Ayant su que ce jour était le jour où Molly participait à la compétition, Philippe avait désiré au début l’encourager sur place. Mais à cause des affaires de l’entreprise, il a dû l’abandonner et est allé chercher Eden.À l’aide de sa carte de passage, Philippe est arrivé au dernier étage. C’était là où Eden et Didier s’asseoir devant un ordinateur. Tous les chiffres et les données normales indiquaient la victoire de cette guerre informatique. « C’est pas mal. Vous avez terminé la tâche plus tôt que prévu, » a dit le médecin métis avec une expression satisfaite.Au début, Philippe et Eden lui avaient promis de finir cette mission en cinq jours. Mais à sa grande surprise, il ne leur avait fallu que 3 jours pour arrêter l’invasion de l’autre partie et avait même organisé une contre-attaque.Contrairement à Didier qui était excité, Eden avait l’air plus calme n’osait pas avouer ses défauts. Il était stupide de ne pas avoir juger correctement les attaques cachées de l’autre partie. Sans a
Didier a plissé les yeux et a regardé Philippe deux fois de plus avant de partir sur le toit. Tout en marchant, il a marmonné : « Cet homme ne parle pas beaucoup et demande souvent aux autres de lui expliquer, n’est-il pas vraiment un étranger ? Se pourrait-il qu’il soit un espion envoyé par le Bureau de la sécurité de la Macédoine ? Je trouve son visage un peu familier … »C’était Stéphane qui est venu chercher Didier. Il portait son manteau noir caractéristique, sur un beau visage, il y avait une expression pensive.Voyant Stéphane s’approcher, Didier lui a jeté un regard interrogatoire.« Vous, les gens du Pays Central, pourquoi n’avez-vous pas une apparence différente ? » a demandé Didier d’un ton froid.Après avoir réfléchi pendant quelques secondes, l’homme en noir lui a répondu avec sincérité :« À vrai dire, j’ai aussi un tel doute quand je rencontre des Yvanais… » Il parlait avec une expression sérieuse comme s’il déclarait quelque chose de très important. Didier a hoché la t
Le système de défense développé par Molly employait des techniques avancées. Devant les codes mystérieux, Fauvette ne pouvait même pas les comprendre, sans parler de les maintenir. Elle s’est demandé : « Est-ce que Molly me cherche délibérément des problèmes ? »Philippe observait l’expression de cette femme et a haussé un sourcil de manière maligne. Il a échangé un regard avec Eden avant de dire en souriant :« C’est vrai ? C’est un grand honneur d’avoir une employée si laborieuse dans notre entreprise. »Il a fait ensuite quelques pas en avant et s’est arrêté à quelque pas de Fauvette qui était plutôt belle, lui demandant avec une inquiétude hypocrite : « Regarde tes cernes et tes rides ! Tu as l’air très fatigué. Tu ne t’es pas reposée bien ces derniers jours ? Rentre et prends une pause. »Cela disant, il lui a tapoté sur l’épaule et lui a dit d’un ton ému : « Je suis vraiment ému de voir mon employée travailler si dur. » Eden a toussé doucement pour mettre la fin le plus vite po
Chapitre 441« Léa. »Léa a réprimé ses émotions et répondu rapidement : « Oui. »Clément a continué à parler d’un ton calme, comme s’il ne lui avait jamais dit des paroles cruelles.« Je voudrais t’inviter à un banquet de soir, ça te dit ? »Léa a hoché frénétiquement la tête, elle était tellement excitée que les mots s'étranglaient dans sa gorge.Clément semblait savoir sa réaction, il a entendu un bruit du vent à l'autre bout du fil et savait que c’était Léa qui hochait la tête.Il restait impassible, mais sa voix donnait l'impression qu'il souriait. « Je viens te chercher. »Léa a enfin prononcé un mot. « D'accord. »Elle voulait encore dire quelque chose, mais Clément a déjà raccroché le téléphone.Interrompue, Léa n’était pas en colère du tout. Au contraire, elle était d’une gaieté folle. Elle s’est levée et s’est précipitée vers l'armoire pour sortir tous ses beaux vêtements.Elle allait se préparer le plus soigneusement possible et faire croire à tout le monde que Clé
