Alba- ils lui donnent de la valeur . - J'ai compris , je vais écouter religieusement tous tes conseils . - Je l'espère pour toi . Et toi Mia , c'est quoi ce suçon que tu as au cou ? - Rien , elle le dit en rougissant . - Ho , je crois qu'il y a quelqu'un qui a des choses à nous raconter . On t'écoute Mia . Tu es bien silencieuse . Tu aimes écouter les histoires cochonnes de Jade , cette fois-ci c'est ton tour , on t'écoute . - Bon , vous connaissez Rodrigo ? - Quoi ? Ce petit délinquant ? - Celui qui terrorise tout le quartier ? - Le chef du gang de notre quartier ? - Oui - Et tu ne dis rien d'autre que oui ? Ce type n'est pas recommandable . C'est un bandit , il terrorise tout le monde dans ce quartier . - Comment a-t-il fait pour que tu le laisses s'approcher de toi ? - Avez moi , il est gentil . - Ce n'est pas une raison Mia , cet type n'est pas assez bien pour toi . Tu mérites mieux . Ou , veux-tu rester ici , dans ce quartier pour lui faire plein d'enfants . - Non
Mariano Arista - Tu auras une belle mort . Je le dis en m' enfonçant , plus profondément en elle . Je la presse plus contre moi . - Tu ne sens pas très bon ma belle , mais , ce n'est pas grave , de toutes manières , tu seras morte dans pas très longtemps . Et ça ne m' empêchera pas de te prendre une dernière fois . Tu es si sucrée , il fallait que je te goûte une dernière fois . - Tu es un monstre . - Que tu as fait semblant d'aimer un jour .Je lui flanque des coups de reins , la faisant propulsé contre le matelas . Je prends mon pied comme si s'était la dernière fois . Je lui fais l'amour sauvagement , violemment . Je pense qu'elle prend bien son pied . Une heure plus tard , ses gémissements remplacent ses injures , car elle a déjà jouit trois fois et moi , j'ai jouis déjà deux fois dans son corps sans pour autant me retirer . Cette fois-ci c'est la dernière fois , je suis presque près du but , mon bassin intensifie ses mouvements , je glisse plus facilement dans son corps grâ
Richard ( la bête) Capital française Je me suis réveillé depuis cinq heures , je suis actuellement en salle de gym pour faire un peu de sport . Ça fait deux heures que je le fais , il fallait que j'évalue cette frustration de mon corps . Je vais maintenant prendre une douche très froide . Ensuite , je m'habille , il est maintenant sept heures , je vais prendre une tasse de thé et ma journée peut commencer . Je me rends d'abord à mon entreprise de vente de véhicules où je passe trois heures de temps , ensuite , je me rends à l'hôtel qui doit recevoir mes invités , même si j'ai un assistant et un secrétaire , je préfère aller voir de mes yeux les travaux qu'ils ont fait sur place . C'est l'un de mes hôtels cinq étoiles , et j'en suis très fier . Cet hôtel est bâtis sur une superficie de cinq cents hectares , composés de petites villas entourées de verdure , et ce deux immeubles côte à côte , entourés d'arbre , nous devons commencer à protéger notre environnement , celà nous permett
La bête - Il faut bien que je perde le temps avec quelque chose ou quelqu'un !Son frère devient fou en comprend immédiatement où je veux en venir .- Non , la bête s'il te plaît , je t'en supplie , ne me fais pas ça . Je ferai tout ce que tu voudras . - Ce que je veux actuellement c'est cette belle jeune fille qui se tient si timidement devant nous . Je suis sûr que lorsque je m'occuperai d'elle , elle oubliera sa timidité .Je me tourne vers la demoiselle : - Comment t'appelle t'on ma jolie ? - Je.. .je m'appelle...- N'ai pas peur la jolie , je ne te ferai pas de mal . Alors ? - Je m'appelle Nicole monsieur . - Tu as un très beau prénom Nicole , accompagne-moi pour te rafraîchir un peu . Elle jette coup d'œil à son frère comme pour demander son avis , il secoue la tête pour lui dire de ne pas m'accompagner . Mais , j'ai déjà pris son bras et je l'amène avec moi hors de la pièce . Nous prenons l'ascenseur pour aller au premier . Elle me suis docilement , mais je sens sa peur
