Chapitre 441« Léa. »Léa a réprimé ses émotions et répondu rapidement : « Oui. »Clément a continué à parler d’un ton calme, comme s’il ne lui avait jamais dit des paroles cruelles.« Je voudrais t’inviter à un banquet de soir, ça te dit ? »Léa a hoché frénétiquement la tête, elle était tellement excitée que les mots s'étranglaient dans sa gorge.Clément semblait savoir sa réaction, il a entendu un bruit du vent à l'autre bout du fil et savait que c’était Léa qui hochait la tête.Il restait impassible, mais sa voix donnait l'impression qu'il souriait. « Je viens te chercher. »Léa a enfin prononcé un mot. « D'accord. »Elle voulait encore dire quelque chose, mais Clément a déjà raccroché le téléphone.Interrompue, Léa n’était pas en colère du tout. Au contraire, elle était d’une gaieté folle. Elle s’est levée et s’est précipitée vers l'armoire pour sortir tous ses beaux vêtements.Elle allait se préparer le plus soigneusement possible et faire croire à tout le monde que Clé
Il regardait les autres produits dont les ventes n’étaient pas satisfaisantes. Même la fierté du groupe, la ligne de production mécanique a été influencée par ça.Clément n’a point sourcillé, il avait déjà décidé d’ajuster l’orientation du groupe, il n’aurait pas peur des obstacles.Les élèves se sont dispersés lorsqu’ils sont retournés à l’école. Molly marchait lentement vers le portail, tandis que Manon sautillait en parlant et Adam disputait avec elle de temps en temps.Arrivée à la porte de l’Institut Royal, Molly a regardé l’heure, puis elle s’est dirigée vers le café. « Vous venez avec moi ? »Manon a secoué la tête. L’examen mensuel aurait lieu après-demain et elle n’a pas encore bien révisé des connaissances de cours spécialisés.Adam s’est gratté la tête voyant que Manon n’y allait pas. « Je retourne juste au dortoir avec Manon. » Molly les a regardés et a fait signe de la tête sans rien dire. Elle marchait vers le café d’un air pensif.Le téléphone portable a sonné, c’é
Chapitre 443Les deux parlaient en même temps. Gabriel ne s’est pas arrêté, il s’est dirigé vers le bar. Même s’il a entendu la question, il restait calme. Il savait que Molly était trop intelligente pour le lui cacher. Molly regardait Gabriel se retourner, ses yeux étaient plus brillants que la lumière des étoiles mais plus profonds que l'obscurité de la nuit. Il a hoché la tête en signe de confirmation, puis il lui a demandé : « Maintenant, il faut que tu réponds à ma question. »Gabriel a haussé un sourcil et demandé en souriant : « Q’est-ce que tu veux boire ? ». La réaction de Gabriel a fait dissiper les doutes de Molly. Puisqu'il était si honnête, elle se dit qu'elle n'avait pas besoin d'approfondir la question, puisque la présence de Edgar avait dû révéler son identité. Molly s'est assis et a tapé légèrement la table de la main, puis répondu faiblement : « Caramel macchiato ». Elle se sentait flouée. Elle croyait qu'il n'était que le propriétaire du Groupe de ViVi Verne
En ce moment, Paul s’est trouvé dans une pièce sombre, il a froncé les sourcils de mécontentement. Il détestait l’environnement sale et les personnes inférieures.Il a lancé un regard dégoûté à Alain et est sorti rapidement, puis il a demandé à l’officier Masson en marchant : « Sera-t-il condamné ? » L’officier était aussi dégoûté que Paul.Il lui a remis le mandat d’arrêt émis par le tribunal en disant : « Il a été reconnu coupable, mais les gens derrière lui semblent puissants. Je crains qu’il ne trouve un bon avocat pour l’aider à s’en sortir. »À ces mots, Paul a ricané, sans rien dire. Les deux se sont dirigés vers la porte du commissariat, un tumulte s’est élevé à l’extérieur. « Les vaches, mon fils n’est pas coupable ! Libérez-le précipitamment ! Qeul salaud ! M. Leroy est mon beau-frère ! Laissez partir Alain maintenant, et je vous épargnerai ! »Paul l’a entendu, il a froncé les sourcils et s’est tourné vers l’officier et a demandé, avec les yeux, à l’officier Masson ce qu
