Albert la suivait, ne pouvant pas voir son expression assez laide sur son beau visage. Il a continué à poser des questions, mais Chloé, un peu agacée, s’est contentée de répondre avec indifférence : « Tu le sauras quand vous la verrez plus tard, pas besoin de me le redemander sans cesse. »L’homme a pensé que cette beauté avait raison. Il n'a pas fâché contre son attitude, et la suivait joyeusement, dont les petits yeux sur un visage gonflé étaitent remplis d’une lumière maligne.Tout ce qu’il avait à faire, c’était d’amener Molly devant le président Leroy. Quant aux suivis, ce n’était pas ses affaires.Il était donc indifférent de l’attitude de Chloé, après tout, elle n’était pas la personne qu’il voulait chercher. On disait souvent qu’une belle femme avait un grand tempérament, sans parler Chloé, qui serait une super star dans le futur.Tant pis, il s’en foutait. Se fâcher contre une belle femme n’était pas son style.Albert a essuyé la sueur de son visage et a suivi rapidement Chloé
Une fois les mots échappés, tout le monde a montré une expression choquée. Certains se sont même demandés même s’ils avaient mal entendu.Quoi ? Ce gros lard a dit qu’il allait emmener Molly voir le président Leroy ?Parmi les gens, Léo était le premier à crier : « De quoi parlez-vous ? En quoi Molly est-il qualifié pour rencontrer le président Leroy ? »Il fallait savoir que ces derniers temps, il voulait avoir un rendez-vous avec ce monsieur pour demander sa faveur dans la concurrence de terrains avec la famille Gauthier. Mais il n’y a pas réussi. Alors Pourquoi Molly pouvait-elle être qualifiée pour rencontrer le président Leroy ? Elle n’était qu’une étudiante.Victor a froncé également les sourcils. Il a regardé Albert avec une expression de suspicion : « Monsieur Albert Einstein, vous êtes sérieux ? Tout au plus, Molly n’est qu’une étudiante dans votre école, comment peut-elle rencontrer le président Leroy ? »Le vieux Doré, cependant, a posé une question dans un autre sens : « V
Ils pensaient inconsciemment qu’Albert essayait de forcer Molly à faire quelque chose de mal.Mais ce qu’ils ne savaient pas, c’était que cet homme voulait présenter M. Leroy avec cette jeune fille. Léa et Lily fixaient Molly avec un regard de jalousie. D’après d’elles, un rendez-vous avec le président de la Commission des affaires scolaires était une chose de grand honneur ! Pourquoi ils hésitaient ? Pourquoi Molly ne voulait pas le faire ?Elles ne pouvaient plus le supporter et étaient prêtes à dire quelque chose, cependant, Chloé a ricané en premier : « Antoine, pourquoi demandes-tu cela ? C’est une opportunité très rare, ta famille doit la saisir, n’est-ce pas ? »Cholé ne savait pas elle l’intention d’Albert ? Pas possible. Elle est entrée dans la vie active plus tôt que les autres enfants, elle avait rencontré souvent ce genre de chose.Selon elle, le but d’Albert n’était d’autre qu’emmener cette belle fille devant le président Leroy afin de nouer une relation avec ce grand per
Quoi ? Molly l’a refusé ?Elle ne voulait pas y aller ? Toutes les personnes présentes ont commencé à regarder cette jeune fille avec une grande surprise, en particulier Victor et Léo, ils portaient une expression incroyable.Ne la supportant plus, Léo a frappé la table et s’est levé directement, pointant son doigt vers Molly et la grondant :« Ta décision est inutile ! Pour qui prends-tu ? Aujourd’hui, comme ton oncle, je prendrai une décision pour toi ! Tu dois aller voir le président Leroy ! »Victor, regardant Molly, n’a pas réfuté les paroles de son petit frère. Comme ils savaient tous deux très bien qu’un seul mot prononcé par le président Leroy pourrait potentiellement renverser la situation passive actuelle de la famille Doré !La famille Gauthier fréquentait chez les officiers supérieurs, son attitude vers la famille Doré était pleine de condescendance et de dédain. Tout cela a poussé Victor et Léo à conclure que le Président Leroy avait un parti pris pour la famille Gauthier
