Chapitre 155

Paul a secoué la tête, puis a rendu compte que Gabriel ne pouvait pas le voir. Alors, il a dit : « Molly n’a rien dit d’autre. Elle est juste partie sous la pluie. »

Il faisait beau à Nottingham, mais Gabriel était d’humeur sombre, il a dit d’un ton froid : « Tu l’as laissée partir comme ça ? »

Paul n’a pas répondu. Il savait combien Molly était importante pour Gabriel, mais il ne croyait pas qu’il l’ait placée en premier.

Mais dans un instant, Paul a entendu la voix sévère de son patron : « Vous deux, allez dehors jusqu’à ce que la pluie s’arrête. »

Paul a jeté un regard à Basile. Les deux n’ont pas contesté et sont immédiatement sortis sous la pluie. Lorsque la pluie froide a frappé son visage impassible, Paul a réalisé que Molly, qui pouvait courir si vite sous une averse si froide, était en effet comme son patron, quelqu’un d’étrange et d’invincible.

Dans la maison de la famille Doré…

Victor s’est tenu devant le vieux Doré, faisant un rapport avec la tête baissée.

Le vieux D