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Chapitre 880

« Papi, est-ce que tu participeras à la fête d’anniversaire de papa ? » a demandé Poema en penchant légèrement la tête.

« Je suis vieux, je ne suis plus aussi énergétique que vous les jeunes. Je dois me coucher tôt et me lever tôt », a dit le vieux monsieur Brunerie après avoir bu une gorgée de thé.

Après le dîner, Orphée et Poema sont allés se promener avec Isabelle dans la cour.

Le vieux monsieur Brunerie s’est assis seul dans le bureau, il lisait un journal. En levant nonchalamment la tête, il a vu Albert s’adosser silencieusement sur la porte.

Il s’est figé. Il a posé le journal sur le bureau et a dit : « Tu n’es pas allé accompagner ta femme et tes enfants ? Pourquoi es-tu ici ? »

« Pourquoi n’as-tu pas parlé du fait que tu aies mal à l’estomac ? »

Le vieux monsieur Brunerie a dit en levant les yeux : « Ce n’est rien, pourquoi dois-je en parler avec toi ? »

Albert s’est avancé devant le bureau, il a jeté un coup d’œil au vieux carton que la mère d’Albert lui avait laissé avant de
Chapitre verrouillé
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