En disant cela, elle a jeté un coup d'œil à Vivian et a de nouveau souri : « Au lieu de lui demander de l'argent, vous pourriez aussi bien me le demander, n'est-ce pas juste de l'argent ? »Les deux hommes hésitaient.Le visage de Vivian a changé sous le choc : « Ne la croyez pas ! »« Vivian, tu ne peux pas te protéger et tu veux encore résister ? » Isabelle s’est penchée vers son oreille et a souri doucement : « Quand j’aurai vidé ton sang, comment pourras-tu leur donner de l'argent ? »Soudain, les deux gardes à l'extérieur de la porte ont été soudainement jetés à l'intérieur.Plusieurs gardes du corps vêtus de noir ont fait irruption avec des fusils à la main. Au moment où les deux hommes étaient sur le point de s'enfuir, ils ont été battus par les gardes du corps vêtus de noir, leurs fusils étant pointés sur leurs têtes.Albert marchait lentement depuis l'extérieur de la porte, comme s'il avait été un dieu descendant. Le froid rayonnant de son corps pouvait geler toutes les person
À l'intérieur de la voiture.Albert a sorti la boîte de médicaments et a essuyé l'égratignure sur la joue d’Isabelle. Bien qu'elle soit très peu profonde, une petite négligence laisserait une cicatrice.Isabelle s'est assise sur son siège et n'a ni parlé, ni regardé Albert.« Penses-tu que je suis cruel ? Et je t’ai effrayé ? »Albert a froncé les sourcils, il savait qu'il aurait pu l'effrayer, mais il ne pouvait vraiment pas se contrôler.Il était très en colère.Il voulait même tuer Vivian.Isabelle l’a regardé, ses lèvres ont bougé : « C'est bon. »Ses yeux étaient légèrement froids et ses lèvres fines légèrement entrouvertes : « Qu'est-ce que tu veux dire ? »Isabelle a étendu ses bras pour l'étreindre et a pressé son visage contre sa poitrine brûlante comme si elle comptait sur lui. Albert était stupéfait par ses actions.« Isabelle, tu... »Isabelle a baissé les yeux, a niché dans son étreinte chaleureuse et a souri : « Albert, je sais que tu ne me feras pas de mal, donc je n'aur
En entendant la promesse faite par l'homme derrière elle, Isabelle a souri avec désinvolture : « Tu l'as dit toi-même. »Il a souri avec passion : « Eh bien, je l'ai dit. »**Le jour suivant.Béatrice est venue dans l'entreprise, mais lorsqu'elle est passée devant la réception, elle a entendu quelques employés bavarder à propos de quelque chose.« Monsieur Albert et Madame Leroy ont été trop gentils depuis qu'ils ont obtenu leurs certificats. Ils avaient été secrets, mais maintenant, ils ne le sont plus. »« Ils se sont mariés, que cachent-ils ? »« Monsieur Albert adore vraiment Madame Leroy, je ne soutenais vraiment pas ce couple pour rien ! »Les pas de Béatrice se sont arrêtés légèrement, son visage était couvert d'un nuage.Vivian a perdu la liaison hier, et elle a déjà deviné que Vivian aurait pu échouer.Heureusement, le numéro de téléphone portable qu'elle a utilisé pour contacter Vivian n'était pas le sien, même si Albert le vérifiait, il ne la trouverait pas.La porte de l'a
Ses cils ont tremblé et elle a dit d'un air absent : « Albert, qu'est-ce que tu fais ? »« Tu ne t'es pas amusée à m’appeler chéri tout à l'heure ? Pourquoi as-tu encore changé tes mots, hein ? » Il était un peu mécontent.Isabelle a gonflé : « Je suis juste en colère contre elle, qui l'a laissé convoiter mon homme ... »Convoiter, son homme ?Albert était très satisfait de cette réponse.Il a posé sa main sur sa taille et l’a soulevée, les lèvres pincées : « Tu l’as dit tout à l'heure. À quelle chose excitante veux-tu jouer ? »Isabelle a tremblé de partout, a pressé sa main agitée. Elle avait un visage rouge et elle a serré les dents : « Albert, ne plaisante pas ici, j'ai dit que ce n'est pas ce genre de chose qui est excitante ! »Cet homme y pensait tous les jours, n'avait-il pas peur d'une insuffisance rénale ?Albert a souri et n'a rien dit.« De toute façon, tu as dit que tu vas rester avec moi toute la journée aujourd'hui. Alors, qu'est-ce que je veux faire, tu ne le refuseras