La bête Ma main continue de jouer avec sa poitrine . Alors que ses yeux se ferment , pour apprécier ce que mes mains lui donnent comme plaisir. Elle , me prend complètement sa gorge , mais , elle a un haut le cœur qui fait qu'elle me régurgite . Je m'arrête , il y aura un temps pour qu'elle apprenne . Je la relève pour qu'elle s'installe à ma place , et je prends sa position . Je la ramène au bord du fauteuil et mes doigts s'invitent au centre de son être . Je caresse lentement ses lèvres charnues . Je constate qu'elle commence à mouiller . C'est déjà Bon signe . Je prends son jus pour bien humidifier le contour de sa chatte , avant d'y poser ma bouche . Elle fait un sursaut de recul . - Je sais que personne , n'y a mis la bouche , je veux être le premier dans tout ça . Je soulève ses jambes que je place sur mes épaules , et je commence un travail de fond , qui l'a fait jouir dans un cri grandiose . Je crois que même son frère a dû l'entendre . Elle garde les yeux fermés , je suis
La bête - Bien monsieur . Elle s'en va avec lui sans un mot pour son frère . - vous n'êtes qu'une ordure , Arthur la bête . - Merci du compliment , tu garderas une place bien au chaud pour moi en enfer . Je soulève mon arme et je lui tire une balle en pleine tête . Ses yeux s' écarquillent de surprise mais en même temps , je vois la mort qui s'y infiltre et ses yeux se voilent peu à peu de brume avant de s'éteindre . Sa tête tombe à côté , il est mort . Ça servira de leçon à ceux qui voudront m'arnaquer . - Nettoyez tout ça . Je remonte prendre une douche avant d'aller prendre un café dans mon restaurant . Tout est prêt pour recevoir mes invités . Je ferme un instant les yeux et je revois les belles formes de Alba , cette petite me fait ressentir des choses inimaginables . Je ne veux pas précipiter les choses avec elle , j'ai envie de bien faire les choses pour une fois , ce magnétisme qu'il y a entre nous me laisse perplexe , je la désire à un tel point ! Que ça devient inqui
Alba Nous prenons nos uniformes pour aller nous changer . Ensuite nous venons attendre au bar avec trois autres femmes pour servir dès qu'ils seront là . Ils ne tardent pas à arriver , nous voyons des gardes entrer suivi de quatre hommes tous en noir . Ils ressemblent à des mercenaires comme dans les films , mais ils sont si beaux ! Ils s'installent à la table du milieu qui peut prendre dix personnes Je vois notre patron lever une main et l'une des filles accourt pour aller vers lui elle se penche et il lui chuchote à l'oreille . Elle écoute consciencieusement et se redresse pour revenir vers nous . C'est elle qui gère tout ce soir . Les filles continuent de danser sur la piste . Elle désigne deux filles vous deux prenez ces plateaux pour aller sur la table . Parmi ces deux femmes il y a Mia , elles prennent les plateaux remplis de boissons pour aller servir . Avec sa belle poitrine , Mia , ne passe pas inaperçue . Surtout quand elle se penche pour servir , les hommes à table n
Mia Le monsieur sur lequel je suis assise est très beau et il sent si bon . Je le caresse lentement , ma main se pose sur son cou je le caresse tout doucement jusqu'à l'oreille que je suce un peu . Puisqu'il ne dit rien , je me dis que je peux continuer . Alors , ma main descend silencieusement jusqu'à son entrejambe bien gonflé , je vois qu'il n'est pas insensible à mon doigté . À travers son pantalon , je le caresse lentement , il continue sa conversation en anglais avec les autres comme si de rien n'était . Ma main appuie doucement sa queue à travers son pantalon . Je sens une petite humidité à mon touché . J'adore ça , je remarque qu'il mouille pour moi . Ma bouche se pose sur son oreille , je le suce sensuellement , il ferme un instant les yeux , il apprécie beaucoup mes attentions . Sa main n'est pas inactive , elle me caresse lentement la cuisse , puis s'arrête devant ma culotte , elle caresse lentement ma chatte , puis , décale un peu ma culotte pour me caresser réellement
