Chapitre 281

Trois millions d’euros, ce n’étaient pas beaucoup pour la famille Deschamps.

Cléon n’osait pas la regarder dans les yeux, mais son visage est devenu rouge.

« Ce n’est pas possible que je te demande de l’argent, un homme ne demanderai jamais de l’argent à la femme qu’il aime… à sa cousine. »

« La femme qu’il aime ? »

Sandrine était très sensible à ces mots, elle a tout de suite saisi les mots qu’il avait laissé échapper de sa bouche.

Sandrine avait une devinette audacieuse, elle a demandé : « Cousin, est-ce que tu… mais tu es mon cousin ! »

En voyant le visage choqué de Sandrine, Cléon a hésité pendant une seconde et a dit : « Je ne suis pas ton cousin, ton cousin est mort peu après sa naissance. J’ai été adopté par ton père à l’orphelinat, j’ai appris ça quand j’étais petit. »

« De toutes façons, je suis ta cousine, ça ne peut pas être changé. »

« Pourquoi ne mérite-je pas ton amour ? Parce que je suis ton cousin ? En fait, la raison pour laquelle j’ai collaboré avec Can Cleef était de