Elle n’était qu’une invitée de ce banquet, pas l’organisatrice, alors ce n’était pas ses affaires.Ophélia a regardé autour d'elle, et a vu ces gens qui se parlaient à l’oreille, et a soudainement compris ses paroles déplacées. Elle l'a entourée de ses bras : « Tu es la fille de quelle famille ? »Isabelle a haussé les épaules et n'a rien dit.Vivian, qui semblait vouloir se comporter, s'est approché d'elle et a dit : « Nous sommes de la famille Leroy et c'est ma sœur. »D’après Vivian, sa famille Leroy possédait un peu poids dans cette ville.Ayant entendu cela, Isabella s'est frotté le front et s’est dite dans le cœur : « notre famille est riche, c’est vrai, mais elle ne faisait même pas partie du rang noble. Comment Vivian ose dire ça avec confiance. » « La famille Leroy ? », Ophélia a répété : « La famille Leroy ? Pourquoi n'en ai-je jamais entendu parler ? »Dès que ces mots ont échappé de la bouche d’Ophélia, Vivian était gênée.Et quelqu'un dans la salle semblait s’en rappeler
« Pfft »Il y a eu un grand bruit, la scène était en désordre. « Isabelle ! »Victor était si effrayé qu'il s'est précipité pour l'aider, tandis qu'elle tombait, écrasant les bouteilles et les verres sur la table, non seulement sa robe de soirée, blanche comme neige était tachée de rouge, mais même son bras était coincé dans le verre brisé.Tous les commentaires et accusations étaient dirigés vers Ophélia.Pourtant, Ophélia s'est figée sur place, avec un visage un peu pâle : « Non… Non, je… Je n'ai aucune intention de la pousser. Je ne l’ai pas poussée du tout ! » « Isabelle, tu es blessé ? », Victor s'est crispé quand il a vu son bras coupé. Vivian qui regardait, avait un air suffisant. Elle a pensé dans son cœur : « Bien qu'elle ne soit pas morte, elle serait probablement mise à la porte pour avoir fait tant d'histoires, non ? »« Je vais bien, tonton. », Isabelle s'est lentement levée malgré son malaise, en regardant avec une expression calme Ophélia qui était prise de paniq
Le cœur de Vivian a éclaté de joie lorsqu'elle a vu Albert approcher.« Albert… ». Cependant, elle venait à peine d'ouvrir la bouche qu’il est passé à côté d'elle, comme si elle n'existait pas.Il est arrivé devant Isabelle sous l'attention de la foule.Ophélia était abasourdie. Comment ? Ça pourrait être Monsieur Albert ? Comment était-ce possible ? « Mon… Monsieur Albert… Quelle est votre relation avec cette femme, comment pourriez-vous… »Albert a jeté un coup d'œil de côté et a balayé un regard froid sur elle : « Mlle Simone semble ne pas vouloir continuer à subsister dans ce cercle, comment vous osez blesser même ma femme ? »Isabelle était la femme d’Albert !La foule était choquée. Après tout, il n'avait jamais annoncé en public qui était sa femme, et aujourd'hui, il avait effectivement admis qu'il avait une femme !Le cœur de nombreuses célébrités a été brisé.Vivian, qui se tenait à côté, avait un visage de plus en plus pâle, et ses ongles s'enfonçaient dans les paumes tandi
Il a tendu la main sur sa nuque et l'a ramenée en avant, l'embrassant durement sur les lèvres avec un toucher punitif.« Eh bien....... Albert, lâche-…moi ! », Isabelle, qui venait de reprendre son souffle, a encore été embrassée, et il a pressé son corps directement contre elle.Elle était tellement assommée par son baiser.Le souffle d’Albert l'enveloppait, et ses mains d’Isabelle contre sa poitrine ne pouvaient que tirer sur son col.« Ça fait mal, tu me presses…… », Il écrasait son bras et elle a crié de douleur.Il s'est légèrement redressé pour essayer de ne pas lui presser le bras tout en mordillant ses lèvres et en disant tout bas : « Oseras-tu te laisser blesser la prochaine fois ? »Elle n'a pas répondu.Les paumes d'Albert sur sa taille l’ont touchée.Elle a soudainement frémi et a retenu ses paumes agitées et chaudes : « Je……j'ai tort, je sais que j'ai tort ! »Ce n'est que lorsque Albert a vu qu'elle était prête à céder qu'il s'est lentement redressé, son regard était froi
