Ce n'est pas que je me sentes totalement étourdie, quand je suis dans tes bras...
C'est juste que j'ai du mal à respirer.
Après tout, tu me laisses si peu de temps pour le faire. Tes lèvres assaillent les miennes, sans arrêt. Je me sens totalement dépassée, je dois l'avouer.
Mais malgré ça Mathéo, malgré ce minuscule détail qui m'empêche de te montrer à quel point je me sens bien entre tes bras. Je garde cette envie inassouvie, de vouloir tout partager avec toi. Tout même le fait que je sois totalement dépassée par tes baisers.
Alors, timidement j'essaie de te rendre ses baisers dont tu m'abreuves, ces baisers débordants d'amour, de passion, d'envies inassouvies...
Du moins j'adorerais le faire, mais je suis quelque peu débordée, par le fait que tes mains viennent se glisser sous mes jambes, que brusquement je me retrouve soulevée par la taille, alors que j'arrive à peine à répondre à tes assauts.
Je devrais t'avouer Mathéo, que je ne sais pas comment réagir face à tes mains qui ne s'arrêtent pas de glisser le long de mes cuisses. Tes mains qui me font frissonner dès la seconde où je les sens au niveau de la plissure qui sépare mon bassin de mes cuisses.
Un gémissement m'échappe, alors que tes pouces, s'y aventurent, que je les sens en train effleurer, l'élastique de ma culotte.
- On va y aller doucement ... Tu disais ? Te murmures je pour que tu retrouves tes esprits.
C'est alors que tu souris, m'embrasse, et te résigne en remontant tes doigts vers l'intérieur de mon sweat. Difficilement, j'arrive à me remettre doucement, mais surement de ta dernière attaque.
Je soupire contre ton oreille, tandis que je m'accroche à tes hanches, en passant mes jambes autour de ses dernières, et pour garder l'équilibre je prends l'initiative d'entourer ton cou de mes bras.
Encore une fois puis je réellement parler " d'équilibre " ?
Quand je me sens vaciller, lors de ces moments où ta langue est trop entreprenante. Putain, tu es juste trop ... Waouh, comment tu arrives à faire ça ? J'ai l'impression, que mon corps est en feu. J'en perds mon équilibre et mes jambes peinent à rester accrocher à tes hanches.
C'est dans ce genre de moments où tu me sens flancher, que tes bras retrouvent mes cuisses, que délicatement tu poses mon dos contre le bas des escaliers, en profite pour me laisser respirer et à la seconde où je commence à retrouver mes esprits, tu recommences à m'embrasser jusqu'à ce que je me remette à vaciller.
Sérieusement, je me demande s'il me reste du baume sur les lèvres.
Je veux dire ... ça fait combien de temps que nous sommes dans cette position ?
Et puis, comment se fait-il que je ne me lasse pas de te sentir entre mes bras ?
Comment se fait-il que malgré le fait que je me sente trembler comme une feuille morte au passage du vent automnale , Je n'ai aucune envie de me séparer de toi. Ma rafale de vent frais à moi. Mon Mathéo... C'est incroyable à quel point je me sens bien entre tes bras.
C'est dans un soupir contre ton oreille, que tu te décides à délaisser mes lèvres, et en accord avec l'enchaînement auquel tu m'as habitué, je resserre mes jambes autour de tes hanches, niche mon front au niveau de ton cou, alors que tu me portes en direction de la salle à manger. En prétextant :
- Je pense que je te devrais te nourrir avant toute chose.
Je suis encore dans les nuages, quand tu t'assieds sur l'une des chaises de la salle à manger.
Je m'accroche à ton t-shirt, par peur de tomber.
Il me faut une petite minute pour me rendre compte du fait, que je sois à califourchon, sur toi, face à toi, je peux voir ton visage de si près.
Être si près de toi, me fait juste réaliser à quel point ces moments, où je suis entre tes bras, sont si précieux à mes yeux. Je n'y peux rien, c'est comme si je ne me contrôlais plus, c'est comme si une autre personne avait pris possession de mon corps, un autre moi, qui m'est étranger.
Un autre moi, qui a aussi envie de te faire ces choses que tu passes ton temps à me faire.
Je parles bien, de ma paume de main qui caresse ta joue. De tes yeux, qui se plongent dans mon regard, de l'accord silencieux qui se conclut entre nous, à cet instant où tu sembles te poser la même question que moi :
Est ce que je vais t'embrasser ?