Il regardait les autres produits dont les ventes n’étaient pas satisfaisantes. Même la fierté du groupe, la ligne de production mécanique a été influencée par ça.Clément n’a point sourcillé, il avait déjà décidé d’ajuster l’orientation du groupe, il n’aurait pas peur des obstacles.Les élèves se sont dispersés lorsqu’ils sont retournés à l’école. Molly marchait lentement vers le portail, tandis que Manon sautillait en parlant et Adam disputait avec elle de temps en temps.Arrivée à la porte de l’Institut Royal, Molly a regardé l’heure, puis elle s’est dirigée vers le café. « Vous venez avec moi ? »Manon a secoué la tête. L’examen mensuel aurait lieu après-demain et elle n’a pas encore bien révisé des connaissances de cours spécialisés.Adam s’est gratté la tête voyant que Manon n’y allait pas. « Je retourne juste au dortoir avec Manon. » Molly les a regardés et a fait signe de la tête sans rien dire. Elle marchait vers le café d’un air pensif.Le téléphone portable a sonné, c’é
Chapitre 443Les deux parlaient en même temps. Gabriel ne s’est pas arrêté, il s’est dirigé vers le bar. Même s’il a entendu la question, il restait calme. Il savait que Molly était trop intelligente pour le lui cacher. Molly regardait Gabriel se retourner, ses yeux étaient plus brillants que la lumière des étoiles mais plus profonds que l'obscurité de la nuit. Il a hoché la tête en signe de confirmation, puis il lui a demandé : « Maintenant, il faut que tu réponds à ma question. »Gabriel a haussé un sourcil et demandé en souriant : « Q’est-ce que tu veux boire ? ». La réaction de Gabriel a fait dissiper les doutes de Molly. Puisqu'il était si honnête, elle se dit qu'elle n'avait pas besoin d'approfondir la question, puisque la présence de Edgar avait dû révéler son identité. Molly s'est assis et a tapé légèrement la table de la main, puis répondu faiblement : « Caramel macchiato ». Elle se sentait flouée. Elle croyait qu'il n'était que le propriétaire du Groupe de ViVi Verne
En ce moment, Paul s’est trouvé dans une pièce sombre, il a froncé les sourcils de mécontentement. Il détestait l’environnement sale et les personnes inférieures.Il a lancé un regard dégoûté à Alain et est sorti rapidement, puis il a demandé à l’officier Masson en marchant : « Sera-t-il condamné ? » L’officier était aussi dégoûté que Paul.Il lui a remis le mandat d’arrêt émis par le tribunal en disant : « Il a été reconnu coupable, mais les gens derrière lui semblent puissants. Je crains qu’il ne trouve un bon avocat pour l’aider à s’en sortir. »À ces mots, Paul a ricané, sans rien dire. Les deux se sont dirigés vers la porte du commissariat, un tumulte s’est élevé à l’extérieur. « Les vaches, mon fils n’est pas coupable ! Libérez-le précipitamment ! Qeul salaud ! M. Leroy est mon beau-frère ! Laissez partir Alain maintenant, et je vous épargnerai ! »Paul l’a entendu, il a froncé les sourcils et s’est tourné vers l’officier et a demandé, avec les yeux, à l’officier Masson ce qu
« La ruine ne suffisait pas, je vais leur faire souffrir de millers peines pour ce qu’ils ont fait à mon fils ! ». En fait, Annie ne savait pas que personne n’avait abusé Alain. Il s’était cassé la voix lui-même. Les bleus et les coupures sur son corps étaient de son propre fait.Bien que l’officier Masson le déteste, il donnait à Alain trois repas par jour. Sinon, son fils n’aurait pas trouvé la force de se cogner la tête contre le mur. Mais elle ne s’en souciait pas, elle s’est désolée de l’état de son fils et a lancé un regard intimidant aux policiers qui l’atteignaient.« Je vais appeler M. Leroy maintenant et lui demander de trouver le meilleur avocat de San Joto pour mon fils. Je vais vous faire payer », a-t-elle dit d’un ton sinistre. Entendant les propos de sa mère, l’expression d’Alain est devenue féroce.Il fixait les policiers, pensant qu’il avait trouvé le soutien. « Je vous ai dit de ne pas me toucher, mais vous ne l’avez pas pris au sérieux. Vous allez bientôt savoir à