Donc, Isabelle connaissait déjà Liville il y avait 6 ans.Il réfléchissait à quelque chose quand il a vu une silhouette délicate apparaître lentement dans son champ de vision.Le dessin de la grue sur le cheongsam était bien coupé, avec une taille serrée, et des lignes douces qui faisaient chanter le cœur.Le cheongsam était si beau sur elle qu'elle ressemblait à une belle femme dans un tableau, si belle qu’on ne pouvait pas regarder ailleurs.Albert la fixait de près, son regard brûlant.Quelle séduisante femme !Il voulait lui arracher ce cheongsam et la dévorer fortement.Elle semblait lire le danger affiché dans ses yeux.Elle s'est retournée, et a essayé de s’en fuir.Elle venait de tendre la main pour ouvrir la porte quand une main l'a dépassée et s’est s'accrochée derrière elle. La paume d’Albert a entouré sa taille fine et il s'est penché vers elle, puis il lui a dit : « Isabelle, tu es belle… »Il a baissé la tête et a embrassé le cou d’Isabelle.« Albert, ne fais pas ça… », E
Isabelle, dans son cheongsam, marchait avec lui de la chambre vers la salle du banquet.Les deux ont ébloui lors de leur apparition au banquet.Albert était toujours le même Albert cool et indifférent, et Isabelle avait trop peur pour le regarder après avoir vu un « spectacle merveilleux ».Elle n'a rien fait.Ah, elle voulait perdre la mémoire !« Isabelle », Victor s'est approché d'elle, l'inquiétude se lisait sur son visage : « Tu vas bien ? »« C'est bon, cette petite blessure a été soignée. », Isabelle a souri.Albert a passé son bras autour de sa taille et a souri à Victor : « Ne vous inquiétez pas M. Luxembourg, je vais m'occuper d'elle maintenant que je suis là. »Debout dans la foule, Vivian serrait son verre de plus en plus fort pendant que tous les regards étaient portés sur Isabelle et Albert. Elle a serré les dents de haine en écoutant les commentaires envieux de ceux qui l'entouraient.A l'origine, c'était elle qui aurait dû être aux côtés d'Albert.Isabelle n'aurait jama
Une fois qu’Ophélia aurait pris ses dispositions, elle allait délibérément prévenir Albert, puis elle allait emmener tout le monde à la recherche d’Isabelle. Le temps qu'ils la trouvent, Elle serait déjà tombée dans le piège. Elle serait devenue le jouet de ces hommes-là.Elle avait hâte de voir ce spectacle. Après ce soir, Isabelle serait en disgrâce !Et alors, même si son bébé était celui d'Albert, les Bruneries n'accepteraient pas non plus une femme aussi impure !Isabelle a suivi le barman jusqu'à une chambre où Ophélia était assise et l'attendait.Après le départ du barman, Ophélia s'est levée et s'est dirigée vers elle : « Mlle Leroy, je suis désolée, tout est de ma faute. Je voulais te voir seule cette fois pour m'excuser, me pardonneras-tu ? »Ophélia a pris sa main. Elle demandait pardon avec une expression sérieuse.Si Isabelle ne savait pas déjà ce qu'elles préparaient, elle aurait pu penser qu’Ophélia savait sincèrement qu'elle avait tort.Elle a retiré sa main lentement e
Isabelle s'est approchée de l'homme en noir, elle a pris le téléphone sur Ophélia inconsciente, l'a déverrouillé avec son empreinte et a envoyé un message à Vivian.Elle lui a demandé de venir dans vingt minutes.Quand elle a fini d'envoyer le message, elle a remis le téléphone dans la poche d’Ophélia et puis elle s'est levée : « Joël, je te laisse ici. »L'homme en noir a hoché la tête.Isabelle a quitté la chambre, et elle s’est dirigée vers le balcon.Un homme d'âge moyen se tenait sur le balcon, avec ses longs cheveux blonds attachés en arrière. Il s’est retourné lentement. Il portait des lunettes vintages à monture fine argentée avec des accents de chaîne, associées à un costume noir foncé, sophistiqué et gentleman.« Tonton Liville, vous arrivez juste à temps. », Isabelle s'est avancée avec un air enjoué sur le visage.Le gentleman qui se trouvait devant elle n'était autre que Liville. De son apparence, il était difficile de croire que ce bel homme métisse avait en réalité quaran