Suis je juste en train de t'admirer ? Ou bien Ai je d'autres idées en tête ?
Mais moi, je ne sais pas, je ne sais pas ce que je veux.
Tout ce que je sais, c'est bien le fait que je me sens vraiment bien entre tes bras.
Mais vraiment, je me sens beaucoup trop bien entre tes bras, Mathéo ...
je me sens si bien que quand je pense à toi, à ton corps, à la manière dont tes bras ne peuvent pas s'empêcher de se cramponner, à moi. Quand je pense à tout ça, je commence à comprendre pourquoi tu ne pouvais pas t'arrêter de m'embrasser.
Tout devient si clair !
Je n'ai qu'une envie c'est de t'embrasser.
Je meurs d'envie, de sentir tes lèvres contre les miennes, je meurs d'envie de t'entendre murmurer à mon oreille :
- Embrasse moi... Andréa, fait le s'il te plaît, je me sens mourir là.
J'arrive pas à croire que tu viens de dire exactement ce que je voulais entendre.
Tu es exceptionnel, c'est incroyable ...
J'expire toute cette tension qui est en train de s'accumuler au niveau de mon torse, avant de me décider à abréger tes souffrances.
Pour une fois, que ce n'est pas moi qui te supplie de le faire, pour une fois que ce sont mes doigts qui vont encadrer ton visage, pour une fois que ce sont mes lèvres qui vont initier, tout ce processus.
Long, doux, enivrant...
Ce n'est qu'un baiser après tout, mais comment se fait-il qu'un simple, et banal baiser, me perturbe autant !
C'est pas possible ! Il doit y avoir une autre raison, une explication logique et rationnelle qui me permettrait de comprendre pourquoi je tremble autant, alors que c'est moi qui suis en train de t'embrasser.
Qu'est ce qui se passe ? seraient ce mes hormones ?
Ces hormones qui sont restées endormies trop longtemps ? Ces zones de mon cerveau que je viens de découvrir, car c'est la première fois que je les stimules autant ? Une sorte de sixième sens, qui se serait mis en marche, dès la seconde où tu m'as submergée de baisers.
Je ne sais pas ! Je n'arrives pas à réfléchir...
Pas quand je suis dans tes bras, pas quand je t'embrasse, pas quand ce sont mes lèvres qui partent à la recherche des tiennes, pas quand je suis l'initiateur du mouvement, et que tu me secondes, par tes doigts si curieux qui ont trouvé mon soutien gorge, et qui ne se prie pas pour le dégrafer.
Un soupir de soulagement m'échappe, alors que tu fais glisser les bretelles de mon soutien gorge le long de mes bras, et que je le sens maintenant tomber le long de mon ventre.
Oui c'est à cet instant, que tes doigts effluèrent mon ventre, que surprise je fais rentrer mon ventre alors que tu me débarrasses une fois pour toute de ce soutien gorge, en le jetant loin de nous.
Mes yeux s'ouvrent tandis que notre baiser est terminé.
Ce n'est sérieusement pas du jeu...
- Comment arrives tu à me rendre mon baiser et à enlever mon soutif en même temps ?
Tu te mets à rire, me fait un clin d'œil.
- Un magicien ne relève jamais ces secrets. Me réponds-tu fièrement.
Je déteste, quand tu joues à ce jeu là. Mais je dois avouer que tu as du mérite. C'était vraiment un coup de maître, sérieux... Je ne me suis pas trompée en te choisissant.
Enfin, je crois... J'espère ? Et merde c'est reparti !
Soucieux tu me demandes :
- ça va ? Tu fais une de ses têtes.
- Euh... C'est rien ne t'inquiète pas.
Tu fronces des sourcils, ne lâche pas mon regard quand tes doigts s'aventurent encore à l'intérieur de mon sweatshirt. Je gémis légèrement, alors que je sens tes doigts entourer mes seins. Je me fige un instant, alors que tu les presses. Mes doigts s'accrochent à ton t-shirt, légèrement dépassée par la situation, je te murmure péniblement :
- Qu'est ce que ... Tu fais !?
- Je n'aime pas les secrets. Allez dit moi ce que tu penses.
- Je ne pense à rien !
Ma voix part dans les aigus, alors que tes lèvres se sont logés dans mon cou. Entre deux baisers, j'entends ton détestable ton de maître chanteur, me murmurer :
- Je n'arrête pas tant que tu ne me diras pas
- Mais puisque je te dis que ce n'est rien !
