Chapitre 140

Christine n’osait pas faire s’agenouiller Antoine, qui était quand même son grand-père.

Elle s’est approchée à temps et a ramassé Luc par terre, « Luc, lève-toi d’abord. »

Puis, elle a aidé Marianne : « Marianne, lève-toi. »

Ce n’était qu’à ce moment-là que les deux se sont levés, mais d’autres n’osaient pas.

Julien a regardé Christine en lui demandant : « Madame Cyr, vous voulez les punir comment ? »

« Moi ? » Christine, toute étonnée, ne savait pas comment faire.

Elle était toujours gentille, même un peu timide et réticente à entrer en conflit avec les gens. De plus, les gens agenouillés étaient de grands personnages, et plusieurs d’entre eux avaient plus d’atouts que la famille Cyr.

Julien a demandé : « Sinon, laissez-les se gifler, après tout, aujourd’hui c’est l’anniversaire de la présidente Lopez. »

Il a regardé Christine et puis a jeté un coup d’œil à Charles. Ce dernier avait toujours une expression inoffensive.

Christine a perdu la tête, elle a regardé Charles en demandant