tremblé et s’est effondré. En ce moment, Gabriel a toisé Inès de la tête aux pieds : « Comme médecin, il faut sauver le patient avant tout, tu as bien fait dans cette affaire. Depuis maintenant, tu es directrice de l’hôpital. » « Ah ? » Inès a tremblé et ses jambes se sont dérobées sous elle. Elle s’était préparée au pire, mais elle ne s’est pas attendue pas à ce que la situation change si rapidement. En un instant, elle devenait directrice de l’hôpital au lieu de perdre du travail. Le bonheur est venu si soudainement qu’elle pouvait à peine réagir ! Gabriel a retourné la tête et a souri à Laurent : « Cette affaire est déjà réglée. M.
Voyant que Gabriel était très soupçonneux, Laurent a souri : « Je comprends un peu, si je ne me trompe pas, ce pavillon a été construit selon les conseils d’une personnage éminent ? » « Exactement ! » Gabriel a hoché la tête. Laurent a continué : « Mais cet aquarium est mis plus tard, n’est-ce pas ? » Gabriel était surpris et a hoché la tête : « Oui, c’était offert par un de mes partenaires commerciaux il y a trois ans. » « C’est ça. C’est l’aquarium qui a détruit la disposition de tout pavillon, une fois géomancie détruite, il y a de moins en moins d’auras dans cette pièce. Donc, il n’y aucun effet pour s’exercer ici. » Laurent a ri et a dit mot à mot. Soudain, Gabriel a ouvert sa bouche de stupéfaction. Ce jeune homme était très incroyable qu’il pouvait savoir que l’aquarium a été mis plus tard ! Laurent n’a pas dit de bêtises, grâce à l’étude ces derniers temps, Laurent a bien appris par cœur La Géomancie. « Et alors, d’après toi, ça suffit d’enlever l’aquarium ? » En ce mo
Le miroir des métaphysiques ? Laurent a ricané et a regardé Alex dans la foule : « Alex, tu me soupçonnes aussi ? » Dans toute la famille Travers, il n’avait une bonne relation qu’avec Alex, ils étaient comme des frères. Laurent était convaincu qu’Alex n’était pas même que les autres qui l’ont calomnié en ignorant la vérité. Pourtant, la réponse d’Alex a brisé le dernier espoir de Laurent. « Laurent, je voudrais avoir confiance en toi, mais je veux savoir pourquoi le miroir des métaphysiques était là ? » Alex l’a interrogé sans aucune émotion. Après avoir dit cela, Alex était soudain excité et avait les larmes dans les yeux, en criant : « Tu sais, Fanny et moi étaient amoureux depuis longtemps, nous nous sommes mariés enfin, pourquoi tu fais ça ? Pourquoi ! » « Quelle sale engeance ! Va-t’en ! Va-t’en ! » On ne savait pas qui lui a jeté de fines herbes. « Laurent, dépêche-toi de sortir. Tu n’es pas le bienvenu ! » « Il vaux mieux que tous vos trois mouriez à l’extérieur, ne r
« Chef, ne vous fâchez pas. Ce qui est le plus important maintenant, c’est de trouver Laurent. » En ce moment, un subordonné de côté a murmuré : « Il n’est pas trop tard pour que nous revenions et donnions une leçon aux Travers après que nous avons trouvé Laurent. » Pff ! Entendant ces mots, Jacques a respiré profondément et a réprimé un mouvement de colère. C’est vrai, il a volé Les neuf dragons célestes du dirigeant. Il aurait voulu en photocopier une et puis rendu la version originale. Mais la version originale avait été prise par Laurent avant qu’il ne l’ait photocopiée ! Il fallait trouver Les neuf dragons célestes au plus pressé. Sinon, tout serait cuit si le dirigeant a trouvé que Les neuf dragons célestes avait perdu, c’était le crime capital ! Jacques a jeté un regard froid à Lucie et est parti. « Qui est-ce type ? Malgré une tenue finie, il est voyou, a-t-il Laurent un avenir s’il s’est encanaillé avec ces tels gens ? » Lucie a ricané en voyant Jacques partir. A la sor
