« Puisque Molly a déjà pris sa décision, aucun d’entre vous n’est autorisé à la forcer à changer d’avis. »La voix du vieux Doré n’était pas haute mais extrêmement intimidante. Son regard balayait les gens devant lui un par un, se posant finalement sur Molly. Voyant son beau visage, Il lui a dit d’un ton apaisant :« Molly, fais ce que tu veux. Pas besoin de te soucier des avis des autres. »Jean a fait écho à côté de son père : « Léo, Victor, n’influencez pas le jugement de ma fille ! »Il a cru que Molly avait sa propre raison. Et à vrai dire, Jean ne voulait pas que sa fille écoute des bêtises de cet Albert et le suive pour rencontrer le président Leroy. Il avait peur que cet homme ait de mauvaises intentions.Voyant son grand-père et son père la défendre, Molly était émue. Elle les a salués d’un signe de tête, puis s’est dirigé vers la porte pour quitter.Philippe, qui se trouvait sur le côté, a réagi rapidement et a tenté de se lever, mais François a agi plus rapide que lui.Fran
Mais bientôt, la réaction des quelques membres de la famille Doré l’a fait renier ses pensées.Ils étaient encore plus choqués que lui, ne s’attendant probablement pas à ce que Molly soit capable de dire des mots aussi forts.Comme prévu, Léo a éclaté de rire, il était tellement amusé par les mots de Molly qu’il avait des larmes. Il a dit en tapant sur la table : « Est-elle folle ? Elle ne sait pas qui est le président ? Pour qui prend-elle !? Comment ose-t-elle dire qu’elle peut avoir un rendez-vous avec le président Leroy à son gré ? Il m’a refusé tant de fois, qu’est-ce qui lui fait croire qu’elle peut faire en sorte que le président Leroy la reçoive ? »De plus, comment Molly pouvait-elle oser appeler directement le nom du président Leroy ?Victor portait également une expression confuse. Il a jeté un coup d’œil à Jean, ce dernier était aussi très choqué des mots prononcés par sa fille. Il a pensé ensuite à l’attitude de Pascal envers Molly et au dédain de Léana pour cette fille,
Quant aux mots que Molly venait de dire, Arthur les ont simplement ignorés.Puisque quelqu’un inutile comme Albert pouvait se vanter d’être en mesure d’avoir un rendez-vous avec le président Leroy, alors pourquoi sa sœur, une fille puissante et mystérieuse, ne pouvait pas le faire ? Simone et François avaient le même sentiment dans leur cœur, même s’ils n’avaient rien dit.Ils ne voulaient pas prendre la peine d’écouter les menaces et les vanteries de ce gros, ni savoir ses protecteurs dans les coulisses, car ils n’en avaient pas du tout peur. Ils pensaient tous les trois qu’il n’avait de quoi perdre du temps avec un con ? Leur petite sœur était forte et connaissait tant de gens, ils ont alors cru que Molly pouvait vraiment rencontrer le président Leroy si elle voulait !Si Victor et Léo apprenaient leurs idées, ils seraient probablement si furieux qu’ils crachent du sang.Frappé par Simone, Albert était déjà fou de colère. Étant un jeune maître bien choyé d’une grande famille, sa gr
Chapitre 432Molly a reniflé et s’est retournée, son regard vers Albert était aussi froid que la neige et était plein d’indifférence et de méprise. Molly : « Alors, on verra ! »Ensuite, après qu’elle a dit successivement au revoir à son grand frère et à son second frère, François a démarré la voiture. La Maybach noire filait, ne laissant qu’Albert morose, Antoine calme et Louis au visage froid sur place.Antoine a jeté un coup d’œil à cet homme gros, puis est directement parti.Louis, regardant Albert au visage pleins de ressentiments et de haine, a secoué la tête. Il a suivi rapidement Antoine et n’a laissé qu’une phrase : « Vous n’êtes pas le bienvenu dans la famille Doré, M. Einstein, veuillez repartir. »Albert serrait fortement les poings, il ne s’attendait pas à ce que sa visite ne se résulte à rien. Il était venu ici ce jour en abaissant son orgueil, mais à cet instant, il a été chassé par les gens et a attiré une situation pauvre…C’était la première pour lui à subir un tel
