Chapitre 765

Les parents n’aimaient pas les garçons comme Albert, y compris son grand-père.

Pourtant, au fond de son cœur, il savait qu’il avait commencé à écouter son cœur seulement depuis qu’il avait fait la connaissance d’Albert. Il avait commencé alors à réfléchir sur quelle vie voulait-il mener, sur le chemin qu’il voulait suivre pour ne pas laisser des remords dans sa vie.

Aubéron a dit : « Si ce n’était pas grâce à Albert, je n’aurais pas pu devenir la personne que je suis maintenant. »

Le visage du vieux monsieur Gendron s’est raidi, finalement, il est froidement parti.

Julien est allé devant son fils, il semblait avoir été touché par ses mots, il a dit en lui tapotant sur l’épaule : « Mon fils, fais ce que tu veux faire. »

Aubéron s’est figé, il a levé la tête. « Papa… »

Julien a retiré son bras, s’est retourné et est monté à l’étage.

Aubéron est sorti de la maison. Les bras croisés, Yves se tenait en s’appuyant sur un mur.

« Aubéron, je te prends toujours pour mon modèle depuis l’enfance,