« Puisque Molly a déjà pris sa décision, aucun d’entre vous n’est autorisé à la forcer à changer d’avis. »La voix du vieux Doré n’était pas haute mais extrêmement intimidante. Son regard balayait les gens devant lui un par un, se posant finalement sur Molly. Voyant son beau visage, Il lui a dit d’un ton apaisant :« Molly, fais ce que tu veux. Pas besoin de te soucier des avis des autres. »Jean a fait écho à côté de son père : « Léo, Victor, n’influencez pas le jugement de ma fille ! »Il a cru que Molly avait sa propre raison. Et à vrai dire, Jean ne voulait pas que sa fille écoute des bêtises de cet Albert et le suive pour rencontrer le président Leroy. Il avait peur que cet homme ait de mauvaises intentions.Voyant son grand-père et son père la défendre, Molly était émue. Elle les a salués d’un signe de tête, puis s’est dirigé vers la porte pour quitter.Philippe, qui se trouvait sur le côté, a réagi rapidement et a tenté de se lever, mais François a agi plus rapide que lui.Fran
Mais bientôt, la réaction des quelques membres de la famille Doré l’a fait renier ses pensées.Ils étaient encore plus choqués que lui, ne s’attendant probablement pas à ce que Molly soit capable de dire des mots aussi forts.Comme prévu, Léo a éclaté de rire, il était tellement amusé par les mots de Molly qu’il avait des larmes. Il a dit en tapant sur la table : « Est-elle folle ? Elle ne sait pas qui est le président ? Pour qui prend-elle !? Comment ose-t-elle dire qu’elle peut avoir un rendez-vous avec le président Leroy à son gré ? Il m’a refusé tant de fois, qu’est-ce qui lui fait croire qu’elle peut faire en sorte que le président Leroy la reçoive ? »De plus, comment Molly pouvait-elle oser appeler directement le nom du président Leroy ?Victor portait également une expression confuse. Il a jeté un coup d’œil à Jean, ce dernier était aussi très choqué des mots prononcés par sa fille. Il a pensé ensuite à l’attitude de Pascal envers Molly et au dédain de Léana pour cette fille,
Quant aux mots que Molly venait de dire, Arthur les ont simplement ignorés.Puisque quelqu’un inutile comme Albert pouvait se vanter d’être en mesure d’avoir un rendez-vous avec le président Leroy, alors pourquoi sa sœur, une fille puissante et mystérieuse, ne pouvait pas le faire ? Simone et François avaient le même sentiment dans leur cœur, même s’ils n’avaient rien dit.Ils ne voulaient pas prendre la peine d’écouter les menaces et les vanteries de ce gros, ni savoir ses protecteurs dans les coulisses, car ils n’en avaient pas du tout peur. Ils pensaient tous les trois qu’il n’avait de quoi perdre du temps avec un con ? Leur petite sœur était forte et connaissait tant de gens, ils ont alors cru que Molly pouvait vraiment rencontrer le président Leroy si elle voulait !Si Victor et Léo apprenaient leurs idées, ils seraient probablement si furieux qu’ils crachent du sang.Frappé par Simone, Albert était déjà fou de colère. Étant un jeune maître bien choyé d’une grande famille, sa gr
Chapitre 432Molly a reniflé et s’est retournée, son regard vers Albert était aussi froid que la neige et était plein d’indifférence et de méprise. Molly : « Alors, on verra ! »Ensuite, après qu’elle a dit successivement au revoir à son grand frère et à son second frère, François a démarré la voiture. La Maybach noire filait, ne laissant qu’Albert morose, Antoine calme et Louis au visage froid sur place.Antoine a jeté un coup d’œil à cet homme gros, puis est directement parti.Louis, regardant Albert au visage pleins de ressentiments et de haine, a secoué la tête. Il a suivi rapidement Antoine et n’a laissé qu’une phrase : « Vous n’êtes pas le bienvenu dans la famille Doré, M. Einstein, veuillez repartir. »Albert serrait fortement les poings, il ne s’attendait pas à ce que sa visite ne se résulte à rien. Il était venu ici ce jour en abaissant son orgueil, mais à cet instant, il a été chassé par les gens et a attiré une situation pauvre…C’était la première pour lui à subir un tel