Pour la compétition de Maths des Olympiades, M. Martin, directeur de l’école, avait demander aux élèves non-participant d’encourager les participants.Jacques était un membre de la classes B, dirigée par madame Besson.Lily et Félix étaient dans la classe de Michel. Elle s’est concentrée de le suivre de sorte qu’elle ne remarque pas où elle se trouvait. Quand elle a repris l’esprit, elle est devenue le centre des attentions des camarades de classe B. Ils la regardaient avec une expression étrange, surtout Francis et Guillaume, les deux à côté de Jacques restaient débout avec les bras croisés, semblant la railler par son mauvais comportement…La tolérance et la compassion dans leurs yeux avaient disparu et avaient laissé aucune trace.Lily est devenue nerveuse.Elle n’avait pas oublié la scène du jour où ces deux personnes lui avaient demandé de manière sérieuse d’arranger les affaires de Molly, leur expression et leur attitude la rendait extraordinairement effrayée même lorsqu’elle y p
Quant à Lily, elle a été forcée à retourner dans sa propre classe par Michel. Après tout, le directeur lui avait confié de gérer la classe A en première et en terminale, les deux meilleures classes de l’Institut Royale.Le chef de la classe A en première était Félix, Lily était l’élève la plus excellente en terminale, il avait l’équivalent qu’il possédait deux atouts, il croyait que ces deux étudiants lui apporteraient des mérites.Madame Besson a demandé à Molly de prendre de nombreuses précautions avant de la laisser entrer dans la salle d’examen en toute confiance.Inès, sur le côté, a jeté un coup d’œil vide à Molly, son expression a montré parfaitement sa méprise à l’égard de cette fille.Le professeur Giraud est apparu de nulle part, voyant Molly se diriger vers l’intérieur, il a crié avec un sourire extrêmement sarcastique sur le visage :« Molly, j’attends ton résultat d’examen. Peux-tu obtenir la première place et apporter les mérites à madame Besson, ou retiens-tu une papier
En pensant à cela, Lily se sentait un peu mieux. Mais elle avait donné beaucoup d’attention à Molly et l’avait maudite pendant longtemps, lorsqu’elle a repris son esprit, il ne restait plus que quinze minutes !Lily a regardé l’heure, son visage est devenu pâle d’angoisse, mais plus elle était nerveuse, plus elle avait mal à résoudre les questions ! Elle regardait toutes les questions suivantes, a constaté qu’elle ne savait pas comment leur répondre…Elle a commencé à transpirer, elle tenait son stylo vicieusement et blâmait Molly dans son cœur !« Tout est à cause d’elle ! »Jacques a constaté également les actions de Molly. Il était tellement concentré lorsqu’il répondait aux questions qu’il ne savait pas si Molly avait fini son examen ou si elle avait remis une copie vide, mais il était sûr que c’était le dernier cas.D’après lui, comment Molly pouvait-elle être capable de répondre aux questions de Compétition olympique de maths que même lui trouvait si difficiles ?Il a deviné que
Inès a ri froidement aux paroles de Molly : « Molly, arrête ! Ça suffit ! Tout le monde sait que tu as obtenu un zéro à ton précédent examen de maths ! À quoi bon te vanter ? Lorsque les résultats de l’examen seront annoncés, nous saurons tous tes capacités réelles ! »Mme Besson a froncé légèrement les sourcils en se demandant pourquoi cette fille était si agressive. Puis elle a tourné la tête vers Molly, cette dernière lui a donné un regard apaisant. Mme Besson, plus rassurée, a détourné le regard. Il était évident que la cheffe de classe ciblait Molly ces dernière jours.Molly, cependant, ne s’en souciait pas du tout, elle a pris la bouteille d’eau que Manon lui avait donnée et en a bu une gorgée, puis elle a dit en souriant : « Merci. »Manon a secoué la tête. Elle a cligné les yeux, puis a fait une grimace semblable à l’expression dédaigneuse d’Inès, cela a réussi à faire rire Adam et Molly.Cependant, Inès, qui était derrière eux, a vu ce qu’elles avaient fait ! Elle s’est levée