« La ruine ne suffisait pas, je vais leur faire souffrir de millers peines pour ce qu’ils ont fait à mon fils ! ». En fait, Annie ne savait pas que personne n’avait abusé Alain. Il s’était cassé la voix lui-même. Les bleus et les coupures sur son corps étaient de son propre fait.Bien que l’officier Masson le déteste, il donnait à Alain trois repas par jour. Sinon, son fils n’aurait pas trouvé la force de se cogner la tête contre le mur. Mais elle ne s’en souciait pas, elle s’est désolée de l’état de son fils et a lancé un regard intimidant aux policiers qui l’atteignaient.« Je vais appeler M. Leroy maintenant et lui demander de trouver le meilleur avocat de San Joto pour mon fils. Je vais vous faire payer », a-t-elle dit d’un ton sinistre. Entendant les propos de sa mère, l’expression d’Alain est devenue féroce.Il fixait les policiers, pensant qu’il avait trouvé le soutien. « Je vous ai dit de ne pas me toucher, mais vous ne l’avez pas pris au sérieux. Vous allez bientôt savoir à
Molly avait l’air sérieuse, mais Gabriel la trouvait très mignonne. Il a fermé doucement les yeux. « Je m’en vais. » Il avait des choses plus importantes à faire en ce moment, et il devait contrôler ses émotions.Quand il était proche de Molly, il perdait son sang-froid. Gabriel se retenait de voir Molly, ils ne se causaient que lorsqu'elle venait. Il restait occupé pour ne pas rêvasser. Il avait déjà planté le caféier au Brésil. Gabriel tenait le volant, l’air froid et les yeux rivés sur la route. « Il grandira un jour. »Molly ne savait pas que Gabriel a planté une forêt de caféiers juste parce qu’elle avait voulu boire une tasse de café. Elle est entrée dans la maison. Contre toute attente, Léa et Lily étaient assis dans le salon, ayant l’air nerveux.Molly les a ignorées, elle a monté directement aux escaliers, sans envie de leur parler. Voyant son attitude, Lily était en colère, et elle s’est écriée : « Hé, Molly ! Tu ne vois pas que nous t’attendons ici ? » « Pas vraiment. »
Lily a frissonné en pensant au ton sinistre de Léa. Léa est retournée dans sa chambre, elle a sorti le collier de diamants précieux que sa mère lui avait donné et l’appréciait pendant un moment. Ce collier n'était pas aussi éblouissant que le diamant rose, mais il était suffisant pour qu'elle puisse briller au banquet.Léa le passait autour de son cou pour voir s'il lui allait bien. Elle l’a remis dans la boîte en fredonnant. Elle se regardait dans le miroir avec un sourire satisfait, puis elle a sorti son téléphone portable et fait un appel.Molly devrait être arrivée dans la chambre de son grand-père. Léa devait contacter les gars pour terminer l'affaire. Molly était forte dans les combats, on ne savait pas combien de temps ces types pourraient tenir, mais elle n'avait besoin que quelques minutes.Pensant à l'attitude de Molly de tout à l’heure, Léa a affiché un sourire cruel. Elle a sorti une tulipe violette du vase à côté de la coiffeuse et l'a écrasée, comme si c’était un cœur
Entendant ses mots, les types derrière lui ont été basculés. Ils se sont précipités dans le couloir. Au milieu du chaos, une voix agréable s’est fait soudainement entendre derrière. « Vous me cherchez ? »Tout le monde a été stupéfait. C’était Molly, la fille qu’ils cherchaient. « Comment se fait-il qu’elle apparaisse derrière nous ? »Même l’homme en tête a été bouleversé. Il était le premier à se précipiter dehors, et il n’avait vu personne faufiler dans la chambre.Mais le couloir était également vide. Il s’est retourné et a vu une personne s’appuyer contre le mur. Molly les regardait en ricanant. « Je vous pose une question. »Elle fixait l’homme à la cicatrice. Lorsqu’il avait enlevé son masque, elle avait vu son visage clairement. « Ce type ne semble pas simple, il a peut-être suivi un entraînement quelque part. »Avec cette pensée dans la tête, Molly a fait le tour de ses yeux, observant ces stupides ravisseurs et demandant à nouveau : « Vous me cherchez ? »Le balafré a r