« Maman, c’est sa mère qui a créé Buccellati, je ne peux pas la donner à mon neveu. »« Mais pourquoi ? »La voix de sa mère était tremblante de fureur, « Madelaine est morte, tu es depuis le propriétaire de Buccellati, c’est toi, son président, qui décides, ce n’est plus la peine de se soucier des sentiments d’une femme morte ! En plus, elle n’était pas du tout une femme droite, regarde ce qu’elle t’a fait, pourquoi tu ne peux pas l’oublier ? »Isabelle a entendu les mots de sa grand-mère à la porte du bureau. Elle y est entrée d’un air rembruni, « Mamie, qu’est-ce que ça veut dire ? »Sébastien s’est figé.Elle les a entendu parler ?Sa grand-mère n’avait pas prévu qu’Isabelle vienne à ce moment, elle lui a demandé en grinçant les dents : « Pourquoi es-tu ici ? »« J’ai fait libérer mon oncle, je voulais vous présenter mes félicitations, mais vous m’avez accueillie en insultant ma mère. »Elle a haussé les sourcils en croisant les bras, « Peut-être je n’aurais pas dû vous aider. »«
« Maintenant que ta grand-mère a exprimé son attitude, pourquoi n’as-tu pas profité de cette chance pour reprendre le contrôle de Buccellati ? »A demandé Victor d’un air confus, si elle avait demandé à son père de lui donner les actions, elle aurait déjà eu le contrôle de l’entreprise. Elle a éclaté d’un sourire léger, « Le studio n’est pas encore stable, je perdrai mon énergie et mon temps si je prends les actions de Buccellati maintenant, ça ne veut pas le coup. Mon père m’a promis qu’il ne donnera pas les actions à Kevin, je lui fais confiance. »Sans qu’elle s’en aperçoive, les tensions entre son père et elle se sont atténuées. Elle était haineuse contre lui, mais il était quand même son père biologique, les liens du sang avaient tout changé.Maléo est apparu à la porte du bureau avec une jolie boîte. Il a frappé sur la porte avant d’y entrer en souriant, « Mlle. Leroy. »Elle était figée, son regard fixait sur la boîte bleue dans ses mains, « C’est quoi ? »« C’est un cadeau de
« Je ne veux plus attendre. » Sa voix était rauque et basse.Il l’a baisée sur les lèvres.Dans la suite avec une vue fabuleuse, il l’a pressée contre le grand lit rond jonché de pétales des roses et l’a embrassée passionnément.Ses cheveux éparpillés sur son cou et ses épaules effleuraient sa peau et ont enflammé son désir profond.« Tu es une sirène malveillante, tu m’as vraiment séduit. » Sa voix basse lui a donné des frissons délicieux.« Je peux ? » A-t-il murmuré à son oreille.Le cœur d’Isabelle s’est adouci à cause de sa douceur, elle était figée pendant un instant, puis elle a rougi, « Voyou ! Tu n’as pas besoin de mon consentement… hmm… »Il a mis les mains sur sa taille, il avait hâte de la savourer, mais la sonnerie du portable a troublé l’ambiance affectueuse.Elle a tout à coup repris ses esprits, et a essayé de le pousser et se lever, « C’est mon portable… »« Laisse-le. »Il a grincé les dents, la flamme de désir s’est transformée en flamme de fureur. Qui pouvait bien l
« Mais non, ne te sous-estime pas ! Tu m’as sauvé la vie, la famille Leroy t’est reconnaissante ! »Elle avait encore froid au dos, si ce n’était pas Cérise, elle aurait été écrasée par une voiture.« Mon fils, tu n’es plus un gamin, ne parle pas tout le temps de divorce. Ça fait des années que tu vis avec elle. Ce n’est pas la peine de te fâcher contre elle, tu dois la comprendre, elle a menti parce qu’elle avait hâte d’avoir un fils, elle n’a pas tort ! »Puis elle a dit en jetant un regard à Isabelle : « On est une famille, on ne se fait pas de mal. »Il était évident qu’elle insinuait ce qu’avait fait Isabelle.Elle a levé les yeux en riant, « Quelle coïncidence que c’est Cérise qui vous a sauvée. »Cérise a mordu les lèvres en se disant : « La maudite, est-elle ici pour me gêner ? »« Isabelle, je sais que tu ne m’aimes pas, mais j’ai seulement voulu sauver ta grand-mère, c’est tout. Je ne vais pas m’en vanter pour revenir à la maison des Leroy, ni avoir la grâce de ton père. »Ce
