Chapitre 125

Ce que Zoé a dit semblait ridicule face au dynamisme de M. Durand.

Durand, qui était le PDG de la division municipale du groupe Bode, était également quelqu’un que la plupart des hommes d’affaires de la ville voulaient connaître. Il n’aurait tout simplement pas pu faire équipe avec Yolaine pour tromper quelqu’un d’autre.. Tout le monde dans la salle de conférence a regardé Zoé avec un peu plus d’attention. « Zoé, ça veut dire que tu as vraiment envoyé un assistant à M. Durand pour discréditer l’image du groupe Bernard ? »

Zoé a serré sa paume, après une longue inspiration, elle a dit : « Je n’ai pas... Mon assistant l’a fait lui-même, ça n’a rien à voir avec moi... » Cette explication n’est vraiment pas convaincante. Jean et Benoit, les deux plus grands actionnaires, étaient très déçus.

« Même si mon adjoint n’avait pas invité M. Durand à dîner, le groupe Bode n’aurait pas pu travailler avec le groupe Bernard. » Zoé a dit : « Je ne peux pas attribuer l’échec de la coopération à mon