« Oh là là, écoute ce que tu dis, comment puis-je t’oublier frère Noah ! »« He he, tu ne me cherches que quand tu te sens seule, non ? » Les doigts rugueux de Noah Gerard ont couvert sa taille.Cérise s’est plainte : « Il ne s’intéresse pas à moi, que puis-je faire ? »« Merde, si ce n’était pas le refus de Sébastien de me toucher pour avoir un fils, aurais-je pensé à une telle chose ? C’est Sébastien qui a été le premier à être impitoyable, alors ne me reproche pas de l’avoir cocufié ! Quoi qu’il en soit, j’ai pu prendre Vivian dans les bras pour le conquérir à l’époque. Cette fois, je peux encore donner naissance à un fils de quelqu’un d’autre pour le reconquérir ! » A pensé Cérise.Noah a ri aux éclatés : « Je pense que tu me cherches dans un autre but, n’est-ce pas ? »« Frère Noah, c’est vous qui me comprenez un peu plus. » Cérise a dit vicieusement en le regardant dans les yeux : « Frère Noah, bien sûr, je vous cherche pour une chose. Je sais ce que l’on fait, vos subordonnés,
Un message est soudainement apparu sur l’écran de son téléphone. Elle a pris le téléphone et a regardé le contenu du message. Ses yeux ont changé brusquement et elle s’est levée.Elle est sortie en courant à la hâte, et quand elle est tombée sur Victor, il lui a demandé : « Isabelle, qu’est-ce qui ne va pas ? »« Quelque chose est arrivé à mon père. » Avant qu’elle ne pouvait pas en dire assez, elle est sortie en courant.En la voyant pressée et en l’entendant dire que quelque chose était arrivé à Sébastien, l’expression de Victor a changé instantanément. Il devrait le dire à monsieur Brunerie.Isabelle est allée au parking souterrain et a vu que la portière de la voiture de son père était ouverte et qu’il était allongé sur le volant, immobile.« Papa ! » Elle allait s’approcher pour vérifier et elle a été assommée par un choc électrique. Avant de perdre connaissance, elle a vu le visage de l’homme qui l’a assommée.Cet homme...Puis, elle est lentement tombée au sol.Deux autres homme
« Albert ? »Isabelle a entrouvert les yeux et a pris l’homme à côté du lit pour Albert.Il s’est baissé et a approché son oreiller à sa bouche, « Tu m’appelles comment ? »Elle s’est efforcée à prendre son col, mais elle l’a relâché tout de suite quand elle a vu qu’il n’était pas Albert.Elle s’est tournée et a vu plusieurs hommes qui lui semblaient avoir le même visage autour d’elle, et ils semblaient tendre la main vers elle.Elle a perdu le contrôle et a crié en tenant sa tête, la peur a rendu terrible son visage magnifique.« Cette potion est très efficace ! »En voyant sa folie, ces hommes ont compris que la potion avait commencé à affecter ses nerfs.C’était quand ils étaient prêts à quitter qu’on a ouvert la porte d’un coup de pied.Ils ont changé de visage. C’était un homme boiteux qui tenait une canne, un groupe de grands hommes musclés étaient avec lui.L’homme a enlevé son chapeau, « Relâche-la ! »« M. Faubert, pourquoi… » a demandé un homme.« Vous avez enlevé la petite a
Albert a demandé en les fixant un regard glacial : « Quelle sorte de potion ? »Une fois que l’homme a prononcé le nom de la potion, il lui a donné un fort coup de pied et l’homme est tombé.Les yeux d’Albert étaient enflammés de fureur : « Vous lui avez injecté une potion aussi forte ? »« Juste une petite dose. » a expliqué l’homme d’un air désemparé.Trois doses consécutives provoqueraient un effet d’addiction. Elle a pris une dose, ce serait quelques jours de souffrance.Ils n’avaient jamais pensé qu’Albert vienne.Albert a pris Isabelle dans ses bras, et leur a laissé des mots menaçants : « Si quelque chose de mal lui arriver, vous serez foutus ! »Dans la voiture.Albert a serré Isabelle contre lui et a pris ses mains pour la réchauffer.« Isabelle ? » a-t-il appelé d’une voix douce.Elle a entrouvert les yeux et le fixait d’un regard vide.Il avait mal au cœur en la voyant ainsi, il a dit d’un ton bas à Maléo : « Plus vite. »« C’est compris. »La voiture a accéléré.Sous l’effe
