Elle se souciait beaucoup de cette chose, en plus, la vue de Julien la révoquait.Albert a ri en tenant son visage, il a dit : « Et puis ? »« J’ai vu madame Gendron avec un autre homme, il est une connaissance de madame Michèle, il s’appelle Gabin Mathias. »Isabelle a pensé à quelque chose et a donc continué : « Madame Michèle m’a dit que Gabin est venu au Zéphyr pour coopérer avec le Groupe Lalien sur un projet international. »Le Groupe Lalien était créé par Anthony.Albert a posé Isabelle sur le lit, s’est levé et a commencé à déboutonner lentement sa chemise.« Gabin Mathias, je vois. »Isabelle s’est allongée et a dit : « Oui, j’ai entendu qu’on l’appelait Gabin. »Albert a enlevé sa chemise et son pantalon et a pris Isabelle dans les bras.Isabelle s’est figée, elle a demandé : « Tu fais quoi là ? »Il est entré dans la salle de bain en la prenant dans les bras et a répondu : « Prendre un bain ! »Le visage d’Isabelle est devenu rouge, elle a dit en le frappant légèrement sur l
Isabelle a lentement baissé la tête.Ça expliquait le visage sombre de madame Gendron quand elle a appris qu’elle était la femme d’Albert.Monsieur Gendron n’a jamais oublié Delphine, le père d’Albert, en tant que sa femme, comment pouvait-elle le supporter ?Pourtant, quelle était la relation entre madame Gendron et Gabin ? Gabin Mathias…Delphine Mathias…Albert regardait Isabelle et a dit d’un ton sérieux : « La famille Mathias et la famille Pérrou sont les deux familles les plus grandes d’Yvetanie. Le petit-fils aîné des Mathias, Néo Mathias, a épousé la princesse d’Yvetanie il y a onze ans, la famille Mathias est donc liée avec la famille royale. »En parlant de cela, le visage d’Albert s’est refroidi, il a continué : « Ma mère a été adopté par la famille Mathias, elle est la tante de Néo, du coup, Gabin est le grand-frère de ma mère. »Isabelle était très surprise.Le visage d’Albert restait impassible, il a enchaîné : « La vie de ma mère dans la famille Mathias n’est pas heureu
« Dis-moi », a insisté Isabelle en prenant son bras.Il a répondu en riant : « Le vingt-trois octobre. »Isabelle a dit en clignotant : « Ce sera le mois prochain alors ? »Puis, elle a continué : « Je n’ai jamais passé l’hiver avec toi, ça te dit qu’on va à Brozie pour regarder la neige ? Il neige en fin d’octobre à Brozie, je sais qu’il y a des stations de sports d’hiver et beaucoup de monde, ce sera très animé ! On peut emmener Orphée et Poema avec… »Avant qu’elle ne termine ses mots, Albert s’est silencieusement approché d’elle et l’a embrassée sur les lèvres en saisissant son menton.Après longtemps, il l’a lâchée et a dit en effleurant ses lèvres douces : « Je vais passer le restant de ma vie avec toi. »Elle avait vécu l’hiver dans la ville de St en Mécanique, la ville était couverte sous la neige en hiver, et elle avait passé mille et quatre-vingt-quinze jours et nuits sans lui à ses côtés.Et Albert aussi.Isabelle a dit en enlaçant son cou : « Albert, arrête de me séduire !
