Le bracelet appartenait à la mère d'Isabelle, mais comment aurait-elle pu imaginer qu’elle était une noble, et que si elle le rendait, ils connaîtraient Isabelle. Comment a-t-elle pu laisser Isabelle récupérer son identité et faire brimer par Isabelle.« Mais, papa... », elle était un peu hésitante.Cérise a réfléchi calmement pendant un moment : « Ton père ne doit pas être au courant, alors ta grand-mère et lui ne doivent pas le savoir. Prends le bracelet et vas rencontrer Mme Thierry, puis tu trouves un moyen de cacher la vérité jusqu'à ce que tu habites chez les Bessons, tu pourras obtenir tout quand tu auras remplacé Isabelle, non ? »Cérise a grandi avec une vie difficile, et si elle n'avait pas rencontré Sébastien, elle ne saurait pas comment vivre frugalement dans ce petit bungalow.Naturellement, elle ne voulait pas que sa fille soit comme elle, et même si elle savait que la fortune de la famille Leroy ne la rendrait pas très riche, néanmoins, elle était au moins en sécurité.
Orphée : « OK. »Il est reparti.Philippe a pris les documents sur la table et les a regardés.OrphéeLe nom de famille de ce petit gars était aussi Leroy ?**Albert a appris que Sébastien était venu visiter Isabelle et, ne sachant pas ce qu’il lui avait dit, elle est devenue déprimée et est restée dans le bureau.Est-ce que Sébastien l’avait encore brimée ?Avec cette idée en tête, il est allé directement au seizième étage.Il est arrivé à son bureau et il a poussé la porte. Elle était assise sur le canapé, les jambes repliées dans un câlin, l'air un peu désespéré.Même quand elle a vu Albert, elle n'a pas eu sa réaction habituelle.D'habitude elle était aussi sauvage qu'un chaton, mais là, était tranquillement assise, comme un pauvre chat abandonné, et il ne savait pas quoi faire.Il s'est approché d'elle, et l'a regardée longuement, puis il a tendu la main et touché sa tête.Ses yeux ont clignoté et elle les a levés, croisant le regard d'Albert avant de détourner légèrement le visa
Ce bâtard, tout ce qu'il savait faire c'est détruire l'atmosphère !Maloé ne s'est pas soucié de savoir si M. brunerie voulait le tuer, il a dit : « Le vieux Monsieur Brunerie a envoyé une vidéo, en disant que c'est important ! »Albert est retourné à son bureau et le vieux Monsieur Brunerie, qui apparaissait à l'écran, semblait l'attendre. En le voyant regagner son siège il a dit : « La mère d'Isabelle était de la famille Besson ? »Le regard d'Albert était fade : « Est-ce que Quantin vous a dit ? »C'est une affaire qu'il a demandée à Quantin d'examiner, et il n'en a même pas parlé à Maloé.Le visage du vieux Monsieur Brunerie s'est creusé : « Ton grand-père rentre à la maison à la mi-juin. »« Il va revenir ? », Albert lui a demandé.« Hé, c'est parce qu’il sait que tu as des bébés et bien sûr, il reviendra pour confirmer. Tu penses pouvoir le lui cacher ? »Albert n'a rien dit.Il savait seulement qu'il y avait eu un différend avec la famille Besson en raison du lien de son arrière
Buccellati était sous les feux de la rampe depuis un certain temps, tout comme cette fille appelée Vivian qui était profondément impliquée dans le scandale qui avait piégé la fille aînée de la famille Simone.Si ce n'était pas le fait qu'elle avait le bracelet de sa sœur Madelaine...« As-tu vraiment fait ce qui est arrivé à Mlle Simone ? »« Je n'ai pas fait ça. »Vivian a fait semblant d'avoir l'air triste : « J'ai été piégé, je ne connais pas Mlle Simone, et je ne sais pas pourquoi elle m’a calomniée. »Méline a posé sa tasse de thé : « Comment peux-tu être si différente de ta mère, Madelaine ? »Ses mots ont affolé Vivian.L’a-t-elle soupçonnée de mensonge ?Le visage de Vivian était embarrassé alors que le coin de son front se couvrait d'une fine sueur imperceptible, elle lui a répondu : « Ma... mère, elle est morte quand j'étais toute petite et j'ai toujours été élevée par une nounou. »« C’est vrai ça ? »Méline regardait la jeune fille devant elle, si soumise et prudente, si di