« Qu'est-ce que tu as dit ? » la vendeuse s'est mise aussi en colère, « Dégueulasse, si tu ne peux pas offrir ce prix, tu pourras quitter. Tu n'as pas honte de porter lces vêtements médiocres dans un magasin de luxe ? Si vous avezsalissez laissé des tâches sur les vêtements ? En plus, puisque tu ne peux pas offrir ce prixles acheter, ce que tu gaspille, c'est notre temps ! » « Oui, oui, tu as Elle a raison. » la dame privilégiée a souri, « Les vendeuses, elles, sont aussi très fatiguées. Puisque vous n’en avez pas les moyense pouvez pas offrir ce prix, vous devrez quitter ici. Dis donc, il y a une boutique qui vend des vêtements bonne marché. » « Laurent. » À ce moment-là, Charlotte a saisi le bras de son mari. Elle voulait simplement faire une plaisanterie au lieu de briguer ces vêtements. Laurent a fait un signe à sa femme et a souri : « Je ne veux pas simplement ce vêtement. Dans votre magasin, tous les vêtements convenant à la taille de ma femme, je vais tous achete
Quoi ! Tout le monde a été stupéfait. « Il est fou ou quoi ? » « Huit centscent mille euros ? C'est un pillage. » « Toutes tes choses valent huit mille euros au maximum. » Dans la foule, Ingrid et les patrons des antiquités ont secoué la tête en ricanant. « Il est un escroc, il veut vendre cette épée à huit centscent mille euros ? » Mais la réponse de Laurent était à leur grande surprise. « Huit centscent mille euros ? D'accord. » Laurent a hoché la tête après des réfléchissementréflexions. Tous ont eu la bouche bée. « Il est d'accord ? » « Acheter cette épée à huit centscent mille euros, il y a quelque chose qui ne va pas avec lui ! » À cet instant, ces patrons des antiquités ont secoué la tête. Ils étaient ici depuis longtemps. Selon eux, cette épée n'appartenait pas pour rien au monde aux antiquités, en l'occurrence, elle était simplement un fer vétuste. Mais Ingrid a froncé les sourcils en réfléchissant. Charlotte n'avait
Entendant cela, Ingrid a souri et a dit doucement : « De rien, j'ai confiance en lui. » « Ingrid Poirier lui fait confiance ? » « Pendant ces trois années de mariage, je ne sais pas que Laurent puisse identifier les antiquités. » Charlotte ne savait que Laurent faisait la cuisine dans le foyer, en plus de cela, il était un bon à rien. Mais à sa surprise, tandis que les Poiriers faisaient des commerces sur des antiquités de génération en génération, pourquoi Ingrid croyait-elle à Laurent ? À ce moment-là, Laurent a examiné à nouveau ce plat : « Tu vois les ornements sur ce plat, tout ondoyant, les ateliers ordinaires ne peuvent pas faire cela. C'est surtout un plat issu des ateliers royaux. » En entendant « des ateliers royaux », la foule a poussé un cri surpris. « Si c'est comme ça, ce plat sera sans aucun doute un trésor ! » Les patrons des antiquités ont regretté. « Si je le savais, je l'achèterais ! » En y pensant, ils ont poussé un soupir. « Monsieur
Le camelot a mis le haut-parleurtouché sur « des mains libres ». Il voulait que tout le monde entende cette voix. « Allô, Martin, c'est moi. » Le camelot a dit et a jeté un regard plaisant sur Laurent. « Martin ? » Entendant cela, tous ont tressailli, « Il y a seulement un Martin dans toute la ville. » « C'est... » Tout le monde devinait. À ce moment-là, tous ont entendu un son grave : « Mon cousin, qu'est-ce qui s'est passé ? » « Martin Richard ? » « Ah bon ? Il est le cousin de Martin Richard ? » « Martin Richard est un multimillionnaire, pourquoi a-t-il un tel cousin ? » « C'est Martin Richard, directeur de la société immobilière Tigre Noir. Son nom est très connu dans la ville ! Personne ne peut l'offenser ! » Une panique s'est exhalée de la mine des autres. Surtout les patrons des antiquités, ils ont fermé la bouche tout de suite et ont reculé. Ils avaient la hantise d'encourir des troubles. Ingrid s'est mordu étroitemen