« Ka-ching ! », un bruit soudain d'une photo prise à l'extérieur de la porte a surpris Vivian, elle a regardé dehors et a vu que la porte avait été entrouverte.Bon sang, elle a été filmée !Vivian a serré les dents, rassemblé ses vêtements, ensuite elle est sortie et a regardé autour d'elle, pour voir qui avait pris la photo !Elle avait drogué Albert, c’était sur le point de réussir, cependant quelqu'un est arrivé et l'a interrompue !Soudain, elle a entendu du mouvement dans l'escalier, Viviane a grogné : « Il y avait quelqu’un, je vais l’avoir. »Elle est entrée dans le tunnel de sécurité et avant qu'elle ne voie quelqu'un à l'intérieur, elle a reçu un coup de bâton à l'arrière de son cou et elle s'est effondré sur le sol.Orphée a posé le bâton dans sa main et a tapé dans ses mains : « Une femme comme toi n’est pas digne de mon papa ! »Il avait une idée dans sa tête en pensant à la façon dont elle avait piégé sa mère il y a six ans.Orphée est sorti en courant et crié vers un ser
Déotille et Orphée sont restés bouche bée quand ils ont enlevé sa dernière pièce.« Mon frère, pourquoi sommes-nous seulement si petit. »« Euh, peut-être que nous n'avons pas grandi. »Si bruyant.Les cils d'Albert se sont froncés tandis que son corps devenait chaud et froid, lorsqu'il reprenait un peu conscience, il a ouvert les yeux. Il s’est retrouvé dans une grande baignoire sur laquelle flottait un petit canard jaune.Il a rétréci ses yeux et vu deux enfants debout près de la baignoire en train de parler.« Déotille ? » Albert était déconcerté.Les deux enfants se sont retournés vers lui.Au moment où Albert a croisé leur regard, il a été surpris pendant quelques instants.Les deux enfants se ressemblent tellement qu'il n'arrive pas à les distinguer. Avant, il avait remarqué que la personnalité de « Déotille » avait beaucoup changé, mais il s'avère que : « C'est des triplés ! Heh, cette femme se cache très bien! »« Tonton, vous êtes réveillé ? », les yeux d'Orphée se sont illumi
Il ne la blâmerait pas, mais il ne pourrait pas la laisser s’en tirer à bon compte.Isabelle a quitté le studio en retard, elle a sorti son téléphone et a vu un message non lu que Poema lui avait envoyé une heure plus tôt.Au moment où elle a cliqué sur le message, elle a été abasourdie.« Maman, on a enlevé papa, il est à la maison, on t'attend. »Isabelle a filé chez elle. Elle n'a vu personne dans le salon alors, elle s'est précipitée vers la chambre des trois enfants, la porte était verrouillée.« Vous trois, sortez le d'ici ! », Isabelle a frappé à la porte, et les trois petits ont été poussé contre l'arrière de la porte.Bien sûr, maman n'acceptait toujours pas papa, alors ils espéraient que papa pourrait la persuader ce soir.« Vous ne sortez pas, tant pis, je vais chercher le double des clés. », Isabelle a rigolé : « comment les trois petits ont-ils osé cacher cet homme là-dedans ! »Elle est retournée dans sa chambre pour prendre le double de la clé, mais quand elle a vu l'hom
Isabelle a regardé les trois petits d'un air apathique et a dit avec indifférence : « Vous êtes si doués pour me mettre dans le pétrin. » Poema a dit : « Maman, on veut juste que tu t'entendes avec papa. »Orphée a aussi pris la parole : « Oui, maman, nous sommes si pauvres parce que nous n'avons pas de papa… » Déotille ne savait pas quoi dire, mais il a quand même acquiescé.« Je vais me laver le visage. » Isabelle s'est redressée et s'est dirigée vers la salle de bain. Poema a gratté sa tête : « Maman n'a pas l'air d'avoir bien dormi. » Orphée a hoché la tête : « Tu vois, maman a des cernes sous les yeux. »Les trois hommes ont regardé Albert qui dormait encore et se sont approchés de lui sur la pointe des pieds. Orphée a demandé : « Pourquoi papa n'est pas encore réveillé ? » Poema et Déotille ont regardé Albert pendant un long moment jusqu'à ce que Déotille, sentant que quelque chose n'allait pas, tende la main et touche le front d'Albert, puis a dit : « Papa semble avoir de la fiè
