« Chef, ne vous fâchez pas. Ce qui est le plus important maintenant, c’est de trouver Laurent. » En ce moment, un subordonné de côté a murmuré : « Il n’est pas trop tard pour que nous revenions et donnions une leçon aux Travers après que nous avons trouvé Laurent. » Pff ! Entendant ces mots, Jacques a respiré profondément et a réprimé un mouvement de colère. C’est vrai, il a volé Les neuf dragons célestes du dirigeant. Il aurait voulu en photocopier une et puis rendu la version originale. Mais la version originale avait été prise par Laurent avant qu’il ne l’ait photocopiée ! Il fallait trouver Les neuf dragons célestes au plus pressé. Sinon, tout serait cuit si le dirigeant a trouvé que Les neuf dragons célestes avait perdu, c’était le crime capital ! Jacques a jeté un regard froid à Lucie et est parti. « Qui est-ce type ? Malgré une tenue finie, il est voyou, a-t-il Laurent un avenir s’il s’est encanaillé avec ces tels gens ? » Lucie a ricané en voyant Jacques partir. A la sor
« Qu'est-ce que tu as dit ? » la vendeuse s'est mise aussi en colère, « Dégueulasse, si tu ne peux pas offrir ce prix, tu pourras quitter. Tu n'as pas honte de porter lces vêtements médiocres dans un magasin de luxe ? Si vous avezsalissez laissé des tâches sur les vêtements ? En plus, puisque tu ne peux pas offrir ce prixles acheter, ce que tu gaspille, c'est notre temps ! » « Oui, oui, tu as Elle a raison. » la dame privilégiée a souri, « Les vendeuses, elles, sont aussi très fatiguées. Puisque vous n’en avez pas les moyense pouvez pas offrir ce prix, vous devrez quitter ici. Dis donc, il y a une boutique qui vend des vêtements bonne marché. » « Laurent. » À ce moment-là, Charlotte a saisi le bras de son mari. Elle voulait simplement faire une plaisanterie au lieu de briguer ces vêtements. Laurent a fait un signe à sa femme et a souri : « Je ne veux pas simplement ce vêtement. Dans votre magasin, tous les vêtements convenant à la taille de ma femme, je vais tous achete
Quoi ! Tout le monde a été stupéfait. « Il est fou ou quoi ? » « Huit centscent mille euros ? C'est un pillage. » « Toutes tes choses valent huit mille euros au maximum. » Dans la foule, Ingrid et les patrons des antiquités ont secoué la tête en ricanant. « Il est un escroc, il veut vendre cette épée à huit centscent mille euros ? » Mais la réponse de Laurent était à leur grande surprise. « Huit centscent mille euros ? D'accord. » Laurent a hoché la tête après des réfléchissementréflexions. Tous ont eu la bouche bée. « Il est d'accord ? » « Acheter cette épée à huit centscent mille euros, il y a quelque chose qui ne va pas avec lui ! » À cet instant, ces patrons des antiquités ont secoué la tête. Ils étaient ici depuis longtemps. Selon eux, cette épée n'appartenait pas pour rien au monde aux antiquités, en l'occurrence, elle était simplement un fer vétuste. Mais Ingrid a froncé les sourcils en réfléchissant. Charlotte n'avait
Entendant cela, Ingrid a souri et a dit doucement : « De rien, j'ai confiance en lui. » « Ingrid Poirier lui fait confiance ? » « Pendant ces trois années de mariage, je ne sais pas que Laurent puisse identifier les antiquités. » Charlotte ne savait que Laurent faisait la cuisine dans le foyer, en plus de cela, il était un bon à rien. Mais à sa surprise, tandis que les Poiriers faisaient des commerces sur des antiquités de génération en génération, pourquoi Ingrid croyait-elle à Laurent ? À ce moment-là, Laurent a examiné à nouveau ce plat : « Tu vois les ornements sur ce plat, tout ondoyant, les ateliers ordinaires ne peuvent pas faire cela. C'est surtout un plat issu des ateliers royaux. » En entendant « des ateliers royaux », la foule a poussé un cri surpris. « Si c'est comme ça, ce plat sera sans aucun doute un trésor ! » Les patrons des antiquités ont regretté. « Si je le savais, je l'achèterais ! » En y pensant, ils ont poussé un soupir. « Monsieur