Il lui a expliqué d’un air sérieux, ce qu’elle a trouvé étrange : « Isabelle, il ne faut pas contenir le désir, ce n’est pas bien pour la santé… »En rentrant à la maison des Brunerie, il l’a porté sur l’épaule et est monté à l’étage d’au-dessus, puis il l’a jetée dans le lit.Étant pressée contre le lit, elle a essayé de se débarrasser d’un air désemparé, « Les enfants sont ici, ce n’est pas le temps approprié… »« Ce n’est pas grave, ils se sont endormis. » Il a enlevé doucement sa robe, sa peau s’exposait peu à peu.« Tu as déjà payé la chambre d’hôtel ! »« Peu importe. »« Albert… hmm… » Avant qu’elle ne prononce des mots, ses lèvres ont été couvertes par les siennes.Elle avait du mal à respirer et a senti qu’il a tout à coup arrêté son mouvement. L’ambiance était un peu embarrassée.Il s’est levé et lui a tourné le dos, son beau visage était un peu raide.Elle s’est figée, c’est fini ?Elle le regardait du coin de l’œil, avec son beau visage et sa belle forme, ce serait dommage
À l’hôpital.Cérise est sortie de la chambre et a appelé sa fille sur le palier.« Vivian, ne t’inquiète pas, j’ai gagné la confiance de ta grand-mère. Une fois que je serai revenue dans la maison des Leroy, j’enverrai ton père à te chercher ! »« Il faut encore que j’attende ? Je ne peux plus rester ici ! »Elle détestait habiter dans cet appartement à loyer bas, elle n’aurait pas dû irriter son père, c’était beaucoup plus agréable d’habiter à la maison des Leroy !En la voyant pressée, Cérise a expliqué avec patience : « Sois patiente ! Il nous faut seulement du temps, on trouvera des moyens pour nous vengeons d’Isabelle ! »Elle a enchaîné : « Tu sais qu’elle a quelque chose sur moi, nous ne pouvons pas échouer cette fois, sinon nous perdrons tout ! »Après l’avoir écoutée, Vivian s’est efforcée à se calmer, « D’accord, j’attends. »Elle se disait : « La maudite Isabelle, je te donnerai une leçon une fois que je serai revenue dans la maison des Leroy ! »Au Groupe TG.Il était évide
Il lui fallait l’arrêter le plus tôt possible.Dans le Soul Studio,Le soir, les autres l’ont successivement quitté.Albert est venu dans le bureau d’Isabelle. Les bras croisés à la porte, il a vu Isabelle se tenir devant la bibliothèque pour rechercher des informations. Il ne détournerait plus les yeux.Elle ne l’avait pas vu, et donc, elle n’a pas arrêté de fouiller les données, mais elle a soudain eu un sentiment d’oppression apparaître derrière elle.Il l’a saisie à bras-le-corps et ça l’a choquée. Elle a su qui c’était avant de se détourner et a grincé les dents, « Albert, tu recommences ! »« Qu’est-ce que j’ai fait ? Je ne veux que te saisir. », il a ri et ne voulait pas lâcher sa jolie femme.Elle a respiré à fond. Dès qu’elle a pensé à ce qui s’était passé la nuit dernière, son visage est devenu tout rouge, parce qu’elle a réalisé l’incohérence entre les paroles et les actes.Elle ne voulait pas admettre qu’elle avait été séduite par lui.« Il est temps de chercher Orphée. »,
« Merci, Cérise. J’ai entendu dire que tu t’es occupée d’Angelina ces derniers jours. »Cérise lui a souri, « en tant que sa belle-fille, c’est normal que le fasse. »Luc a jeté un coup d’œil à Cérise, par rapport à elle sa propre femme enrobée n’avait plus de forme après son accouchement. Il pensait qu’il faut admettre que son frère était capable d’apprécier les femmes.Bien que Cérise commence à vieillir, elle semblait être à la fleur de l’âge et était voluptueuse.Élise a perçu le regard de Luc sur Cérise et elle a changé de visage. Il n’a été de retour que quand elle a toussoté.Il a souri avec embarras et a essayé de changer de sujet, « pourquoi Vivian et Isabelle ne sont pas encore venues ? »Angelina a dit à Cérise, « au moins, Vivian est ta fille. Je crois qu’il vaut mieux la faire rentrer pour le dîner. »Ses mots ont rendu Cérise contente, mais elle n’osait pas s’exprimer.Sébastien pensait à Vivian et c’est vrai qu’il ne l’avait pas vu depuis un moment. C’était quand même sa