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Chapitre 281

« Viviane, je sais que tu n’es pas de bonne humeur ces derniers jours et que tu n'aimes pas particulièrement Hugo. Peux-tu me dire pourquoi ? »

Enzo l’a serrée dans ses bras et lui a demandé d'une voix douce.

La petite fille a baissé les yeux, ses longs cils recourbés ont tremblé, et ses poings ont été étroitement serrés.

Face à Viviane, Enzo se montrait très patient.

Il a dit lentement : « Je suis ton oncle Thomas, peu importe ce qui arrive de malheureux, tu peux me le dire. »

Les poings serrés de Viviane se sont desserrés lentement, et elle a levé la tête pour voir les yeux d'Enzo.

Non loin de là, Léo était sur le point d'approcher, mais ses pas se sont de nouveau arrêtés.

Ce qu'Enzo lui avait dit dans la voiture a résonné à nouveau dans ses oreilles...

« Maman n'avait jamais pris de décisions pour lui, alors il ne devrait pas prendre de décisions pour sœur Viviane.

Viviane pouvait accepter Enzo, elle voulait rester avec cet homme et lui partager ce qu'elle pensait. Pourquoi devrait-
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