Mais, il peut arrêter un peu ?
Je n'ai pas vraiment envie de lui prendre la tête avec ces problèmes, de filles ... Vierges.
Sérieux, lui dire un truc du style : J'ai peur de prendre la mauvaise décision.
Il n'y a pas mieux pour plomber l'ambiance.
Je devrais dire des trucs sexy style euh... Tu es beau gosse ?
Putain, je suis nulle !
Mais vraiment mon niveau de sexyatitude est si bas que je devrais prendre des cours du soir.
Pour essayer de te calmer, j'imagine. Je me dis que te mordre l'oreille n'est pas si mal, quand Chuck le fait à Blair ça semble tellement sexy ! C'est décidé... Je vais te mordre.
C'est ainsi que je retourne mon cou vers toi, que je me tortille juste ce qu'il faut, pour arriver à ton lobe d'oreille que je mord avidement.
Tu te stoppe un instant; t'éloigne de moi, clignes des yeux plusieurs fois, essaie de dire quelque chose, mais n'y arrive pas car tu es pris par un fou rire incontrôlable, et moi je suis super gênée !
-Mais arrête c'était super sexy !
Tu ne me réponds pas, et continue de rire. Je lèves les yeux aux ciels, me mord la lèvre un peu sur les nerfs. Il se fout de moi... C'est pas sympa.
Je soupire, longuement.
Tes yeux se lèvent vers moi, et il ne faut pas être devin pour voir à quel point je suis en train de rougir, je me sens nulle. Je déteste ça.
Je ne m'attendais pas vraiment au fait que tu passes ta main sur mes cheveux, que tu essaies surement de me réconforter quand tu me dis :
- C'était mignon.
Je pense que tu ne pouvais pas dire quelque chose de plus insultant que ça.
Je ne sais pas d'où me vient ce courage, quand je me décide, à enlever ta main de ma tête, que je te regarde droit dans les yeux quand je te réponds sur de moi :
- Je ne veux pas être mignonne ! Je veux être sexy !
Je ne sais pas s'il s'agit du silence le plus sensuel qui m'a été donné de vivre entre tes bras, ou s'il s'agit du moment le plus gênant qu'il m'a été donné de vivre entre tes bras.C'est surement pour ça Mathéo que je te fixe dubitative, effrayée à l'idée d'entendre ta réponse. C'est vrai quoi ! Ca fait si longtemps que tu ne dis rien...- Pourquoi tu ne dis rien ? Te demandais je désespérée. A aucun moment, nos yeux n'ont cessé de se fixer, c'est comme si au sein de l'iris de l'autre, on essayait de décrypter un nombre infini de chiffres qui défilaient à une
Je n'avais jamais réellement fait attention, à ta musculature. Oui, Mathéo je n'avais jamais remarqué à quel point, tu avais de la force dans tes bras. Du moins c'est ce que je me dis, vu la facilité avec laquelle tu me portes pour monter les escaliers. Voir ton visage de si près, t'ai je déjà dit à quel point, rien ne vaut ce genre de moments que nous partageons,tous les deux ...Ces moments de complicités.Ces moments où il devient évidant pour moi de comprendre à quel point je t'aime.Ces moments durant lesquels je me rends compte du fait que toi et moi sommes réellement des âmes sœu
Le souffle de ton soupir s'étalait le long de ma poitrine, je ne sais plus vraiment quoi te dire, quand tu t'écroules entre mes bras, Et que l'espace qui sépare chacun de mes dix doigts, se retrouve combler par les tiens. Tu soupires encore une fois, seulement cette fois c'est contre mon oreille.Toi, tu soupires mais moi j'inspire. Tu as besoin d'évacuer ta frustration tandis que moi j'ai besoin de renouveler la quantité d'oxygène qui circule dans ma cervelle. Je suis un peu perdue, alors que tu me demandes :- Qu'est ce qui ne va pas cette fois ?-Rien ...- Rien ne va ! Me demandes-tu surpris, alors que tu relèves soudainement, ton torse afin de
Je me laissais tenter par le côté moelleux et si relaxant que pouvait m'offrir ton lit, quand tu m'as dit ses mots auxquels je ne m'attendais pas vraiment :- ça te dit de prendre une douche ?-Hum... Qu'est ce que tu as dis ? Je te mentirais si je te disais que j'avais encore toute ma tête.Tu soupires, rit contre mon oreille.- C'est normal, on appelle ça le sommeil post coïtal.Je te réponds par un rire léger.- Je ne pensais pas que tu savais que le mot coït voulait dire sexe.- Ah ouai
Cela fait quelques minutes déjà que j'entends l'eau coulée dans la salle de bain.Je sais que je lui ai dit que je n'étais pas contre l'idée d'une douche à deux, mais toutes ses minutes qui se sont écoulées depuis son départ du lit me semblent tellement longues, et difficiles à supporter !Il me manque, je le veux dans mes bras !Je soupire bruyamment pour qu'il l'entende toute mon exaspération, n'hésite pas à lui crier :- Mathéo ! Vient me chercher... Qu'est ce que je me sens comblée, quand je te vois faire éruption dans la chambre.
