Les yeux d’Albert sont tombés sur son ordinateur, où se trouvait la vidéo d’excuses de Sébastien.Il a froncé légèrement les sourcils et a posé ses mains sur ses épaules. Lorsque ses doigts ont touché sa peau, elle a tremblé légèrement, comme un choc électrique. L’homme se tenait derrière elle et lui massait doucement les épaules. Si quelqu’un d’autre voyait cette scène, sa mâchoire tomberait probablement sous le choc. L’honorable monsieur Brunerie massait les épaules de quelqu’un ?Albert a soudainement dit légèrement : « Veux-tu que je te raccompagne chez les Leroy pour le dîner ? » « Alors là je suis désolée mais je n’y suis pas bienvenue. Si tu veux prendre le dîner, tu dois retrouver Vivian... Ouille ! » « Ça fait mal ! Cet homme-chien l’a fait si dur ! » Albert s’est penché et s’est approché de son oreille : « Je sais que tu es jalouse de Vivian, mais je n’ai jamais pris l’initiative d’aller chez les Leroy avec elle. Seulement à cet égard, tu as déjà gagné. » « Hehe, alors qu
Un brin acéré se lisait sur son visage.Vivian avait le visage pâle, « Ma mère est décédée quand j’étais toute petite, je… »« Ça suffit. » a dit Méline d’un ton impatient, « Sois plus disciplinée, ne souille pas la réputation de ta mère. La faiblesse de ton caractère ne plaira pas à ton grand-père. Les femmes de la famille Besson sont fortes, je vois que tu n’es pas du tout comme nous. »« Vous avez raison, j’ai compris. » a dit Vivian en serrant les poings.Elle a supporté tout ça pour le bonus du statut noble de la famille Besson. « Je suis fatiguée, je vais me reposer. » Méline s’est levée et a monté les escaliers.Vivian est sortie de la maison des Thierry, l’attitude de Mme Thierry l’a plongée dans l’angoisse. Il était évident qu’elle avait des doutes sur son identité. Elle ne se laisserait pas prendre par le destin, elle devait faire quelque chose. Elle s’est faite passer pour un membre de la famille Besson avec beaucoup de peine, elle devait éliminer les doutes de Mme Thierr
Sa grand-mère a répondu d’un air embarrassé, « Parfois j’ai la tête embrouillée, sache que je suis vieille. »Elle était confuse, pourquoi Albert est venu avec Isabelle ? Elle croyait que c’était Vivian qui entretenait une bonne relation avec lui.À côté de Cérise qui était nerveuse, Émeline était attirée. Depuis qu’Albert était entré dans le salon, elle avait le regard braqué sur lui. Quel homme beau ! Il était beaucoup plus beau que les hommes dans la télévision.« Isabelle. » Sébastien l’a vue sur les escaliers, il était un peu surpris. Il a cru qu’elle n’y mettrait plus le pied.« Je suis venue dîner avec M. Brunerie, est-ce que c’est possible ? »Isabelle regardait son père. Elle a remarqué des cheveux gris, il avait l’air flétri.Avant que Sébastien ne lui réponde, sa grand-mère s’est avancée vers eux d’un air hospitalier, « Bien sûr ! C’est notre honneur que l’on puisse avoir M. Albert au dîner. »Puis, elle a ordonné à la cuisinière de préparer plus de mets.« Isabelle. » Une f
« M. Brunerie, quelle est votre relation avec Isabelle ? » a demandé la grand-mère d’Isabelle.Albert a répondu d’un ton léger : « Elle est ma fiancée, pourquoi ? »En entendant sa réponse, la grand-mère d’Isabelle était surprise. Elle n’avait pas prévu que c’était Isabelle qui avait gagné le cœur d’Albert.« Isabelle, pourquoi tu t’es fiancée et ne nous l’as pas dit ? »« Ce n’est pas la peine. » a dit Isabelle avec un sourire sec sur le visage. Elle savait que sa grand-mère ne lui parlerait pas sur un ton pareil si Albert n’était pas autour de la table. C’est au statut d’Albert qu’elle accordait de l’importance.« Quand vas-tu m’épouser ? » a demandé Albert.Isabelle a failli tousser, elle s’est tournée vers lui en se disant : « Il rêve, c’est seulement pour une scène mise devant ma famille. »« Isabelle, tu es une femme adulte, il est temps que tu épouses un homme responsable. M Brunerie t’aime, qu’est-ce que tu attends ? »Si elle épousait Albert, non seulement la famille Leroy tir