Les yeux d'Albert étaient baissés : « Est-ce pour cela que les deux enfants avaient signé avec la société de divertissement ? » Voyant qu'il allait faire un autre petit-déjeuner, Albert a levé la main et s'est frotté sa tête : « Tu manges d'abord, papa va faire le repas. »Déotille l'a regardé avec étonnement : « Tu sais cuisiner, papa ? » Le fils aîné de la famille Brunerie, le célèbre Monsieur Brunerie de l’Aegean, savait réellement cuisiner ?« Bien sûr. » Albert a mis son tablier et s'est rendu à la cuisine, où Poema et Déotille l'ont observé, tous deux, avec un peu d'anticipation dans les yeux. Orphée a descendu l'escalier en chaussons et a senti l'odeur : « Déotille, tu cuisines ? » Voyant son frère et sa sœur assis à table et attendant, il a regardé vers la cuisine et ses yeux se sont agrandis : « Je n'arrive pas à croire que c'est papa qui fait le petit-déjeuner ! »Albert a apporté le petit-déjeuner à table et les trois petits ont été stupéfaits par la vue.Orphée a cligné des
À ces mots, l'expression d'Isabelle s'est affaissée. Les mots de Sébastien ont surpris Victor qui regardait Isabelle. Même le personnel qui se tenait devant la porte ne savait que faire.« Isabelle, j'ai honte de toi à cause de ce qui est arrivé à ta mère et je voulais te donner Buccellati, mais non seulement tu as fait quelque chose d'éhonté il y a six ans, mais maintenant tu as même une liaison avec Monsieur Brunerie ! Tu n'as pas honte du tout. Monsieur Brunerie est le petit ami de ta sœur Vivian ! » Sébastien était tellement déçu par elle, et après ce qu'il avait vu avec Isabelle et Albert dans le bureau, comment pouvait-il croire que sa fille était innocente ?Les mains d'Isabelle se sont légèrement crispées à l'accusation de son père : « La honte ? Quand Cérise a couché dans votre lit, pourquoi n'avez-vous pas dit qu'elle n'avait pas honte ? »« Arrête ! » Sébastien a crié : « Les affaires de ta mère n'ont rien à voir avec Cérise. »Le sourire d'Isabelle est resté moqueur : « Rie
« Vivian n'a rien à voir avec moi. Elle m'a menti pendant six ans et a eu l'audace de me droguer hier soir. Monsieur Leroy, que veux-tu faire de ta fille ? »Isabelle était stupéfaite : « Vivian l'a drogué hier soir ? Pas étonnant qu'il était si impatient hier soir et que j'ai failli… »Sébastien a légèrement rougi : « Comment Vivian a-t-elle pu… »« C'est bien si tu ne veux pas lui donner une leçon, mais quand j'irai moi-même, les résultats seront différents. » Il y avait une menace dans ces mots. Le visage de Sébastien s'est levé d'embarras, mais il n'a que pu dire : « Si c'est la faute de Vivian, j'y retournerai pour lui donner une leçon. »Le ton d'Albert était froid : « Je ne veux pas de si. »Sébastien savait qu'il était un homme puissant, et s'il ne lui donnait pas d'explication, il avait peur qu'il ne laisse pas partir Vivian. Il a accepté et a également plaidé : « D’accord, je vais vous donner une explication, Monsieur Brunerie, et je vous demande d'épargner Vivian. »Lorsqu'
D'ailleurs, comment un homme riche et puissant comme lui pourrait-il mener une vie tranquille ? Il pensait que Vivian était la femme de cette nuit-là et que quelque chose allait toujours leur arriver après six ans ensemble. Elle ne voulait pas d'un homme que Vivian avait touché, jamais !Dans la famille Leroy, Sébastien a giflé Vivian. Cérise était stupéfaite, elle s'est précipitée pour éloigner Sébastien : « Chéri, pourquoi tu frappes Vivian ? » « Pourquoi je l'ai frappée ? » Sébastien a pointé Vivian du doigt : « Demande-lui, elle a osé droguer Monsieur Brunerie, si je ne lui donne pas d'explication, elle va avoir des ennuis ! »Cérise a instantanément paniqué et a regardé Vivian : « Vivian, tu, tu as drogué Monsieur Brunerie ? »Vivian s'est couverte la joue et s'est mordu la lèvre sans parler, mais elle s’est dite : « Bon sang, j'étais si près d'arriver à mes fins, qui diable vient perturber mes plans ! Comment ça a pu arriver ? »« Vivian… »« Ne me touche pas ! » Elle a repoussé