« Elle a dit qu’elle était prête à accepter un test ADN. », a dit Méline. « Si elle est vraiment la fille de Madeleine, on devra accepter la vérité. »Philippe a haussé les épaules. Depuis qu’elle avait injurié les deux enfants et avait jeté du café à la femme du restaurant, il avait une mauvaise impression d’elle.Il avait entendu parler de Madeleine par sa mère. Pourquoi elle, qui était si bien élevée, avait une fille si grossière ?Même si le test ADN confirmait son identité, il ne changerait pas d’avis sur elle.« Au fait, en ce qui concerne le designer Zora, qu’est-ce que tu as trouvé ? »Philippe a répondu, « elle a été la designer de bijoux de Zazie. Elle s’appelle Isabelle Leroy et a une liaison avec Albert. »Elle a réfléchi, « oh, c’est elle qui a fait tout cela. »Vivian lui avait dit qu’elle avait une demi-sœur, qui s’appelait Isabelle Leroy et avait collaboré avec Ophélia Simone pour la piéger. « Du coup, c’est Isabelle qui avait encouragé les accusations sur Internet. Et
« Papi, est-ce que tu as pensé à nous ? », Poema lui a demandé avec ses grands yeux.« Bien sûr, vous m’avez tellement manqué ! », il a touché son nez du bout du doigt, ses yeux remplis de faveur.Comme c’était la première fois qu’Orphée venait, il était curieux de tout autour de lui, « comme c’est beau, papi. »Il a ri, « Ha Ha Ha, ce château vous appartient aussi. »Une bonne a amené Isabelle dans sa pièce.Elle avait été modernisée, dont la vue était agréable et calme. De l’intérieur, on pouvait voir des fontaines et des statues dans le jardin.Et son portable a sonné.C’était son père, Sébastien.Elle a marché vers la fenêtre et a répondu au téléphone avec hésitation. « Allô, c’est toi Papa ? »« Oui. Isabelle, j’ai rassemblé les effets de ta maman. Lorsque tu seras libre, je te les apporterai. Ça va ? »Les effets de maman ?Elle pensait toujours que son père n’avait rien laissé de sa mère.Isabelle a pincé les lèvres et sa voix était un peu rauque, « D’accord. »Après avoir raccr
« Oui, j’ai tout vu, et alors ? »,elle a haussé les épaules.Il lui a simplement dit, « rien. Apparemment, ça ne te dérange pas. » Et il l'a quittée.Il pensait qu’il n’avait pas besoin de lui expliquer.Elle a été bloquée. Ce qu’il avait dit lui a fait mal au cœur.Elle a fermé les poings. « Oui, je m’en fiche. Je ne dois pas avoir affaire à lui. »Et pendant ce temps, les trois petits l’ont vu depuis la porte. « Il y avait une crise dans la relation entre maman et papa ! »Par hasard, le vieux Monsieur Brunerie se tenait à l’arrière. Il a caressé leur tête.Après qu’Isabelle soit repartie, ils ont demandé, « papy, que ferait-on si maman n’acceptait jamais papa ? »Le vieux Monsieur Brunerie a clairement vu le problème de leur relation, « dans ce cas, ce serait parce qu’Isabelle ne se sent pas en sécurité quand elle vit avec Albert. Voilà la clé. »Elle se demandait si Albert méritait sa confiance. Elle s’inquiétait de l’amour, du mariage et de la fondation d’une famille.On ne savait
Elle s’est figée et a été embarrassée, « monsieur, je n’y ai pas pensé. »« Je dis ça comme ça. Cécile n’est pas attirée par Albert. Elle le dégoûte, ha ha ha ! Si tu t’amusais plus avec elle, tu l’aimerais. »Orphée a dit, « c’est ça, maman. Tante Cécile est sympa et semblait irréfléchie. Mais elle parle un peu fort. »Elle a fait bonne figure en pensant, « si je m’explique plus, on croira que je suis vraiment jalouse. Je ne serai jamais jalouse d’Albert. »Elle était jalouse de ses enfants, qui vantaient une autre femme auprès de leur mère. Poema s’est approchée de Déotille et a murmuré, « maman est en colère, n’est-ce pas ? »Il a hoché la tête en signe d’approbation.« Oh, non ! »Cécile est entrée en courant et criant. Elle était à bout de souffle.Le vieux Monsieur Brunerie s’est levé, « qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’es pas sorti avec Albert et Déotille ? »Elle était pressée et avait les larmes aux yeux, « Déotille a dit qu’il voulait acheter des jouets à Poema et Orphée. Et nous