Sa belle-mère était vraiment très vicieuse, elle a fait injecter des doses addictives à une autre femme pour écarter les obstacles sur le chemin menant à un avenir brillant de sa fille biologique.Noah était presque mort, il a jeté un coup d’œil à Albert assis dans le canapé, les jambes croisées.Il était comme un diable de l’enfer. Son visage était indifférent, ses yeux étaient glacials et perçants, et des brins de cruauté se lisaient sur son visage.Albert le fixait d’un regard dominant et lui a demandé d’un ton léger en baissant son corps : « Dans ce cas-là, je te laisserai vivre de grâce. »Ayant senti ce dernier espoir, les yeux de Noah étaient envahis de larmes de reconnaissance, mais les mots lancés par Albert après cela lui a fait froid au dos, et des brins de peur sont montés sur son visage.« Casse ses membres, et répand le mot que, la personne qui le fourni des traitements médicaux connaitra le même sort que lui. »Puis il s’est levé et s’en est allé sans se retourner.Maléo
En voyant Maléo entrer, Isabelle a rappelé quelque chose, elle lui a demandé : « Où est Albert ? »« Il est rentré pour se changer, il m’a envoyé vous rendre visite. » a répondu Maléo en riant.Elle se disait : « Peut-être son tailleur avait des taches de sang. »« Maléo, est-ce que j’ai mordu Albert ? » a demandé Isabelle d’un ton léger.Elle se souvenait d’avoir mordu quelqu’un sur l’épaule et d’avoir entendu la voix d’Albert.Maléo a forcé un rire en grattant la tête : « Oui, vous avez une bonne mémoire… »Isabelle a baissé les yeux, elle ne s’était pas trompée.Une pensée lui est venue, elle a posé encore une question : « Est-ce que Déotille est au courant que je suis à l’hôpital ? »Ça faisait déjà quelques jours qu’elle n’était pas rentrée à la maison, qu’est-ce que les enfants penseraient ?Maléo a répondu : « Votre état n’était pas stable il y a quelques jours, et M. Brunerie ne voulait pas qu’ils soient inquiets, du coup il a pris la décision de ne pas leur dire. »Isabelle a
À la maison de Leroy.« Pa ! »Sébastien a giflé fortement Cérise, elle restait immobile de stupeur en couvrant sa joue de sa main.Il a été emporté par la fureur quand il a appris que Cérise avait fait enlever Isabelle.« Espèce de connasse ! Je vous traite toujours bien toi et ta fille, mais vous avez pactiser pour faire du mal à Isabelle, pensez-vous que je suis déjà mort ? »Cérise tremblait, elle n’avait jamais pensé que son plan aurait échoué à cause d’Albert !Elle ne savait pas comment se défendre. En voyant que son mari était vraiment en colère, elle a dit précipitamment : « Mon chéri, je peux t’expliquer… »« Peux-tu te justifier pour tes actes ? » Sébastien était très déçu, « J’ai toujours cru que tu te souciais d’Isabelle pour de vrai, mais maintenant je me trouve ridicule ! »Il a finalement compris les raisons pour lesquelles Isabelle ne pouvait toujours pas s’entendre avec Cérise et sa fille. Il avait du mal à croire qu’il l’avait chassée de la maison à cause de ça.Il a
« Vous ne vous sentez toujours pas satisfaits. »Sébastien n’a jamais pensé à la place d’Isabelle, parce qu’il n’osait pas le faire auparavant.Il se sentait redevable envers Cérise et Vivian, mais il devait à Isabelle aussi. Il portait toujours un peu de haine contre elle parce qu’elle ressemblait trop à sa mère, elle lui faisait penser à Madelaine. Parfois elle lui manquait tellement qu’il se sentait accablé par des émotions pénibles.Il se souciait plus de Vivian parce qu’il se sentait coupable de ses accusations de fille illégitime. C’était très difficile de balancer la vie.Il ne s’était pas rendu compte à temps que c’était à Isabelle qu’il devait le plus au lieu de Cérise et sa fille.Cérise avait les jambes faibles, elle avait du mal à se tenir debout, du coup elle s’est glissée pas terre. Il lui semblait que Sébastien avait pris fermement la décision de se divorcer, mais elle perdrait tout sans la famille Leroy.Ce n’était pas possible qu’elle revienne dans son quartier sale e