Pendant qu'elle parlait, elle a levé les paupières : « Isabelle savait qu’Albert avait une réunion dans l'après-midi, mais elle a quand même insisté pour laisser Albert sortir avec elle. Peu importe comment j’essayais de le persuader, Albert ne m’a pas écouté. »« Peu importe ce que je fais, Albert pense que j'ai tort, mais si cela continue, Albert ne voudra peut-être même plus de l'entreprise. »En voyant la main du vieil homme s'arrêter d’essuyer la porcelaine, les yeux de Béatrice ont brillé de froideur.Le Grand-père était déjà mécontent d’Isabelle, et ce qu'elle a dit impliquait sans aucun doute que c'était Isabelle qui avait encouragé Albert à ignorer l'entreprise.Comment une telle femme aux moyens vicieux peut-elle mériter de se marier avec le fils de la famille Brunerie ?Cependant, elle a attendu un moment, mais le vieil homme ne s’est pas mis en colère. Il a remis la porcelaine à M. Kolia et a dit avec ferveur : « Béatrice, tu dois être claire. En tant que président du Group
L'employée a terminé ses paroles et a frémi dès qu'elle a vu apparaître Isabelle, « Isabe... Mlle Leroy... » « De quoi parlez-vous ? » Isabelle souriait. Les deux employées voulaient dire quelque chose, mais semblaient un peu gênées. « Ce n'est pas grave, je ne vous en voudrai pas, je veux juste savoir de qui viennent ces mots ? » Isabelle gardait un ton lent. Sentant qu'elle n'était pas en colère, une employée a bégayé et avant de parler : « C'est... Cela vient du département de l'administration, disant que vous... que vous avez harcelé Albert hier pour l'empêcher d'aller à la réunion. » Isabelle a plissé les yeux : « Quelqu'un du département de l’administration ? » L'employée a hoché la tête, a pensé à quelque chose et a dit timidement : « Il semble que l'assistante Véran leur ait dit quelque chose, puis... » Isabelle a compris instantanément. Elle a souri et a hoché la tête, « Merci ». Département de l'administration. « En fait, je pense que Mlle Leroy est si
« Toi... » Les poings de Béatrice se sont serrés, ses yeux étaient écarlates de haine alors qu'elle la fixait. Ceux du département étaient silencieux. Pour être honnête, la plupart des affaires de l'entreprise étaient en effet traitées par l'assistant spécial Maloé. Et le président a donné beaucoup de choses à faire à l'assistant spécial Maloé. Mais après que l'assistant spécial Maloé ait été réaffecté et que cette assistante Véran soit arrivée, M. Albert semblait particulièrement occupé. Albert était le patron, et ils n'étaient que des employés qu’il avait engagés, et même s’il n'était pas présent à la réunion, l'assistant devait s’en charger. Ils se rendaient compte qu'on les mettait au pas. Ils avaient également vu les tactiques de la femme de M. Albert, et c'était une chance qu'ils ne soient pas ceux qui étaient battus. Isabelle avait toujours le sourire aux lèvres : « Assistante Véran, tu ne veux vraiment pas le faire. Tu peux réaffecter Maloé. Après tout, Maloé est
Les lèvres d’Albert étaient pincées. C’était bien Béatrice qui lui avait apporté cette photo à ce moment-là. Donc cette photo a été prise par Adèle ? Isabelle l’a appelé doucement : « Albert ». Il a repris ses esprits : « Oui ». « À quoi penses-tu ? » Ses yeux clairs et larmoyants le regardaient calmement, et il était vraiment dans la lune. Pensant à quelque chose, elle a froncé ses sourcils : « Tu ne me fais pas surveiller en secret, n'est-ce pas ? » Albert a levé la main et lui a caressé la joue, « Cécile et Quantin m'auraient dit n'importe quoi sur toi au camp d'entraînement, mais pour ce qui est d’Yves et toi, c'est Béatrice qui me l'a dit. » Béatrice ? Les yeux d’Isabelle se sont légèrement baissés. Adèle était donc l'« espionne » de Béatrice au camp d'entraînement ? Il n'est pas étonnant qu'elle ait porté cette bague en jade pour la retrouver, ce qui a provoqué un malentendu, et Albert a soudainement appris des choses entre elle et Yves et il les a mal compris.