Chapitre 848

« Ne t’inquiète pas, avec un patron comme Aubéron, tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit. S’il rencontre des problèmes qu’il ne peut pas régler, comme par exemple si des clients cherchent des problèmes au club, tu peux l’aider, fais comme tu veux. »

Isaure a réfléchi et a dit : « Je ne sais que faire appel à la violence. »

Isabelle a dit en se massant entre les sourcils : « Il faut au moins attendre qu’on te frappe d’abord, sinon, ce sera compliqué si tu fréquente le commissariat. »

Isaure a hoché la tête.

Isabelle a dit en secouant la main : « Mais il vaut mieux que tu évites d’avoir affaire avec les clients qui cherchent des problèmes, en plus … »

« Tu peux te faire plus d’amis, ne reste pas seule tout le temps. Tu n’es plus à la métropole, tu as le droit de rencontrer qui tu veux. »

Isaure s’est figée, elle n’a pas prononcé un mot.

Isabelle s’est dirigée devant elle et a dit en lui tapotant sur l’épaule : « K t’a donnée une chance d’éloigner la vie cachée que tu as menée dans