Céleste savait qu’il n’avait pas menti, puisque l’amour romantique ne se lisait pas dans son regard posé sur elle.Elle a cligné en se disant :« C’est comme ça quand on a un grand-frère ? »« Je comprends », a dit Céleste en riant, « malheureusement, je suis la fille unique de mes parents. Je n’ai
Céleste n’a plus posé de questions. De toutes façons, elle venait de faire sa connaissance et était déjà reconnaissante de sa gentillesse.La voiture s’est arrêtée dans une ruelle où il n’y avait pas de caméras de surveillance. Une voiture tout-terrain noire était garée là-bas.« Nous devons changer
En regardant le regard pressé de Sarah, la femme a enlevé son masque à oxygène.Sarah n’avait plus l’air fier, elle a dit d’une voix faible : « Que veux-tu faire vraiment ? »« Que veux-je faire ? » la femme a affiché un sourire moqueur. Son visage restait le même que celui dans les souvenirs de Sar
Abélard s’avançait dans le grand château vide, ses pas résonnant contre les murs.Dans la nuit épaisse, quelques vieilles lampes murales étaient allumées, ne donnant qu’une lueur.À ce moment-là, Abélard a entendu le piano retentir, c’était un morceau connu intitulé « Mariage d’amour ».Au milieu de
Céleste s’est collée aux pieds de Gabriel. Ils étaient tous deux masqués.Gabriel avait changé sa bague de saphir pour une bague de chrysobéryl vert.En entrant dans le château, Céleste entendait le piano venu du grenier. Deux corbeaux passaient au-dessus.À la pâleur de la lampe, les roses semblaie
Peu après, la porte s’est ouverte. Céleste a serré la manche de son habit par nervosité.Autrefois, Clémence préméditait dans les coulisses et s’est cachée dans l’ombre, Céleste ne pouvait pas la voir. Maintenant, c’était l’inverse. Clémence n’avait aucune idée que Céleste est venue. Céleste était n
Sous la faible lumière, le visage de Clémence s’est dévoilé. Céleste avait imaginé pour plusieurs fois son apparence.Elle s'attendait à voir un visage patibulaire et déformé puisque Clémence avait commis beaucoup de méfaits.Mais c’était le contraire, Clémence a hérité des gènes de la famille Leroy
Abélard s’est approché de la femme, l’air anxieux. Il lui a demandé :« Est-ce que ma fille est ici ? »Elle a levé la tête et le regardait. Le masque épouvantable recouvrait son visage. Elle a dit d’un ton calme :« Je répondrai à ta question si tu joues du piano avec moi. »Abélard a fait de son m