Sa femme était d’une grande famille riche, ils étaient liés par le mariage. Ce n’était pas possible qu’un homme aussi malin comme George rejette sa colère sur sa femme, bien sûr, ce serait finalement sa maîtresse qui prendrait les fruits amers.Babé a pris la tasse de café et l’a bu une petite gorgée, son expression était illisible.Isabelle a demandé en la regardant : « As-tu regretté ? »Babé est restée silencieuse pendant un instant avant de répondre en fixant son café : « Je ne regrette pas, je la trouve misérable et même pitoyable, c’est tout. »« J’avais les mêmes sentiments envers deux personnes », a dit Isabelle en jouant avec le stylo sur la table, « je me dis parfois, si elles avaient prévu leur fin, est-ce qu’elles auraient regretté de ce qu’elles avaient fait ? »Dès qu’elle a terminé ses mots, le stylo est tombé de sa main. Elle a rapidement repris le stylo avant qu’il ne tombe sur le sol.Babé a éclaté de rire, elle a demandé : « Tu parles des deux femmes qui ont essayé d
Les servants ont guidé Albert dans la cour, où un homme était assis au café sur le balcon.En entendant les sons des pas, l’homme assis au café a tourné la tête. Il a dit en regardant Albert : « Je suis content que tu viennes le voir. »« C’est Anthony qui t’a donné mon numéro ? »Albert a tiré une chaise et s’est lentement assis en face de lui.Gabin a fait venir un servant en demandant à Albert : « Qu’est-ce que tu veux commander ? »« Tout va pour moi », a répondu Albert d’un ton léger.Le servant a hoché la tête.« Oui, c’est bien Anthony qui m’a donné ton numéro. En tout cas, je suis ton oncle. »« Oncle ? » a répliqué Albert en levant impassiblement les yeux, « la famille Brunerie ne t’a jamais reconnu comme un membre de la famille. »Gabin a ri et a dit : « Tu nous reproches toujours à cause de ta mère. En fait, la famille Mathias traitait très bien ta mère, même si elle ne nous était pas liée par le sang. »« Tant mieux », a dit Albert avec un sourire froid, « la famille Mathia
Albert s’est arrêté, il a légèrement tourné la tête vers lui d’un air froid.À l’hôpital.Chloé, qui était hospitalisée, n’avait pas du tout d’appétit. En voyant son visage couvert de blessures et bleus dans le miroir, elle était si en colère qu’elle a cassé le miroir.Isabelle Hanel est arrivée à la porte de son service et a frappé à la porte.Chloé était surprise de la voir, elle a demandé : « C’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? »Sa relation avec Isabelle Hanel n’était pas bonne. Bien sûr, elle ne voulait pas être amie avec elle. Isabelle Hanel lui avait communiqué une information utile, et c’était tout. « Je suis ici pour te voir, bien sûr », a répondu Isabelle en se déplaçant vers le lit, « George était très cruel. »Chloé a froncé les sourcils, la surprise se lisait dans ses yeux.« Tu … »Pourquoi était-elle au courant de ce que George lui avait fait ?Isabelle Hanel était calme quand elle a vu l’expression surprise de Chloé.« Pour une femme qui n’est pas d’une famille ric
Isabelle portait une expression méprisable, elle a dit : « Même toi, tu ne seras probablement pas capable de charmer le cœur d’Aubéron, Yves est un meilleur choix. »Auparavant elle avait échoué à séduire Aubéron. Il n’était pas le genre d’homme qui se laissait séduire par les femmes séduisantes, il était comme un prêtre qui ne s’intéressait pas aux femmes. Elle n’osait pas parier sur Aubéron, parce qu’elle perdrait tout si elle échouait.Pourtant, elle avait des chances de gagner si elle pariait sur Yves. Elle avait fait des enquêtes, bien qu’Yves soit un playboy, mais il avait arrêté de contacter les femmes depuis qu’il est sorti du camp d’entraînement.Du coup, elle n’avait qu’à baisser le taux de risque et charmer le cœur d’Yves au lieu d’Aubéron. En tout cas, ils étaient tous les deux de la famille Gendron, elle gagnerait également ce qu’elle voulait en épousant Yves.Chloé a ouvert le tiroir et a sorti son sac en disant : « Je peux t’aider, mais avec une condition. »Isabelle Han
En voyant qu’elle a posé la fourchette, Albert l’a prise dans les bras et a dit : « Tu continueras à manger plus tard. »« Albert ! »Bien qu’elle ait essayé de l’arrêter, ça ne servait à rien.Il faisait nuit, la musique dans le club était bruyante. Sous les lumières colorées, les femmes d’habits sexy dansaient, les hommes et les femmes d’habit à la mode buvaient en parlant.Yves s’amusait dans le club avec quelques amis, il était le seul homme qui n’était pas entouré de filles, il ne faisait que boire de l’alcool.Un homme a dit avec un rire malin : « Yves, veux-tu l’accompagnement d’une fille ? »Yves a répondu en secouant la main : « Non, je ne m’intéresse pas aux filles. »« Oh là là, depuis quand tu as commencé à apprendre à être un homme droit ? Auparavant, c’était toi qui nous présentais des filles quand on s’amusait au club. »« Oui, depuis qu’il est revenu du camp d’entraînement, il ne s’intéresse plus aux filles. »Yves a levé son verre et a dit : « Ce sont les femmes du clu