KenJe suis seul dans le silence de cette pièce, les bras croisés, le regard perdu dans le vide. Le même vide qui semble envahir mon esprit depuis des jours. Je me déteste. Je me déteste d’avoir laissé les choses en arriver là, d’avoir permis à la situation de m’échapper, d’avoir perdu Jade.Elle m’a trahi, oui. Mais c’est moi qui ai été aveugle. C’est moi qui ai ignoré les signes. Depuis le début, je n’ai pas vu la distance grandir entre nous. J’étais trop concentré sur mon pouvoir, mes ambitions, mes désirs. Trop absorbé par mon contrôle sur elle. Et maintenant, je me retrouve à la regarder d’un autre œil, comme si tout venait de m’éclater au visage.Elle n’est plus celle que je croyais qu’elle était. Mais est-ce qu’elle ne serait pas plutôt celle que j’ai laissée devenir ?Je ferme les yeux, et le souvenir de ses yeux pleins de confusion me hante. Je vois ses gestes hésitants, sa manière de me regarder, comme si elle attendait quelque chose de moi, mais je n’ai pas été capable de r
JadeJe me sens démunie, comme si mes mots n’avaient plus de poids, comme si tout ce que je pouvais dire ne faisait que creuser l'écart entre nous. J’avais cru, un instant, qu’il accepterait de me laisser un peu d’espace, un peu de liberté. Mais je vois maintenant que je me suis trompée.Je baisse les yeux, hésitant. Une part de moi me dit de continuer à me battre, de ne pas céder, mais une autre, plus faible, me pousse à chercher la paix, à réparer ce qui semble brisé entre nous.— Pardon, Ken, murmuré-je, ma voix tremblante. Je… je ne voulais pas te contrarier. C’est juste que ça fait trop longtemps, et Mia et Alba… elles sont importantes pour moi.Je le regarde enfin, espérant qu’il verra la sincérité dans mes yeux. Mais je connais cet homme. Il est implacable, et la douceur ne semble jamais être de mise avec lui.Il se tourne lentement vers moi, son visage toujours aussi fermé, ses bras croisés sur sa poitrine. Il prend une profonde inspiration, comme s’il cherchait à se contenir.
MiaLe souvenir de ce qui s’est passé au restaurant me hante encore. La façon dont Ken a humilié Alba, l’ayant trimbalée comme un simple accessoire, me serre encore la poitrine. Loin de la classe et de l’élégance que l’on s’attend à voir dans le monde des puissants, c’était une scène de pouvoir, de domination crue.Alba a voulu faire bonne figure, mais je l’ai vue. Je l’ai vue se tenir droite, faire semblant de ne pas être affectée, tandis que son mari, sans scrupules, l’abaissait devant tout le monde. Un frisson me parcourt rien qu’en y repensant. Je me tourne vers elle, qui, cette fois, est plongée dans ses pensées, un peu plus distante.— Tu penses à ce qui s’est passé, hein ? demandai-je doucement, même si je connais déjà la réponse.Alba soupire et regarde ses doigts jouer avec la coupe vide devant elle.— Comment pourrait-on l’oublier ? Ça m’a marquée, Mia. Je n’arrive même pas à comprendre comment il a pu agir comme ça, devant tout le monde.Je secoue la tête, en colère contre
MiaAlba repose son verre sur la table et me fixe avec un sourire en coin.— Tu te rends compte qu’on parle de divorces et de prisons comme si c’était normal ?Je lâche un petit rire, secouant la tête.— C’est notre réalité, Alba. On s’est habituées à tout ça.— Oui, mais… et si les choses changeaient vraiment ?Je fronce légèrement les sourcils, intriguée.— Qu’est-ce que tu veux dire ?Elle se redresse légèrement, jouant avec la chaîne autour de son cou.— Je veux dire… et si un jour, ils pouvaient nous épouser ?Je la regarde un instant, pensive. C’est une idée que je n’ai jamais vraiment laissée m’effleurer, une possibilité trop lointaine, presque irréaliste. Et pourtant…— Tu crois que c’est possible ? murmuré-je.— Pourquoi pas ? répond Alba en haussant les épaules. Mon chéri divorce, la femme de Juan est en prison… Peut-être que le destin est en train de nous ouvrir une porte.Je soupire, jouant avec le bord de mon verre.— J’aimerais y croire, Alba. Mais tu sais aussi bien que
MiaJe l’observe en silence, comprenant parfaitement ce qu’elle veut dire.— Tu regrettes ?Elle secoue la tête avec un sourire doux.— Non. Je l’aime, et je sais qu’il m’aime aussi. Mais il y a des jours où je me demande… où est passée l’Alba d’avant ?Son regard se perd un instant dans le vide, puis elle soupire avant de reprendre une bouchée de son beignet.— Et toi ? Ça te fait quoi d’être mariée à un homme comme Cobra ?Je ris doucement, secouant la tête.— Je ne sais même pas si "mariée" est le bon mot, soufflé-je. Ce n’est pas un mariage conventionnel, Alba. C’est intense, imprévisible… et parfois, j’ai l’impression de marcher sur une corde raide.— Mais tu l’aimes.Je baisse les yeux sur mon assiette, réfléchissant à ses mots. L’amour que j’éprouve pour Cobra est loin d’être simple. Il est viscéral, brûlant, parfois douloureux.— Oui, dis-je finalement dans un souffle.Alba hoche la tête, comme si elle s’y attendait.Un silence confortable s’installe entre nous alors que nous
