Chapitre 254Didier avait peur immédiatement, « Bon, je sais. Ne sois pas fâché. Je vais partir, d’accord ? »Il se souvenait clairement de la fois où il avait dérangé l’expérience de Molly, cette dernière l'avait également regardé comme ça, et une seconde plus tard, il a été jeté hors du laboratoire.Ce n'était pas une exagération, il était vraiment jeté hors du laboratoire par cette fille.Tombé par terre, il, très confuse, s’était pincé même ses muscles avec incrédulité. Puis il s’était tourné pour regarder les bras minces de Molly, qui était dans le laboratoire, ne pouvant pas s’empêcher de se demander pourquoi cette fille était si puissante.Didier savait donc très bien qu’il valait mieux de ne pas la déranger ou mettre à l'épreuve sa patience à l’heure actuelle.Après un long moment de séparation, il a presque oublié la douleur. Il est enfin sorti de la salle sans changer de visage.Il n'avait pas dormi la nuit dernière, mais contrairement à Molly qui semblait un moteur éternel,
Chapitre 255« Ne parle pas de lui, il n'est pas mon père. »Molly avait su depuis longtemps que la relation entre eux deux, père et fils, n'était pas très bonne, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle atteigne ce point à l'heure actuelle.Elle n’a dit donc rien de plus et lui a tapoté l'épaule : « Vas-y, n'oublie pas mon café. »Didier a acquiescé et est sorti de la pièce, ses yeux assez profondément dessinés émettaient une confusion.Il marmonnait :« Il n'est pas mon père, je n'ai pas un père comme ça ! »Ses mains dans la poche de sa blouse blanche se sont resserrées secrètement.Didier est parvenu à se calmer, mais pensant au regard froid que cet homme lui avait lancé, une déception a saisi son cœur.Soudain, un employé a passé ici. Voyant son chef immobile, il s'est empressé de le saluer : « Chef, que faites-vous ici ? »Ce n'était qu'à ce moment-là que Didier a repris ses esprits, il lui a répondu avec indifférence : « Rien. »Puis Didier l’a fixé d'un air interrogateur, « A
Chapitre 256Didier est entré, son subordonné a rendu respectueusement le stylo à Molly, et a tenu sa paume noire comme un trésor, il a regardé cette fille comme s’il avait trouvé un trésor !« Cette formule de transfert de lysozyme est fantastique ! Puis-je vous demander votre nom, mademoiselle ? Et si j’ai des questions à l’avenir, puis-je venir vous demander conseil ? »Molly a hoché la tête avec peu d’expression, puis lui a dit nonchalamment : « La liaison peptidique de l’acétyl coenzyme A transacylase est très difficile à analyser, si vous ne pouvez pas bien comprendre, vous feriez mieux de faire plusieurs expérimentations en suivant cette équation. » L’homme a hoché vigoureusement la tête, son regard vers Molly était plein d’admiration.Au début, Il n’avait intention que d’y admirer la beauté de Molly, mais il ne s’attendait pas à ce que cette dernière l’ait reconnu immédiatement, savant qu’il venait de la zone D. Qui était plus, c’était qu’elle connaissait aussi extraordinairem
Chapitre 257Il a repensé à ce qu’il venait de voir dans le service et a commencé à lancer les mots lentement :« Les instruments dans le service sont destinés à la chirurgie cardiaque, mais notre chef… »Il a fait une pause et a regardé autour de lui, puis leur a donné une énorme bombe des mots :« Ce n’est pas notre chef qui opère. Cette fois, Didier est l’assistant de cette mademoiselle. »« Quoi ? »Tout le monde était abasourdi.Il faillait savoir que ce laboratoire représentait déjà le plus haut niveau de la capitale, d’autres hôpitaux ne pouvaient pas arriver à sa cheville. Alors que Didier, en tant que doyen, il était le plus compétent presque de tout le pays. Mais un tel grand nom, il servait d’un assistant d’une jeune femme ?Quelle était son identité réelle ? Un tel doute a surgi dans l’esprit de chacun, et beaucoup d’entre eux n’ont pas pu s’empêcher de présenter leur doute : « Tu mens, n’est-ce pas ? La chirurgie cardiaque est une opération de catégorie B. On ne parle pas