Après le dîner, la grand-mère a proposé à Albert et Isabelle de passer la nuit dans la maison des Leroy. Isabelle a voulu refuser, mais Albert a dit oui.La grand-mère était contente, elle a dit d’un ton hospitalier : « Si vous avez des besoins, n’hésitez pas à nous en informer, faites comme chez vous. »Albert n’a pas réagi à ses mots, du coup elle a forcé un sourire embarrassé.Isabelle a voulu dire quelque chose, mais Albert a pris la parole : « Je voudrais voire ta chambre. »Sa chambre ? Isabelle s’est figée. Ça faisait déjà six ans qu’elle n’habitait plus ici.Sébastien a répondu : « Les dispositions de sa chambre n’ont pas été changées, je vais envoyer des personnes la nettoyer. »Après un moment, ils se sont rendus dans la chambre d’Isabelle. Les dispositions étaient intactes. Seulement le lit était trop petit pour Albert. Il regardait autour la chambre, et a remarqué une photo posée sur le placard, c’était Isabelle quand elle était petite.C’était une fille mignonne, tout com
« Albert n’a pas de pyjama, c’est pour vous demander si vous pouvez lui en prêter un. »Sébastien a éclaté de rire, « J’ai des nouveaux assortiments de pyjama, je vais t’en apporter. » Sébastien lui a passé le pyjama, puis quand elle a voulu partir, son père lui a dit : « Isabelle, je te dois trop. »« Ne dites pas ça… » Isabelle a baissé les yeux, elle n’avait pas le courage de regarder son père dans les yeux, du coup elle est revenue précipitamment dans la chambre.Sébastien se sentait pesant. Même s’il savait que sa fille ne le pardonnerait pas, il était très satisfait qu’elle l’appelle papa.Elle a vu une fille à la porte de sa chambre, c’était Émeline. Il semblait qu’elle était en train de dire quelque chose à Albert. Son air était timide et réjoui. Isabelle a compris qu’elle s’intéressait à lui.En voyant Isabelle, Albert a haussé les sourcils, « Ça y est ? »Elle n’a pas réagi au comportement de sa cousine, elle a juste passé le pyjama à Albert, « C’est nouvellement acheté, to
Il n’est pas allé plus loin, « Dors. »En sentant sa respiration tranquille, Isabelle était soulagée, elle s’est endormie.Le lendemain matin, Albert et elle ont descendu les escaliers ensemble. Sébastien a préparé en personne le petit-déjeuner. En les voyant dans la salle à manger, il a dit en riant : « Bonjour, prenez le petit-déjeuner avant de rentrer. »Isabelle s’est assise sur la table. Émeline est venue avec la grand-mère d’Isabelle vêtue d’une jolie robe.« Isabelle, est-ce que toi et Albert avez bien dormi ? » a demandé d’un ton chaleureux la grand-mère d’Isabelle.Elle a répondu d’un ton indifférent : « Oui. »La grand-mère a fait un signe du regard à Émeline. Elle est venue à côté d’Isabelle et a demandée : « Isabelle, est-ce que ça te dérange que je m’asseye ici ? »Isabelle a répondu d’un ton froid : « Fais à ton gré. »Elle a tiré la chaise et a pris la place à côté d’elle. Elle a dit d’un ton poli : « Je viens d’arriver dans la capitale, j’y suis totalement une étrangèr
La grand-mère d’Isabelle a rougi, elle était sur le point de laisser sortir la colère.En entendant les mots d’Isabelle, Émeline se sentait honteuse, mais elle a accepté le travail pour approcher Albert.« Isabelle, je suis un peu maladroite, j’espère que toi et M. Brunerie ne serez pas déçus de moi. »Isabelle a dit avec un sourire sur le visage : « Je serai très stricte. » Émeline : « … »Albert a éclaté d’un rire. Il a trouvé mignonne la mine décisive de sa fiancée qui voulait pousser Émeline dans son piège .Émeline a visité le Groupe TG comme elle le voulait. Elle était très émouvante de voir l’empressement des employés de cette grande entreprise. L’importance de l’entreprise d’Albert l’a surprise, il méritait bien le statut noble dans la capitale. Si elle pouvait travailler ici, elle aurait des chances de se faire remarquer par lui !Elle est arrivée au sixième étage avec Isabelle, elle a regardé autour, et a demandé en feignant l’indifférence : « M. Brunerie n’est pas ici ? »