Mibojou avait des affaires dans les secteurs des affaires et de la cinématographie. Les grandes stars se tueraient pour être la porte-parole de Mibijou. Auparavant, elle se méfiait même d’Albert et la famille Thierry, comment il était possible qu’elle ait peur d’offenser la famille Hanel ?Ce n’était pas parce qu’elle était d’une grande famille, mais parce qu’elle était de nature droite et directe. Elle n’avait pas peur d’offenser les puissants et osait assumer les conséquences. Ceux qui connaissaient son caractère la respectaient beaucoup.Isabelle Hanel n’a pas prononcé un mot. Madame Michèle a dit impassiblement en la fixant : « Ton père n’ose même pas me parler d’un ton pareil, en tant que sa fille, tu es vraiment audacieuse. »Isabelle a dit en riant : « Grand-mère, ne soyez pas en colère, mademoiselle Hanel est jeune, elle prendra ses leçons. »Yves a directement ignoré Isabelle Hanel et s’est assis avec son amie Isabelle.Isabelle Hanel restait immobile d’un air gêné. Il ne lui
Le soir, au Groupe TG.Au moment où Albert est sorti de l’immeuble, Maléo a conduit la voiture devant lui. Il a débouclé les boutons de son costume et s’apprêtait à monter dans la voiture.Une femme derrière lui l’a appelé. Il s’est retourné impassiblement. Son visage s’est rembruni en voyant Isabelle Hanel.Comment cette femme osait-elle venir le chercher.Isabelle Hanel a été effrayée par son expression et ne voulait donc pas l’approcher, mais elle ne pouvait pas renoncer, elle a donc pris son courage et a dit : « Monsieur Brunerie, ne me méprenez pas, je suis ici pour vous informer quelque chose. »Il a demandé d’un ton froid : « Quoi ? »Isabelle Hanel lui a passé les photos d’Isabelle et Yves. Albert a pris les photos après avoir hésiter quelques secondes. Son visage restait impassible mais toutes les photos ont été légèrement froissées.Isabelle Hanel a demandé prudemment : « Monsieur Brunerie, je n’ai pas d’autres intentions. Quelqu’un d’autre a pris ces photos, je voulais seu
Elle a demandé en levant la tête pour regarder Albert : « Tu crois à ces photos ? »Albert n’a pas répondu, ses yeux se sont refroidis.« Je t’ai demandé où étais-tu allée aujourd’hui, tu ne m’as pas dit la vérité. »Isabelle s’est approchée de lui et a dit d’un air calme : « Tu crois à ces photos, tu crois que je t’ai caché quelques choses ? »Il lui a donné sa réponse en restant silencieux.Isabelle a pris une inspiration profonde pour se calmer.« J’étais en train de prendre du thé avec madame Michèle quand je l’ai rencontré. Tu connais aussi cet homme sur les photos. Nous étions au terrain du golf, rien ne s’est passé entre nous. »En voyant qu’Albert s’apprêtait à partir, elle a dit doucement : « Albert, c’est à toi de choisir, si tu me feras confiance ou pas. »Son mouvement est resté figé pendant un instant avant de quitter directement le bureau.Isabelle s’est baissée pour ramasser les photos sur le sol. Elle a éclaté de rire, mais la tristesse se lisait sur son visage. Personn
En entendant les moqueries, reproches, jugements des autres, le visage d’Isabelle Hanel est devenu encore plus pâle.Elle n’avait pas séduit le mari des autres, alors pourquoi cette felle l’accusait d’avoir fait ça ? En plus, elle savait son nom et son identité.Pendant que la femme d’âge moyen baissait ses gardes, Isabelle Hanel est montée rapidement dans sa voiture. Dès que la femme a vu ça, elle a crié en frappant sur la vitre de sa voiture : « Salope ! Descends ! Crois-tu pouvoir t’échapper ? »Pourtant, Isabelle Hanel a démarré la voiture et est partie.Après que la foule s’est progressivement dispersée, la femme d’âge moyen est allée à un recoin, Isaure l’attendait là-bas et lui a donné une enveloppe remplie de billets. »En voyant l’épaisseur de l’enveloppe, la femme a éclaté de rire et a dit joyeusement : « Merci beaucoup, vous pouvez toujours m’appeler si vous avez besoin de moi ! »Isaure est rentrée dans la voiture. Isabelle était dans la voiture pour regarder ce qui s’était