Chapitre 258En la voyant mettre le café de côté, Didier était quelque peu mécontent. Il a voulu dire quelques choses, tandis que le téléphone dans sa poche a sonné soudainement.Il a jeté un coup d’œil au nom sur l’écran, ensuite a fait un geste d’attente à la fille.Molly a haussé les sourcils en regardant le dos de Didier qui sortait, mais il n’y avait aucune fluctuation émotionnelle dans ses yeux.Didier a fini bientôt son téléphone et est revenu, il a froncé les sourcils, ayant l’air pensif. « Molly, je dois sortir pour quelque chose, je ne pourrai peut-être pas revenir pour t’emmener chez toi, mais j’enverrai quelqu’un plus tard pour partager ton travail. »Molly a hoché la tête en signe de compréhension, n’ayant aucune objection à son arrangement.Didier l’a fixée, on pouvait trouver qu’il y avait un soupçon d’émotion différente qui a passé dans ses yeux. Il a fini par pousser un soupir : « Je ne sais vraiment pas quand je te reverrai. »En entendant cela, Molly a regardé ses y
Chapitre 259En entendant cela, les pupilles de Clément se sont resserrés violemment, et tout son corps s’est figé un peu visiblement.Après une minute entière, la tempête dans son esprit s’est enfin arrêtée à peine. Il a fermé les yeux, et lorsqu’il les a rouverts, ils étaient remplis d’un soupçon de complexité.« Liam, arrête-toi d’abord. »Clément a regardé l’homme d’âge moyen en face de lui, son attitude calme semblait se moquer de son propre désordre. La prise de Clément sur le téléphone s’est resserrée, mais son ton restait quand même assez doux : « Il te suffit de gérer la famille Richard, ne t’occupe pas du reste pour l’instant. »Liam a entendu la tempête tapie dans sa voix, elle est restée silencieuse pendant quelques secondes, et a fini par le réfuter rarement : « Mais frère Clément, je veux aussi trouver… »« Arrête-toi ! »Une férocité a traversé les yeux de Clément. Maintenant, son corps entier semblait contenir une bête vicieuse, qui ne pouvait pas s’empêcher de se déch
Chapitre 260L’homme semblait secoué par ses mots, son regard envers Clément a traduit une petite lumière faible progressivement.Mais il semblait ne pas avoir parlé depuis longtemps, il a toussé avec une certaine difficulté pour s’éclaircir la voix. Rarement, il a regardé dans les yeux de Clément et lui a tendu la main pour lui indiquer de s’approcher.Sur les doigts de sa main droite tendue, trois ongles manquaient. Le sang avait déjà séché, lui donnant une apparence étrange et terrifiante.Clément n’a pas changé son visage, il s’est contenté de voir la geste de cet homme qui cédait enfin, et puis s’est approché de lui lentement.L’homme, regardant le visage de Clément qu’il s’approchait de plus en plus, avait une pointe de malice incontrôlable dans ses yeux. Il a mordu durement le beau visage devant lui avec sa bouche grande ouverte. Mais Clément s’est retiré facilement comme s’il avait été préparé, esquivant ce qui lui paraissait être un jeu d’enfant.Il a fixé l’homme devant lui,
Immédiatement, une haine implacable a apparu dans les yeux de Clément qui voulait bien tuer cet homme. Clément l’a rejeté sur le lit de fer, le visage caché dans l'ombre, il était donc incapable de voir son expression.Enfin, Clément a ri à voix basse, sa voix était gracieuse et élégante, mais aux oreilles de l'homme, ça ressemblait au murmure d'un démon.L’homme s’est bouché les oreilles d'horreur, comme si le courage qu'il avait accumulé au fil des ans s'est complètement consumé dans la confrontation qu'il venait d'avoir.Clément s’est retourné, son visage était doux et élégant sous la lumière du soleil, comme un gentleman cultivé, et il n'avait pas l'air à sa place dans la crasse de cet endroit.Après que Clément est sorti de la salle, la porte a été renfermée avec une lourde serrure.Sa voix douce et élégante s’est fait entendre avec le vent.« Je te reverrai. »L'homme dans la salle a entendu ces mots et tout son corps a commencé à trembler de peur excessive, la peur se lisait cla
