Albert a pris une profonde inspiration et a dit avec un visage tendu : « Je vais en acheter pour toi. »Ce genre de chose, comment pouvait-il laisser un autre homme l'acheter pour elle. Albert a pris ses clés de voiture et s'est empressé de sortir. Voyant cela, Isabelle était complètement étonnée.Albert est entré dans le magasin le plus proche de son domicile. C’était la première fois qu’il achetait ce genre de chose pour une femme. Il ne savait pas les marques qu’Isabelle aimait, alors il a simplement choisi un de chaque.Lorsqu'il est arrivé à la réception pour passer à la caisse, la femme en moyen âge qui somnolait a été réveillée et était surprise par de nombreuses serviettes périodiques qui recouvraient la table.Elle a regardé Albert avec un regard étrange.Quel était le fétiche de ce jeune homme beau et séduisant ? Sous un tel regard, le visage d’Albert est devenu de plus en plus sombre. Il a couvert sa bouche par son poing et a toussé de manière embarrassée, « Je les achète
Albert a pris une lettre dans le dossier et la lui a donnée, « Regarde. »Cette enveloppe était remplie de photos.Isabelle les a regardées une à une, son visage est devenu sombre progressivement.Bien que les photos aient été prises il y a plus de vingt ans, elles étaient encore suffisamment claires pour reconnaître le visage de Cérise. Elle s’est bien maquillée, portait un vêtement sexy, et en train de faire plaisir aux hommes.Sur les photos, elle embrassait plusieurs hommes passionnément, allant même jusqu'à monter sur une table et se déshabiller. Il y avait de nombreuses photos intimes d'elle avec différents hommes. Isabelle n’avait jamais vu une Cérise comme ça dans la vie.De son impression, bien que Cérise soit une femme hypocrite et vicieuse, elle était complètement différente de la femme sur les photos.Isabelle a fait une pause, comme si elle comprenait quelque chose. Si la vie privé de Cérise était aussi désordonnée dans le passé, Se pourrait-il que…En voyant l'expression
« Allô, Vivian, qu’est-ce qui ne va pas ? »On a découvert que Vivian avait falsifié son identité ? Cérise était craintive et anxieuse : « Comment cela a-t-il pu arriver ? Ça n'allait pas bien avant ? »« C'est à cause de cette salope d’Isabelle ! C'est elle qui m'a démasqué ! Maman, je la déteste, je veux la tuer ! »Voyant les émotions instables de sa fille, Cérise a serré les dents pour se calmer : « Vivian, calme-toi, quand j’aurai réglé mes affaires, je viendrai te voir. » Une fois l'appel terminé, Cérise a regardé le paquet dans sa main avec indignation, « Bon sang, qui a envoyé ce paquet, ces photos…… »Ces photos révélaient son passé éhonté sans réserve ! Les personnes qui connaissaient son passé étaient les hommes dans la rue Clément. Alors c’était Noah qui avait fait ça ? Se pourrait-il qu’il ait échoué et qu'il essaie d'utiliser ces photos pour la menacer ?Non, elle n'allait certainement pas le laisser faire. Elle ne pouvait absolument pas laisser Sébastien le savoir.