Albert était grand et droit, avec son beau visage, il se faisait différencier parmi la foule. Orphée lui ressemblait beaucoup, du coup, leur présence a attiré beaucoup d’attention.Lisa a chuchoté à Poema : « Poema, ton grand-frère est aussi beau que ton père. »Poema a dit d’un air content en riant : « Bien sûr ! J’ai dit la vérité, n’est-ce pas ? »La plupart de ses camarades n’avaient pas vu ses parents. Cette fois, ses parents pouvaient finalement venir à son école ensemble, elle ferait voir ses parents à ses camarades. En voyant son père, Poeme a couru vers lui en criant : « Papa ! »Albert l’a prise dans les bras et a dit : « Me voilà, comme je t’ai promis ! »Poema a éclaté de rire en enlaçant son cou.« Je suis très contente que papa et maman viennent ici ensemble pour cette conférence enseignants-parents ! »Orphée a dit en regardant Poema du coin de l’œil : « Tu as grandi, ne reste plus dans les bras de papa. »Poema lui a fait la moue.Étant donné du statut haut d’Albert Br
Isabelle a compris ce que Poema avait dans sa tête et lui a donc demandé en pinçant légèrement son visage : « Pourquoi es-tu venue ici ? »Poema a bégayé : « Je… Je suis ici pour te dire que la conférence enseignants-parents commencera bientôt. »Gilles a dit : « Dans ce cas-là, je te laisse assister à la conférence, moi aussi j’ai des affaires à gérer. »Isabelle a hoché la tête.Dès que Gilles est parti, Poema lui a demandé en clignotant : « Maman, est-ce que monsieur Jonathon est ton premier petit ami ? »Isabelle était surprise de cette question, elle a dit en regardant sa fille dans les yeux : « Je voulais savoir qu’est-ce qu’il y a dans ta petite tête. »« Alors, est-ce qu’il est ton premier amour ? »Elle a répondu d’un ton impuissant : « Non. »Poema a continué à lui poser des questions en haussant la voix : « Alors, qui est ton premier amour ? »Isabelle a plissé les yeux, elle a remarqué une paire de chaussures familière dans un recoin près du couloir, puis elle a répondu : «
Pendant que l’homme allait mettre sa main sur le corps du garçon, Isabelle s’est avancée et a pris son poignet. Elle l’a renversé par un coup de pieds.« Il est si jeune, n’as-tu pas honte ? »L’homme a clairement été effrayé, il avait l’air mécontent, mais de peur d’attirer plus de personnes, il s’est échappé.Isabelle a froncé les sourcils, pourquoi y avait-il un pervers à l’école ? C’était une menace pour les enfants !Isabelle s’est tournée vers le petit garçon et voulait le consoler, elle était surprise de voir le beau visage de ce garçon.Elle n’avait jamais vu un garçon aussi beau. Ses traits faciaux étaient même plus délicats que Poema. Ses yeux étaient bleu azur, sa peau était lisse et blanche, il avait des cils épais et les cheveux frisés.Tous les enfants auraient été effrayés si un pervers voulait toucher leur corps, mais ce garçon n’avait point réagi, il se tenait immobile sous le mûr comme si rien d’étrange ne s’était passé.Il faisait preuve plutôt de l’insensibilité que
Albert sentait un désir monter dans son corps, mais il a essayé de le réprimer. Il l’embrassait doucement et a dit : « Je suis en colère, du coup, je vais te punir. »Albert la soutenait de ses bras forts, elle enlaçait son cou en se tenant sur la pointe des pieds. Il lui a donné des frissons délicieux.Il faisait noir. La lampe du chevet était faible et jaune, la lumière effleurait doucement la peau blanche d’Isabelle, ses cheveux tombaient sur l’oreiller.Quelqu’un a poussé la porte de la chambre et est entré. En sentant quelqu’un s’allonger à ses côtés, Isabelle a ouvert lentement les yeux et a vu Albert assis au bord du lit.Il a demandé en effleurant son visage : « Ne veux-tu plus dîner ? »Isabelle s’est tournée sur le côté et a dit d’une voix rauque : « J’ai soif. »Albert lui a donc passé un verre d’eau sur la table tasse.Elle s’est levée et a vidé le verre d’eau à grande gorgée. Elle a bu si vite qu’elle a failli s’étouffer, de l’eau s’est rejailli sur la chemise d’Albert.Al