Le lendemain,
Sophie s'engagea à tout faire pour la guérison de Souleymane. Et comme promis, elle passa chez lui pour en discuter avec mère Djieynaba. Celle-ci lui accorda son autorisation car une seule chose l'intéressait, la santé de son fils. Elle sait qu'elle fera face à la colère de son mari mais elle est prête à encaisser.
De ce pas, Sophie rentre chez elle pour préparer leur voyage pendant que Mère Dieynaba toquait à la porte de la chambre de son fils.
- Oui Entrez !
- Souleymane, tu es là.
- Oui Ma, vient.
Mère Djeynaba constata
HELLO GUYS !Je m'excuse du retard par rapport aux publications.Parfois, c'est le temps qui fait défaut.Bonne lecture !***************Quelques jours après,Souleymane Jules Diop et ses amis quittèrent Ndayane pour rentrer à Dakar. Il se sentait plus léger que d'habitude. Il n'est pas encore au meilleur de sa forme mais il ressentait un s
La vie n'est pas toujours à notre portée.On peut croire, faire ou dire des choses et nous en sortir facilement mais le karma est toujours au coin de la rue pour changer la donne.Après que Seynabou ait reçu la nouvelle sur le décès de sa mère, sa grand-mère a demandé à ce que ses cousines prennent soin d'elle, le temps qu'elle joigne tonton Kabir au téléphone.Comme les a demandé Maman Africa, les filles aidèrent Seynabou à s'installer dans la chambre.Ses pleurs sont le seul son qui anime l'espace.Les filles ont décidé de garder le silence et de la laisser reprendre des esprits.Grand-mère appelle Manuella qui la rejoignit au plus vite dans sa
Après sa discussion avec sa grand-mère, Manuella était perplexe à l'idée de retourner à Dakar chez son mari.Certes elle ressentait pour lui quelque chose de spécial mais la peur qui l'animait à l'encontre de sa belle-mère ne la quittait pas pour autant et devoir retrouver Ndèye Fatou lui provoquait des maux de gorges.Elle marchait dans les rues de St-Louis, l'esprit en bataille. Elle ne laissait personne indifférente mais elle ne faisait pas attention aux regards indiscrets. Elle n'était pas consciente de sa beauté et se refusais de se donner de la valeur. Malgré ce manque de confiance en elle, elle demeurait attirante.Elle marche jusqu'à la plage et s'assoit sur le sable, faisant face à la mer.
Une fois rentrées chez elles, les filles se regroupent dans la chambre de grand-mère en silence. La bonne dame ne convoque personne dans son espace privé sans que ça soit important.Assises de part et d'autres, les filles portent toute leur attention sur leur grand-mère dans la quiétude.- Grand-mère : Jeunes filles, je ne vais pas rester là à vous sermonner car vous n'êtes plus des enfants. Vous avez dépassé la puberté depuis belle lurette alors « lolène def fimou nekk ni yénako tay ». Je pense aussi que chacune d'entre vous a eu une discussion privée et très sérieuse avec Mame Ndiaya. Ce que j'ai à ajouter est que vous devez savoir que vous n'êtes pas n'importe qui. Vos ancêtres on
Manuella se retrouve face à son pire cauchemar, Sa belle-mère.Elle fait son possible pour garder la tête haute et soutenir le regard de cette bonne dame. Ainsi, elle entre dans le salon en laissant sa valise au dehors, et marche vers Tata Fatou.Arrivée à quelques mètres d'elle, elle lui tend la main.- Manuella : As'salam haleykoum Tata.Tata Fatou la regarde de la tête aux pieds et lui fait un sourire narquois. Elle plisse des yeux et incline sa tête vers la droite.- Eh bien jeune fille, tu es osé hein maintenant. Range ta main, c'est bien mieux pour toi. Toi qui ne m'a jamais salué avec la main tu viens vers moi
Hello guys !J'espère que vous allez bien.Une nouvelle partie ! Et j'espère que vous allez apprécier. Invitez vos amis à lire !Pour les mots en wolof, ne vous inquiétez pas, c'est à peu près traduit à côté (cela ne va pas gâcher le sens du texte.*****************************************Le matin de bonne heure,Manuella et Mansour sortent de la maison habillés en tenue traditionnelle africaine. Avec un maquillage soft
Souleymane arrive en furie devant la maison de la belle famille de Aïssatou.Il appuie sur la sonnerie avec tellement de force qu'on aurait cru que le bruit venait des grandes cloches des églises.On pouvait lire l'impatience et la colère sur le visage de l'homme. Il faisait les 100 pas devant la porte d'entrée de la maison en transpirant.Une jeune fille habillée d'un pagne et d'un top rouge, ouvre la porte d'entrée, l'air inquiet, puis s'adresse à Souleymane.- Bonjour Monsieur, Vous chercher quelqu'un ?- Souleymane (essayant de garder son calme) : Bonjour Mademoiselle. Est-ce que Seydina est là ?
Booooonjour / Bonsoir !Vous m'avez manqué mes prunelles !Comprennez juste que je suis dans plusieurs activités (bureau, business, coaching, vente en ligne, écriture, ...) MACHALLAH. Ce qui fait que je manque de temps parfois pour les parties. Mais je fais le maximum pour publier la chronique.Merci pour votre compréhension !Je vous adore tellement car grâce à vous je découvre toujours des nouveautés en moi.Bonne lecture !********************-----********************