Plus je farfouille dans mes affaires, et moins j'ai l'impression d'avoir fait le bon choix. Je me tourne vers toi, deux nuissettes à l'intérieure de chacun de mes poings.Dans celui de droite, c'est une nuisette en soie, finition en dentelle et de couleur doré, tandis que l'autre est en satin, sans dentelle et de couleur blanche. Je ne sais sérieusement pas quoi porter et après la douche hyper ambuée que l'on vient de prendre, je n'ai plus réellement les idées en place.Dans un soupire, je me laisse tomber au creux de ton lit, croise mes avant bras sur mes yeux, alors que je sens un poids s'étaler le long de mon corps.Je déglutis, sait pertinemment qu'il s'agit de toi, il n'y a personne d'autre à
- Arrrgh !Hurlais je totalement soulée par l'information que tu viens de me donner ! - Je n'ai aucune envie de participer à la moindre soirée Mathéo, annule ! Ses bras entourent, ressent, encore plus ma taille, contre son bassin et la douceur de ses cheveux caressent ma nuque alors qu'il me murmure : - Je n'ai pas vraiment le choix tu sais ? - Bien sur que tu as le choix ! Le soupire qu'il vient d'émettre contre mon oreille commence à me faire comprendre que sa manière de négocier n'est vraiment pas loyale. -Mathéo ... Pas ce soir, c'était notre week-end
Les fêtes de dernières années n'ont littéralement rien à voir, avec tout ce que j'ai pu voir dans ma vie. Elles sont beaucoup plus...- Démentiel ! S'écria Tiffany avant de m'arracher la bouteille de tequila des mains.- Mais comment as tu su ?- Quoi ! comment ça, commet j'ai su ? Tu n'as pas entendu ce que j'ai dit ?- Il semblerait...Elle lève les yeux aux ciels, soupire avant de me dire encore une fois.- Je parle des bas que je viens d'acheter, ils sont démentiels, Louis est fou d'eux ! Il passe son temps à dire qu'ils les adorent, et d'ailleurs je crois qu'il veut m'acheter d'autres pairs voir des ensembles ! Toute euphorique, Tiff
Je déteste le fait de savoir que la fin de la récréation pour moi et Mathéo arrive à grand pas...Eh oui on est Jeudi et ma mère rentre Vendredi.Ça été la plus belle de toutes les semaines de toute ma vie !Maissérieusement...c'était génial.Je me demande si je ressentirais encore tant d'émotions surprenantes et nouvelles en si court l'abs de temps, dans ma vie. Je me demande réellement si c'est possible.Pourrais- je revivre ça un jour ?J'aimerais beaucoup en tout cas.En fait j'aimerais me sentir aussi épanouie, tous le jours de ma vie.Et si c'est en compagnie de l'homme quej'aime ...Bon Dieu ! Que demander de plus ?Vivre d'amour et d'eau fraîche si c'est avec Mathéo &ccedi
Les fêtes de dernières années n'ont littéralement rien à voir, avec tout ce que j'ai pu voir dans ma vie. Elles sont beaucoup plus...- Démentiel ! S'écria Tiffany avant de m'arracher la bouteille de tequila des mains.- Mais comment as tu su ?- Quoi ! comment ça, commet j'ai su ? Tu n'as pas entendu ce que j'ai dit ?- Il semblerait...Elle lève les yeux aux ciels, soupire avant de me dire encore une fois.- Je parle des bas que je viens d'acheter, ils sont démentiels, Louis est fou d'eux ! Il passe son temps à dire qu'ils les adorent, et d'ailleurs je crois qu'il veut m'acheter d'autres pairs voir des ensembles ! Toute euphorique, Tiff
- Arrrgh !Hurlais je totalement soulée par l'information que tu viens de me donner ! - Je n'ai aucune envie de participer à la moindre soirée Mathéo, annule ! Ses bras entourent, ressent, encore plus ma taille, contre son bassin et la douceur de ses cheveux caressent ma nuque alors qu'il me murmure : - Je n'ai pas vraiment le choix tu sais ? - Bien sur que tu as le choix ! Le soupire qu'il vient d'émettre contre mon oreille commence à me faire comprendre que sa manière de négocier n'est vraiment pas loyale. -Mathéo ... Pas ce soir, c'était notre week-end
