Manuella se retrouve face à son pire cauchemar, Sa belle-mère.
Elle fait son possible pour garder la tête haute et soutenir le regard de cette bonne dame. Ainsi, elle entre dans le salon en laissant sa valise au dehors, et marche vers Tata Fatou.
Arrivée à quelques mètres d'elle, elle lui tend la main.
- Manuella : As'salam haleykoum Tata.
Tata Fatou la regarde de la tête aux pieds et lui fait un sourire narquois. Elle plisse des yeux et incline sa tête vers la droite.
- Eh bien jeune fille, tu es osé hein maintenant. Range ta main, c'est bien mieux pour toi. Toi qui ne m'a jamais salué avec la main tu viens vers moi
Hello guys !J'espère que vous allez bien.Une nouvelle partie ! Et j'espère que vous allez apprécier. Invitez vos amis à lire !Pour les mots en wolof, ne vous inquiétez pas, c'est à peu près traduit à côté (cela ne va pas gâcher le sens du texte.*****************************************Le matin de bonne heure,Manuella et Mansour sortent de la maison habillés en tenue traditionnelle africaine. Avec un maquillage soft
Souleymane arrive en furie devant la maison de la belle famille de Aïssatou.Il appuie sur la sonnerie avec tellement de force qu'on aurait cru que le bruit venait des grandes cloches des églises.On pouvait lire l'impatience et la colère sur le visage de l'homme. Il faisait les 100 pas devant la porte d'entrée de la maison en transpirant.Une jeune fille habillée d'un pagne et d'un top rouge, ouvre la porte d'entrée, l'air inquiet, puis s'adresse à Souleymane.- Bonjour Monsieur, Vous chercher quelqu'un ?- Souleymane (essayant de garder son calme) : Bonjour Mademoiselle. Est-ce que Seydina est là ?
Booooonjour / Bonsoir !Vous m'avez manqué mes prunelles !Comprennez juste que je suis dans plusieurs activités (bureau, business, coaching, vente en ligne, écriture, ...) MACHALLAH. Ce qui fait que je manque de temps parfois pour les parties. Mais je fais le maximum pour publier la chronique.Merci pour votre compréhension !Je vous adore tellement car grâce à vous je découvre toujours des nouveautés en moi.Bonne lecture !********************-----********************
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Une fois que Mame Diarra sort de la maison, Bineta se précipite d'aller voir sa belle-mère dans sa chambre avec Bébé Mansour dans les bras.Elle la trouve allongée sur le lit manipulant son téléphone le visage neutre.- Bineta : Maman, ... J'espère que je ne vous dérange pas.- Non ma fille qu'y a-t-il ?Dit Tata Maïmouna en portant son attention sur sa belle-fille.- Bineta : Pouvais vous garder bébé Mansour quelques minutes s'il vous plait.- Quelle question ! Donne-le-moi.Répond-t-elle à la hâtive.Bi
Tata Fatou qui sortait de la cuisine se retrouve face à son homonyme qui se baladait dans la maison avec un mini short et haut qui ne cachait en rien son corps. Elle le regarde de la tête aux pieds avant de lui réprimander son accoutrement. - Ndèye Fatou : Hiii Tata sincèrement je viens de me réveiller et je n'ai pas envie d'entendre des cris ou autre. - Tata Fatou : As-tu vu ce que tu as porté Ndèya ? - Oui et je vais prendre mon petit déjeuner avant d'aller prendre un bon bain. - Tu es incorrigible. Mais où en es-tu avec ton opération de séduction ? « yèkh ga dé » - Eh tata, ces temps-ci c'est statuquo total. Mansour n'a vis
Mariana se dirige vers le taxi pendant que le chauffeur tirait sa valise derrière elle. Elégante dans sa robe rouge bordeaux, elle s'arrête devant le véhicule et jette un regard attendri à l'immeuble où elle habitait.- Mariana (murmure) : A Dieu Dakar ! J'ai passé des moments spéciaux sur ta terre mais il est l'heure pour moi de retrouver mon chez-moi, ma famille, mon peuple.Perdu dans ses pensées, Marianna fût ramenée à la terre par les klaxons du chauffeur de taxi.- Taximan : Sokhna si niou dem wayMarianna respire profondément et s'engouffre dans le taxi sans un regard derrière elle. Sous le coucher du soleil, le chauffeur déma
...............Le vigile à terre,Fadel et son gang encagoulés sortent de la banque les mains chargées. Ils font entrer les sacs remplies d'argent et de document dans la vanne.Fadel, Ousmane et Bass prennent leur moto et le reste de l'équipe entre dans la vanne.Ils roulent à toute vitesse.Marie, de son côté prend ses affaires et laisse l'appartement fermé avec le gérant en éveil qui se débattait pour détacher la corde.Sur la route du retour, marie gare la voiture qu'elle conduisait dans un coin de la rue. Son téléphone sonnait.