Quand Isabelle ne pouvait rien faire, elle a essayé de téléphoner à Albert, mais en vain.« Est-ce que Déotille a porté sa montre-téléphone ? »Elle a encore essayé de l’appeler mais il n’a non plus répondu.Et ça lui a fait encore plus peur.« Comment c’est arrivé ? Il leur est arrivé quelque chose ! »« Isabelle, Maloé est venu ! », quand Cécile a à peine terminé sa phrase, ils ont vu Maloé arriver avec beaucoup de gardes du corps.« Cécile, qu’est-ce qui est arrivé à Albert et Déotille ? »« Maloé, pardon, tout est de ma faute. Déotille a soudain disparu. Albert et moi nous nous sommes séparés pour le chercher. Mais depuis, je ne les trouve pas. Bouh ! »C’était la première fois que Cécile faisait une telle erreur. Elle était familière avec chaque endroit de ce bourg mais a laissé disparaître un enfant sous son nez. Elle avait honte.« Albert n’est-il pas allé à l’extérieur du bourg pour chercher Déotille ? C’est peu peuplé là-bas. Si Déotille a été enlevé par des kidnappeurs, ils n
Isabelle s'est approchée de lui, ne sachant pas si elle était effrayée ou non, tout son corps s'est accroupi sans défense devant lui, « Détoille, où étais-tu, pourquoi es-tu comme ça ? » « Je suis désolé, maman, j'ai fait du mal à papa. », le ton de ce petit était terriblement calme, provoquant la stupéfaction d’Isabelle.« Il a été blessé ? »À ce moment-là, le médecin est sorti de la salle, « Lequel d'entre vous est de la famille d’Albert ? »Isabelle s'est levé, de manière maldroite.Et à ce moment-là, Maloé est venue : « Nous le sommes tous, puis-je demander ce qui ne va pas chez lui ? »Le visage du médecin était sévère : « Les blessures ont toutes été traitées, et nous lui avons également injecté le sérum. Heureusement, le serpent qui l'a mordu n'était pas très toxique, sinon, les dieux n'auraient pas pu le sauver. Quant aux spécificités, nous devons encore les observer pendant deux jours. »« Albert a été mordu par un serpent venimeux ? », Isabelle a serré les lèvres, son visag
Albert s'est levé lentement, l'a regardé et a dit mot pour mot : « Tu me nourris. »Si c'était dans le passé, Isabelle aurait laissé tomber la boîte de riz et aurait dit qu'il pouvait manger ou pas, mais aujourd’hui elle n'a rien dit. Au contraire, elle s'est assise sur le bord du lit et a porté le riz à sa bouche. Elle était un peu gênée par son regard direct, et a expliqué : « Je le fais juste pour la promesse avec Détoille. »Un sourire léger errait dans le visage d’Albert. Il mangeait, la fixant avec des yeux sans sourciller.Soudain, il semblait qu'il était bon d'être blessé. Quand il a fini de manger, elle s’est levé et a couvert la boîte. Alors Albert s'est adossé sur l'oreiller et la regardait. Voyant qu'elle n'est pas partie, il a ouvert la bouche : « Tu restes avec moi ? »« Tu crois que j'en ai envie ? », s'il n'avait pas été blessé parce qu'il avait sauvé Détoille, elle ne serait pas y restée.Albert a clignoté les yeux et a soudainement tiré les couvertures et a tapoté l
Le visage d’Albert est devenu de plus en plus sombre.Maloé a de nouveau frappé la tête de sa sœur et lui a dit en serrant les dents : « Mange. »Malgré cela, Cécile a dit à Isabelle d’un ton excitant, semblant avoir pensé à quelque chose : « Ma belle-sœur, laissez-moi me présenter, mon nom est Cécile, je suis la petite sœur de ce Maloé stupide. Comme tu le vois, Albert est notre chef, nous avons juste une amitié pure et dure, ne te méprends pas. » Un sourire errait sur le visage d’Isabelle. « La personnalité de Cécile était en effet assez extravertie. Et sa voix est vraiment haute ! », a-t-elle pensé.Isabelle s’est tourné vers Maloé : « Alors tu as une sœur ? »Maloé a dit de manière impuissante : « Elle est restée dans l'armée, et quand elle a su qu’Albert vous avait ramené à la maison, elle s'est glissée pour jeter un coup d'œil. »« Arrête-toi là ! Je l'ai signalé à l'officier, d’accord ? », Cécile a réfuté.Mais son frère lui a jeté un regard : « Si ce n'était pas à cause d’Albe