« Je vais divorcer. » « Quoi… Quoi ? », Cérise s'est figée, regardant l’homme en face d’elle avec incrédulité.Sébastien a dégagé sa main prise par le médecin et a fixé Cérise avec colère : « Une femme comme toi, qui est pleine de mensonges ne mérite plus d'être ma femme, ne mérite plus d’être membre de notre famille Leroy. »Sans se retourner, Sébastien a quitté la salle.« Chéri, chéri ! », Cérise est descend du lit immédiatement et essayait poursuivre son homme. Mais elle était encore si faible qu’elle est tombée sur le sol, ses jambes semblaient se dérober sous elle.Elle avait beau crier, elle ne parvenait pas à le faire revenir.Elle s'est assise sur le sol et a pleuré amèrement.Quand le médecin a vu cela, il a plus ou moins sympathisé avec elle : « Madame, vous devriez d’abord vous lever. »Le docteur l’a faite s'asseoir sur le lit. Cérise a soudainement attrapé son bras : « Docteur, qui a m’a emmené et comment suis-je arrivé ici ? »« C'est quelqu'un qui a dit que vous aviez
Elle ne voulait pas retourner à son ancienne vie.Quitter la famille Leroy ne lui laisserait rien.Tant qu’elle pouvait maîtriser cette pute, tant qu’Isabelle était prête à lui pardonner, un jour elle la ferait disparaître.« Il est inutile que tu me supplies. Ce qui est fait est fait. », Isabelle s’est redressé : « Il y a six ans, tu m’as forcé à quitter la famille Leroy. Maintenant, il est temps pour toi et pour ta fille de partir. »Ne voulant pas jeter un seul regard à Cérise, Isabelle a quitté la salle. Maloé a lâché Cérise et l’a suivie.Cérise est restée figée sur place, son visage s’assombrissant peu à peu. **Maloé est retourné au bureau d’administration du TG et a également fait un rapport honnête sur ce qui s’est passé à son chef qui lui avait demandé de servir du garde du corps de Mlle…… En tant que secrétaire privé, Maloé était un peu impuissant.Albert l’écoutait, une main touchant son menton, l’autre posée sur le papier. On pouvait voir les coins de sa bouche avoir un
Comme être forcé de le faire.Elle l'avait ignoré auparavant, pensant qu'elle ne pourrait pas le faire longtemps de toute façon, mais comme elle agissait sans vergogne depuis si longtemps, Isabelle avait une excuse pour la laisser partir aujourd'hui.Émeline s’est rendu compte qu'Isabelle était décidée à la laisser partir, elle a donc regardé Albert : « Albert, Isabelle… »« Il n'est pas le chef ici, ça ne sert à rien d’avoir recours à lui. », le visage d'Isabelle s'est enfoncé, il n'y avait personne d'autre qu'elle qui osait manquer si ouvertement de respect à M. Brunerie.Albert a souri : « Ouais, je ne dirige pas cet endroit, Isabelle est la vraie patronne. » On a enfin connu l’harmonie entre le couple.Émeline s’est mordu la lèvre et s’est détournée avec des yeux pleins d'une rancœur sulfureuse.Isabelle s'est retournée, elle a remis les documents à l'employé de la réception, et puis elle est entrée dans le bureau.Albert l’a suivie, et la femme devant lui s’est retournée soudaine
« Tu dis n'importe quoi, comment mon fils pourrait-il t’insulter, comment peux-tu être si injuste après avoir battu mon fils ? », la femme a dit et a regardé l'enseignant : « Où est ton directeur, appelle le directeur pour juger, tu penses que la famille Avel est facile à intimider ? »Quand le professeur a vu cette scène, elle était impuissante en regardant Orphée : « Orphée, de toute façon tu as tort de frapper ton camarade et tu dois lui demander pardon. »« Pourquoi devrais-je m'excuser d'abord, il m'a traité d'enfant sauvage et d'orphelin de père, ne devrait-il pas s'excuser auprès de moi ? », Orphée lui a demandé.Giada a pris une profonde inspiration en écoutant : « Ton fils est si grossier, il l’appelle un enfant sauvage sans père ? »Merde ! Merci à elle d'être venue.Si Isabelle était venue, elle l’aurait giflée.Si en plus M. Brunerie était aussi là, la mère et le fils seraient vraiment foutus.« Tu dis n'importe quoi, quand mon fils a-t-il dit une telle chose ? Demande à mo
Philippe l'a tirée : « Tu n'as pas assez honte ? »Quand Mme Avel l'a vu, son arrogance a été réduite de moitié : « M. Thierry, vous êtes enfin là, vous devez m’aider, non seulement ce garçon a frappé mon fils, mais la femme m'a aussi frappé ! »« Mme Avel, votre fils qui a tort doit en effet être le premier à s'excuser. »Mme Avel s’est figée : « Mon fils.......... Comment mon fils a-t-il tort ? C'est mon fils qui a été battu, et en plus, maintenant c'est cette femme qui me frappe. »« Vous voulez savoir ce qui s'est passé entre votre fils et cet enfant, il suffit d'aller dans la salle de surveillance et de vérifier, quant à ce que vous avez fait avec elle… »Philippe a regardé Giada, qui rangeait ses vêtements.Giada a croisé son regard et a ri instantanément : « Alors ? Tu veux dire que c'est ma faute ? Cette Mme Avel a traité mon filleul de mère née sans mère, et elle veut l’exclure d’école, donc, je la frappe. »Sur ce, elle a croisé les bras et regardé Mme Avel : « Je te le dis,