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Chapitre 388

Heureusement, il a demandé, sinon le frère aîné aurait tranquillement préparé un cadeau de réunion pour maman.

Alors quel cadeau devrait-il préparer pour maman ?

À l’hôpital.

« Enzo, tu as agi à tout prix cette fois-ci ! » Arthur s'est assis sur le canapé et a dit négligemment : « Le héros sauve la beauté, c'est très bien. Peu importe à quel point Yolaine est froide et dure, Elle va certainement être vaincue et émue, puis se marier avec toi ! »

Enzo était allongé sur le lit d'hôpital avec une expression calme, incapable de dire ce qu'il pensait.

Gabriel a donné un coup de main à Arthur, a fait un clin d'œil et a dit : « Bon, ne dis pas de telles bêtises. File, ne dérange pas Enzo ici. »

Arthur ne voulait pas partir. Il était un gosse de riche, qui ne faisait rien de sérieux tous les jours : soit il allait à la poursuite de femmes, soit il participait à des courses d’autos. Il avait beaucoup de temps libre. Sa vie de tous les jours restait la même. Et maintenant, il trouvait quelque c
Chapitre verrouillé
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