Plus je farfouille dans mes affaires, et moins j'ai l'impression d'avoir fait le bon choix. Je me tourne vers toi, deux nuissettes à l'intérieure de chacun de mes poings.Dans celui de droite, c'est une nuisette en soie, finition en dentelle et de couleur doré, tandis que l'autre est en satin, sans dentelle et de couleur blanche. Je ne sais sérieusement pas quoi porter et après la douche hyper ambuée que l'on vient de prendre, je n'ai plus réellement les idées en place.Dans un soupire, je me laisse tomber au creux de ton lit, croise mes avant bras sur mes yeux, alors que je sens un poids s'étaler le long de mon corps.Je déglutis, sait pertinemment qu'il s'agit de toi, il n'y a personne d'autre à
Cela fait quelques minutes déjà que j'entends l'eau coulée dans la salle de bain.Je sais que je lui ai dit que je n'étais pas contre l'idée d'une douche à deux, mais toutes ses minutes qui se sont écoulées depuis son départ du lit me semblent tellement longues, et difficiles à supporter !Il me manque, je le veux dans mes bras !Je soupire bruyamment pour qu'il l'entende toute mon exaspération, n'hésite pas à lui crier :- Mathéo ! Vient me chercher... Qu'est ce que je me sens comblée, quand je te vois faire éruption dans la chambre.
Je me laissais tenter par le côté moelleux et si relaxant que pouvait m'offrir ton lit, quand tu m'as dit ses mots auxquels je ne m'attendais pas vraiment :- ça te dit de prendre une douche ?-Hum... Qu'est ce que tu as dis ? Je te mentirais si je te disais que j'avais encore toute ma tête.Tu soupires, rit contre mon oreille.- C'est normal, on appelle ça le sommeil post coïtal.Je te réponds par un rire léger.- Je ne pensais pas que tu savais que le mot coït voulait dire sexe.- Ah ouai
Le souffle de ton soupir s'étalait le long de ma poitrine, je ne sais plus vraiment quoi te dire, quand tu t'écroules entre mes bras, Et que l'espace qui sépare chacun de mes dix doigts, se retrouve combler par les tiens. Tu soupires encore une fois, seulement cette fois c'est contre mon oreille.Toi, tu soupires mais moi j'inspire. Tu as besoin d'évacuer ta frustration tandis que moi j'ai besoin de renouveler la quantité d'oxygène qui circule dans ma cervelle. Je suis un peu perdue, alors que tu me demandes :- Qu'est ce qui ne va pas cette fois ?-Rien ...- Rien ne va ! Me demandes-tu surpris, alors que tu relèves soudainement, ton torse afin de
Je n'avais jamais réellement fait attention, à ta musculature. Oui, Mathéo je n'avais jamais remarqué à quel point, tu avais de la force dans tes bras. Du moins c'est ce que je me dis, vu la facilité avec laquelle tu me portes pour monter les escaliers. Voir ton visage de si près, t'ai je déjà dit à quel point, rien ne vaut ce genre de moments que nous partageons,tous les deux ...Ces moments de complicités.Ces moments où il devient évidant pour moi de comprendre à quel point je t'aime.Ces moments durant lesquels je me rends compte du fait que toi et moi sommes réellement des âmes sœu
Je ne sais pas s'il s'agit du silence le plus sensuel qui m'a été donné de vivre entre tes bras, ou s'il s'agit du moment le plus gênant qu'il m'a été donné de vivre entre tes bras.C'est surement pour ça Mathéo que je te fixe dubitative, effrayée à l'idée d'entendre ta réponse. C'est vrai quoi ! Ca fait si longtemps que tu ne dis rien...- Pourquoi tu ne dis rien ? Te demandais je désespérée. A aucun moment, nos yeux n'ont cessé de se fixer, c'est comme si au sein de l'iris de l'autre, on essayait de décrypter un nombre infini de chiffres qui défilaient à une