Chapitre 897« Bon, montons dans l'hélicoptère », avait dit Gabriel en tirant le bras de Molly pour se diriger vers l'hélicoptère. Molly l'avait retenu par la main et avait demandé : « Où allons-nous ? Qu'est-ce qui s'est passé ? »Regardant Molly toujours tendue, Gabriel n'avait pas le cœur à la taquiner davantage. « Rien ne s'est passé, je veux te montrer le monde. »Molly n'en croyait pas ses oreilles. Gabriel devait être en train de plaisanter, non ? Pourquoi aurait-il préparé un hélicoptère pour lui montrer le monde sans raison apparente ?Elle l'avait regardé incrédule : « Gabriel, tu plaisantes ? »« Non, tu verras bientôt, monte dans l'hélicoptère », avait répondu Gabriel en la tirant à bord.Gabriel avait pris place dans le siège du pilote et avait invité Molly à s'asseoir à ses côtés. « Es-tu prête ? C'est un cadeau avant nos fiançailles. »« Un cadeau ? » Molly était complètement perdue, elle comprenait de moins en moins ce qu'il disait.Cependant, voyant qu'il allait
Chapitre 896Après un petit moment, Molly est sortie vêtue d'une robe de soirée. À ce moment-là, Gabriel a été comme figé, la regardant comme s'il voyait une fée, ses yeux rivés sur elle.« Ma fée, puis-je t'appeler comme ça à partir de maintenant ? » Gabriel avait un sourire sur son visage et plaisantait.« Une fée ? Dois-je t'appeler alors un elfe ? C'est drôle », Molly lui a lancé un regard amusé.Gabriel n'a pas pu s'empêcher de la complimenter : « Cette robe te va vraiment bien, tu es si gracieuse. »C'était la première fois que Molly a été complimentée de la sorte en public, et elle était un peu timide. « Allons, d'autres personnes nous regardent. »Gabriel s'est retourné et a remarqué que le manager et les serveurs les observaient avec un sourire radieux.« Vous pouvez sortir », il a ordonné soudainement, comme s'il était devenu une autre personne.Après que tout le monde était parti, Gabriel a examiné Molly de haut en bas, la complimentant sans cesse. « Si tu portes cet
Chapitre 895Le bureau de Gabriel offrait une vue imprenable sur l'océan, en faisant un lieu idéal pour admirer la mer.Peu après, Gabriel est entré dans la pièce. En apercevant la silhouette de Molly, il a ralenti ses pas et s'est approché d'elle silencieusement. Il a tenté de la surprendre en la prenant dans ses bras, mais il n'a attrapé que de l'air.« Ah, tu oses donc me jouer des tours ! » Gabriel a saisi les poignets de Molly et l'a tirée contre lui.En fait, Molly avait entendu le bruit de la porte et avait délibérément omis de se retourner pour l'attirer dans son piège. Juste au moment où il avait essayé de la prendre dans ses bras, elle s'était rapidement accroupie.« Qui t'a dit de toujours essayer de m'attaquer par surprise ? »« Que regardes-tu ? » En enlaçant Molly, Gabriel a posé la question en la regardant tendrement.« Je regarde la mer. »Gabriel a suivi son regard vers l'océan. La vastitude de la mer était vraiment enviable.« Comment as-tu trouvé la propriét
Chapitre 894« Voici la carte Gold de tous mes clubs privés. À partir de maintenant, Molly, tu peux entrer et sortir comme tu le souhaites sans avoir à payer », Andréa avait donné la carte Gold limitée à son majordome, qui l'avait ensuite transmise à Molly.« Monsieur Morel, cette carte est trop précieuse, je ne peux pas l'accepter », avait répondu Molly. Elle était venue au banquet précisément parce qu'elle ne voulait pas qu’Andréa continue de se sentir redevable envers son père. L'offre de la carte Gold l'avait surprise.« Molly, comparé à votre générosité médicale, qu'est-ce qu'une carte ? Si vous ne l'acceptez pas, c'est comme si vous me méprisiez », Andréa avait dit des mots assez lourds pour forcer Molly à accepter.La table entière regardait Molly avec embarras. Victoria avait brisé le silence, conseillant à Molly : « Molly, on peut voir que Monsieur Morel est sincère. Si tu ne l'acceptes pas, ce serait refuser sa gentillesse. »Après un regard vers Victoria, Molly avait co
Chapitre 893Antoine était rapidement arrivé en voiture. Une fois la voiture garée, Molly s'était avancée pour les accueillir.« Maman, papa, vous êtes habillés de façon vraiment élégante, n'est-ce pas ? » Molly s'était illuminée en les voyant.« C'est la première fois que nous rencontrons Monsieur Morel, c'est une question de respect », avait expliqué Jean.« Mademoiselle Molly, veuillez me suivre », le majordome avait alors indiqué.« D'accord », Molly et les autres avaient suivi le majordome pour entrer.Andréa Morel, sa femme et le vieil homme les avaient déjà attendus depuis un certain temps à l'intérieur. En voyant Molly et sa famille entrer, Monsieur Morel s'était rapidement levé pour les accueillir.« Mademoiselle Molly, vous êtes enfin là. Si vous n'étiez pas venue, je ne sais pas combien de fois mon père m'aurait réprimandé », avait plaisanté Andréa Morel.« Vous êtes vraiment trop polis, Monsieur Morel et le vieux monsieur. Sauver des vies est la base de la médecine, il n'