Le camelot a mis le haut-parleurtouché sur « des mains libres ». Il voulait que tout le monde entende cette voix. « Allô, Martin, c'est moi. » Le camelot a dit et a jeté un regard plaisant sur Laurent. « Martin ? » Entendant cela, tous ont tressailli, « Il y a seulement un Martin dans toute la ville. » « C'est... » Tout le monde devinait. À ce moment-là, tous ont entendu un son grave : « Mon cousin, qu'est-ce qui s'est passé ? » « Martin Richard ? » « Ah bon ? Il est le cousin de Martin Richard ? » « Martin Richard est un multimillionnaire, pourquoi a-t-il un tel cousin ? » « C'est Martin Richard, directeur de la société immobilière Tigre Noir. Son nom est très connu dans la ville ! Personne ne peut l'offenser ! » Une panique s'est exhalée de la mine des autres. Surtout les patrons des antiquités, ils ont fermé la bouche tout de suite et ont reculé. Ils avaient la hantise d'encourir des troubles. Ingrid s'est mordu étroitemen
Le camelot a été choqué en hochant la tête sans cesse. « Donne ton portable à Monsieur Laurent ! » Martin a dit avec colère. Une fois que Laurent avait accroché le téléphone, Martin a tressailli : « Désolé, je suis désolé monsieur, j'ai tort ! Mon cousin est gâté... Je vais venir pour demander pardon à Mademoiselle Poirier... » « De rienPas… pas besoin. » Ingrid a été stupéfaite et a répondu. Elle ne pouvait pas laisser Martin lui demander pardon. Laurent a brandi la main : « De rienAssez, tu n'es pas obligé de venir ici. Martin, tu dois discipliner mener ton cousin à bien, tu as chance aujourd'hui. Sinon, s'il offensait les autres, cela encourrait des troubles. » « Oui, oui, vous avez raison. » Martin a répondu. Laurent n'a rien dit et a décroché le téléphone. Le camelot avait presque des larmes dans les yeux, et s'inclinait vers Laurent sans cesse : « Monsieur, je suis vraiment désolé. Si je savais que vous êtes l'ami de mon cousin, je ne ferais pas ce
À vrai dire, chacune avait sa propre beauté. Leurs tailles étaient toutes les trois magnifiques. Et en matière d'apparence, Ingrid était une beauté froide et privilégiée. Charlotte était à la fois belle et intelligente. Vivian était plus ravissante. « Ces trois femmes sont toutes les trois les perles. » Assis sur le canapé, Laurent s'est plongé dans la joliesse de ces trois, et puis, ennuyeux, il a allumé la télévision. Il a encore éternué, et son nez coulait. « J'ai le rhume. » Laurent a murmuré en se mouchant, et puis, il a laissé le papiermouchoir sur la table et a regardé la télévision. Il voulait voir le Superstar dans la chaîne de la Cité Mer de l'Est. « Laurent, veux-tu de quoi boire ? » Justement, Ingrid est sortie de la cuisine. Laurent a repris la conscience et a saisi la télécommande avec hâte. Mais il était déçu qu'il n'arrive pas à changer la chaîne. « Laurent, qu'est-ce qui s'est passé ? » Ingrid avait l'air confus et a
« Oh non, Jacques est venu ! » Laurent, urinant, a entendu un coup, et la porte des toilettes a été subitement ouverte ! « Jacques, tu es fou, je suis le Roi de l'Est ! » Laurent a voulu feindre bien qu'il n'en sache rien. À sa surprise, Jacques a ricané : « Tu aimes feindre d'être le Roi de l'Est, oui non ? Je vais te donner des leçons aujourd'hui. » À ces mots, les trois femmes enchaînées ont été poussées dans le salon. Des disciples de Voie Ccéleste les ont entourées. « Oh là là ! » Laurent s'est complètement inquietinquiété pour elles, mais, il savait que Jacques l'emporterait sur lui sur les forces. Il a profondément respiré pour garder le sang-froid. Jacques a ricané et dit : « Viens. » Et puis, il s'est tourné dans la chambre. Laurent, n'ayant pas d'autre choix, l'a suivi. S'il voulait discuter cela seulement avec Laurent, c'est qu'il avait volé Les neuf dragons célestes du dirigeant. Il gardait bien ce secret, ses subordonnés n'y ne comp