MiaLa porte s’ouvre sur Alba, et dès qu’elle me voit, son visage s’illumine d’un sourire éclatant.— Mia !Elle se précipite vers moi, et sans réfléchir, je la serre fort dans mes bras. Son parfum familier m’enveloppe, et une vague d’émotions me submerge. Trop de temps s’est écoulé. Trop de choses ont changé.— Tu m’as manqué, souffle-t-elle contre mon épaule.Je ferme les yeux un instant avant de me reculer pour mieux la regarder. Ses longs cheveux bruns encadrent son visage radieux, et malgré l’inquiétude que je devine dans son regard, elle tente de garder son énergie positive.— Toi aussi, Alba.Elle prend mes mains dans les siennes et scrute mon visage.— Tu vas bien ? Je veux dire… vraiment bien ?Je hoche la tête, bien que la réponse soit plus complexe que ça.— J’essaie, dis-je avec un sourire doux.Alba pince les lèvres, comme si elle hésitait à insister. Puis, elle baisse les yeux sur mon ventre.— Et… le bébé ?Un étrange frisson me traverse. L’entendre dire ce mot rend les
MiaJe suis debout devant la fenêtre, le regard perdu dans la nuit. L’air frais caresse ma peau, mais je n’y prête pas attention. Mon esprit est ailleurs, englué dans des pensées qui me torturent. L’inquiétude pour Jade ne me quitte pas, et maintenant, une autre réalité s’impose à moi.Je pose instinctivement une main sur mon ventre, comme pour me rappeler que je ne suis pas seule. Depuis quelques semaines, mon corps me le rappelle chaque jour un peu plus. Mais ai-je seulement le temps de me préoccuper de moi-même alors que Jade est peut-être en danger ?Une porte s’ouvre derrière moi. Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir que c’est le Cobra. Son pas est reconnaissable entre mille : lent, assuré, mais toujours chargé de cette tension contenue qui le caractérise. Il s’approche, et je sens la chaleur de sa présence avant même qu’il ne parle.— Mia, souffle-t-il doucement.Je ferme les yeux un instant, savourant la douceur rare de sa voix. Puis, je me retourne lentement. Il est
MiaJe suis assise dans le salon, les yeux fixés sur le téléphone posé sur la table basse. L'écran éteint semble symboliser tout ce qui me tracasse en ce moment. Jade. Elle est dans une situation délicate, et je ne peux m’empêcher de m’interroger sur ce qui se passe avec elle. Depuis que tout a basculé, il n’y a eu aucune nouvelle claire. Juste des rumeurs, des murmures. Mais rien de concret.Le Cobra entre dans la pièce, les épaules détendues, comme s'il n’avait rien d’urgent à me dire. Mais je vois au fond de ses yeux qu’il cache quelque chose. Il y a des tensions, et j’ai l’intuition que tout ça est lié à Jade.Je le regarde intensément, et je sens ma voix s’échapper, presque malgré moi, tremblante d’anxiété.— Cobra, je commence, ma voix un peu plus douce que d’habitude. Qu’est-ce qui se passe avec Jade ?Il me regarde un instant, ses lèvres se pinçant. Je le connais assez bien pour savoir qu’il n’aime pas aborder ces sujets-là. Mais aujourd’hui, je n’ai pas l’intention de me con
La BêteJe me suis installé derrière mon bureau, la pièce plongée dans une semi-obscurité, seule la lumière de l’écran de mon téléphone m’éclairant. Le message de Ken m’a bien secoué. Il croit vraiment que je vais accepter ses conditions, mais il n’a aucune idée de ce qu’il vient de déclencher. Ce n’est pas lui qui mène le jeu. C’est moi.Je décroche, composant le numéro du Cougar. Je connais son rythme : il répond vite, toujours attentif aux détails. Après quelques brefs bips, sa voix grave résonne dans l’appareil.— La Bête, commence-t-il, toujours direct, comme s'il sentait déjà la gravité de la situation. Qu’est-ce qui se passe ?Je laisse un soupir léger échapper de mes lèvres, et je lui annonce la nouvelle avec calme.— Ken a décidé de jouer gros. Il veut cinquante pourcent de l’affaire.Il y a un long silence de l’autre côté du fil, puis une explosion de rires secs, teintée de mépris.— Il pense vraiment pouvoir nous dicter les règles ? dit-il. Il a des couilles, c’est certain.