Chapitre 892Gabriel avait caressé doucement la main délicate de Molly avant de se lever et de la prendre dans ses bras. Il l'avait ensuite portée jusqu'au canapé où il l'avait délicatement déposée. Allongé sur elle, il avait regardé ses yeux clairs comme de l'eau, sa peau blanche et ses lèvres rouges. Il n'a pas pu résister et l'a embrassée de manière dominante. Il pensait que Molly allait le repousser, mais elle ne l'a pas fait. Au contraire, elle a légèrement répondu à son baiser, ce qui l'a encouragé à agir sans retenue, capturant sans cesse ses lèvres.Après un long baiser passionné sur le canapé, Molly avait profité d'une pause pour dire : « Laisse-moi reprendre mon souffle. »En regardant l'homme beau qui se tenait devant elle, au visage ciselé à faire tourner les têtes, Molly pensait qu'elle devait être ensorcelée pour l'aimer autant.Gabriel s'était senti ensorcelé par la beauté de Molly aussi. « Tu es si belle », avait-il murmuré en caressant ses cheveux.Le rouge des jou
Chapitre 891En entrant dans la cuisine, Molly a choisi immédiatement des aliments que Gabriel aimait et a commencé à cuisiner. Environ une demi-heure plus tard, la voiture de Gabriel est arrivée devant la villa.Voyant que les lumières de la villa étaient allumées, Gabriel a su qu'elle était-là. Il est entré, mais n'a pas vu Molly.« C'est étrange, elle m'avait dit qu'elle m'attendrait, où est-elle ? » Puis il a entendu un bruit venant de la cuisine.Un sourire en coin, Gabriel a ouvert doucement la porte de la cuisine et s'est approché discrètement de Molly par derrière, la prenant ensuite fermement dans ses bras.« Ah ! » Molly, très concentrée sur la cuisine, n'avait pas entendu les pas de Gabriel et a sursauté quand il l'a prise dans ses bras.« Quand es-tu revenu, tu n'as même pas fait de bruit », s'est plainte Molly.« Je viens de rentrer. Tu es en train de cuisiner pour moi ? » a demandé Gabriel en la tenant toujours.« Sinon quoi ? Si tu ne me lâches pas, tu n'auras ri
Chapitre 890« Est-ce possible ? » Florence a regardé Victoria avec un visage plein de joie.« Bien sûr, tu es ma filleule, » a directement répondu Victoria.Jean, qui se tenait à côté, a toussé pour attirer l'attention de Victoria. Elle l'a regardé, puis a tourné ses yeux vers Molly : « Molly, peut-on ajouter une personne de plus demain ? »Molly avait déjà deviné les intentions de Florence dès le début. Elle avait tendu un piège à Victoria pas à pas, et maintenant, Victoria était devenue son pion.« Maman, c'est notre première visite là-bas, et si Monsieur Morel ne nous donne pas la permission, je crains que ce ne soit pas approprié pour une personne non-invité d'y aller, » a dit Molly, préoccupée par les problèmes que Florence pourrait causer.« Antoine n'avait pas non plus d'invitation, mais tu l'as quand même laissé y aller. Pourquoi ne pas ajouter Florence ? » a argumenté Victoria.« Antoine avait déjà rencontré Monsieur Morel, et il était également en charge du projet entre les
Chapitre 889Victoria a rapidement retenu Molly : « Pourquoi partir si précipitamment ? Reste pour dîner avant de partir. »Depuis la dernière fois où elle avait réprimandé Molly à l'école, Victoria avait clairement ressenti que leur relation devenait de plus en plus distante à cause de Florence.Voyant l'air regrettable dans les yeux de Victoria, Molly n'avait pas le cœur de résister : « D'accord. »Victoria et Jean ont soupiré de soulagement et un sourire est apparu sur leur visage.D'une main, Victoria tenait Molly et de l'autre, elle tenait Florence, assise entre les deux sur le canapé.« Florence, l'école prépare-t-elle les examens de fin de trimestre ? » Victoria lui a demandé avec préoccupation.« Oui, je révise et fais des simulations tous les jours, je suis épuisée », s'est plainte Florence.« Tu es si fatiguée ? Veux-tu prendre un jour de congé ? » Victoria craignait que Florence ne soit trop stressée.« J'ai déjà pris un jour de congé et je compte me détendre un peu demain