« Mamie, Buccellati marche mieux, vous pouvez vous assurer. »« Bien sûr, c’est grâce à toi. » a dit sa grand-mère d’un ton satisfait en prenant sa main.Cérise a ajouté : « Vivian est le porte-bonheur de la famille Leroy, vous pourrez jouir tranquillement de votre vie quand Vivian connaitra un essor fulgurant. »La grand-mère de Vivian était très contente, bien sûr qu’elle voulait que ses petits-enfants soient tous riches et puissants, pour qu’elle puisse jouir pleinement de sa vie à la retraite.Les affaires à Brozie ne marchaient pas très bien. Elle avait compté sur son petit-fils, mais il l’a déçue. C’était pour ça qu’elle est venue à la capitale, pour regagner Buccellati.Ses vœux n’ont pas échoué. Même si son petit-fils n’a pas atteint son but, sa petite-fille a réussi à l’atteindre. C’était un résultat satisfaisant.« Si seulement Émeline avait la moitié de capacité de Vivian ! » a dit la grand-mère de Vivian.Ça faisait un moment qu’elle était à la capitale, et Vivian ne l’avai
Trois jours après.La vente aux enchères se tenait à sept heures comme prévu.Les participants ont reçu chacun un masque à l’accueil, ils sont entrés dans la salle après avoir mis le masque.Non seulement des pièces de bijoux prestigieuses, mais des antiquités seraient présentées.La salle était luxueuse et élégante avec un dôme joliment peint. Les gens pouvaient s’asseoir au premier étage. Au deuxième étage, huit loges privées étaient installées. Par la porte-fenêtre, les personnes dans les loges privées avaient des vues claires des participants à l’étage d’au-dessous et la scène des enchères.Seules les personnes les plus riches et les plus nobles avaient accès aux loges privées de deuxième étage.On devait avoir assez d’argent pour participer à la vente aux enchères en tout cas.Isabelle et Victor sont entrés dans la salle en portant des masques. Elle portait une robe blanche à col haut et avait les cheveux tordus en chignon. Son habillement lui donnait une impression charmante et
Isabelle et Victor ont suivi la serveuse.En les voyant sur les escaliers qui menaient au deuxième étage, le visage de Vivian s’est rembruni. Elle était prévenue que seulement les personnes les plus nobles et riches auraient l’accès aux loges privées, est-ce Albert qui les avait invités ? À cette pensée, elle s’enflammait de fureur. Ce soir, elle détruirait Isabelle devant lui.La serveuse a ouvert la porte de la loge privée, deux gardes de sécurités se tenaient debout. Isabelle a cru que c’était Albert, mais elle a eu tort. L’homme s’est tourné vers eux, c’était Aubéron. Isabelle était surprise de le voir.Il n’a pas porté de masque, il avait un sourire charmant sur le visage, « Il semble que j’ai les yeux assez perçants, je vous ai remarqué dans la foule. »Isabelle s’est avancée vers la porte-fenêtre et a jeté un coup d’œil à la foule à l’étage d’au-dessous, elle était curieuse, « Pourquoi es-tu ici ? T’intéresses-tu aux bijoux ? »Aubéron assistait rarement aux activités. On ne l
Les applaudissements éclataient dans la salle.Les prochaines pièces étaient encore de Mibijou. Après quelques tours, l’offre de la pièce vendue au prix plus cher était de 1,68 billiards.Un collier de bleu canard a été présenté sur l’écran. En voyant la pièce, Victor a regardé Isabelle d’un air angoissé. Aubéron s’est aperçu de son regard, du coup il a regardé Isabelle du coin de l’œil.Le nom du designer du collier était affiché sur l’écran : « Vivian Leroy. »La foule a sifflé et s’est mis à discussion. Les pièces présentées étaient des œuvres de grandes marques ou de designer de renommée, mais personne n’a jamais entendu parler d’une designer Vivian Leroy.Seulement certains connaissaient son nom dans la farce qui s’est passée sur Facebook entre elle et la fille des Simone.Cependant, la pièce présentée était remarquable. La pierre principale était d’un saphir brillant en forme d’une goutte, des petites pièces de saphir décorées étaient comme les tâches sur le plumage d’un paon.C’