Le visage de Pascal était sombre, il ne comprenait pas comment Louise, une étudiante, pouvait devoir cent mille euros aux autres !« Qu'est-ce qui s’est passé ? » Pascal a demandé à voix basse.Louise a vu le regard de Pascal et s’est sentie mal à l'aise comme s'il elle avait des épines sur tout son corps.C'était comme si un mendiant au bord de la route vous fixait.« Dépêche-toi d'aller chercher de l'argent, tu veux toujours me voir retenue par eux ? » Louise a regardé Pascal avec un grand mécontentement.Ce soliveau, il était toujours planté là, comme une bûche.Même si Grévin et Quirin avaient peur de Frère Didier, ils n'avaient pas peur de Pascal.Puisque Pascal est venu, cela signifiait que ce bon à rien devait avoir peur de Louise.Il était donc naturel de le laisser aller chercher l'argent pour les sauver.« Merde ! Qu’est-ce que tu regardes ! Dépêche-toi d'aller chercher de l'argent ! » Grévin a immédiatement frappé la table et s'est levé en hurlant.À ses yeux, Pascal était u
« Mec, tu es vraiment hilarant. Personne n'a jamais osé me parler comme ça, tu es le premier. » Didier a dit lentement en allumant une autre cigarette et en prenant une grande bouffée.Dès qu'il a dit cela, deux de ses hommes ont fermé la porte du bar.Comme c'était le jour, le bar était fermé.Pascal a levé les sourcils et a jeté un coup d'œil sur quelques personnes qui étaient en position de siège.Ils étaient tous poings en l'air et avaient un ricanement méchant sur le visage.Louise était également anxieuse, elle pensait qu’elle avait fait une erreur pour avoir cherché Pascal.Cet idiot, comment osait-il parler à Frère Didier comme ça ?Si tu n'avais pas d'argent, il fallait partir alors. Pourquoi rester ici et faire semblant d'être un fort ?« Pascal, si tu n'as pas d'argent, pars alors. Je n'ai pas besoin d'un déchet comme toi. » Louise a dit avec un visage froid.Grévin et Quirin, entre autres, ont suivi le mouvement, en jurant et en maudissant.« Merde, après tout ça, cet idio
Louise et les autres ont regardé Gilbert entrer dans le bar avec ses hommes.C'était l'un des gros bonnets de la ville Haute-Rivière !La puissance et le capital derrière lui étaient encore plus terrifiants !Grévin a complètement paniqué, il a bégayé en frissonnant. « Non, nous devons nous dépêcher de partir. Si Maître Gilbert nous attrapait, nous serions définitivement morts ! » Grévin était en panique, il avait eu la chance de voir le maître Gilbert en action auparavant !Même Roger Lin, autrefois une brute de la ville Haute-Rivière qui faisait la pluie et le beau temps, était à genoux et parlait devant le maître Gilbert.Ce jour-là, quand il a vu cette scène, Grévin s'est dit qu'il ne devait pas se frotter à Maître Gilbert.Il était trop puissant !Et, extrêmement impitoyable dans ses façons d’agir !Roger Lin, qui était invaincu sur le marché noir de la boxe illégale et clandestine depuis une centaine de combats, avait fini par avoir les bras et les jambes cassés et jetés dans la
« La dernière fois, tu as dit que Louise n’est pas mal et jolie, amène-la ici cette fois-ci aussi. L'invité l'a désignée pour l’accompagner. » Maître Gilbert a dit avec un sourire et un ton lubrique entre ses mots : « D'après ce que vous avez dit, elle a aussi une cousine appelée Valérie, toujours une beauté célèbre dans notre ville, toujours une jeune femme. Faites-les venir ensemble aussi, peut-être que les invités l’aimeront aussi. Ce sera amusant d'avoir des sœurs à bord. » Didier a immédiatement compris et a répondu : « Maître Gilbert, ne vous inquiétez pas. Cette petite fille nous doit cent mille euros, et j’ai a entendu dire que sa cousine est aussi très à court d'argent pour l'opération de sa fille récemment. » « Très bien, dépêchez-vous de vous y mettre. » Maître Gilbert a affiché un large sourire.Les sourcils de Pascal se sont froncés. Il avait pensé qu'ils voulaient seulement draguer Louise, mais à sa grande surprise, ils voulaient même draguer sa propre femme !Alors vo
Thierry a rapidement répondu : « M. Chen, j'arrive tout de suite. » En raccrochant le téléphone, Thierry a repris son souffle, un peu nerveux et paniqué.Gilbert, tu t’es frotté à M. Chen ?C'était vraiment un risque pour lui !Depuis tant d'années, Thierry était mécontent de Gilbert qui était vraiment très agressif.De plus, Gilbert était mécontent du statu quo et avait déjà commencé à faire secrètement des problèmes à Thierry de diverses manières.En réponse, Thierry n'a fait que fermer les yeux. Après tout, ils étaient tous des gens de statut, donc ils ne pouvaient que se battre en cachette.Cependant, aujourd'hui, il était clair que Gilbert avait provoqué quelqu'un qu'il ne l’aurait pas dû.Alors, pourquoi Thierry n'a pas saisi cette occasion d’exterminer Gilbert d'un seul coup ?Avec cette idée en tête, Thierry a immédiatement composé un numéro de téléphone.Immédiatement, au moins une douzaine de personnes se sont déplacées !Ils étaient tous des hommes de confiance de Thierry !
Et à ce moment-là, l'atmosphère dans le bar était inhabituellement froide et maussade.Soudain !Un petit frère s'est précipité et s'est approché de l'oreille de Maître Gilbert en disant : « Maître Gilbert, M. Deng, le secrétaire de M. le président Qiao, est venu. Il a une affaire urgente pour vous. » « M. Deng ? » Gilbert s'est immédiatement levé du canapé, excité, « Vite, vite, allons accueillir M. Deng. » Un groupe de petits frères a ouvert la voie.Gilbert avait l'air très excité.M. Jacques Deng, secrétaire en chef de l'homme le plus riche de la ville, Fortuné Qiao.Il est venu chez lui, mais c'était un invité rare !Parce qu'il y avait ce dicton qui circulait dans la ville, voir M. Deng était comme voir Fortuné.Cependant.Avant même que Gilbert ait pu sortir, Jacques était déjà entré avec sa petite secrétaire blonde.Qui a osé l'arrêter ?« Aïe, M. Deng, cela fait longtemps que je ne vous ai pas vu. Vous êtes vraiment un invité rare. Qu'est-ce qui vous amène dans mon petit bar
Le visage de Gilbert a changé, il avait combattu pendant tant d'années, quel genre de personnes n'avait-il pas vu ?Cependant, aujourd'hui, il avait l'impression de faire face à un ennemi totalement impénétrable.C'était parce que le tempérament de Pascal était si spécial qu'il lui donnait une sorte de pression différente.Il semblait que cet homme apparemment ordinaire avait un état très différent.C'était vrai !C'était le sentiment de Gilbert après avoir entendu les propos de Pascal.Cependant, Gilbert n'était pas non plus une mauviette, il a ricané et a dit : « Jeune maître Chen, vous voulez sûrement m'affronter, Gilbert Qi? Bien que M. Deng soit là, je suis au moins le chef des forces clandestines de la ville Haute-Rivière. La personne derrière M. Deng, même s’il était puissant, s'il veut faire un coup, il doit peser le pour et le contre. » C'était vrai, Gilbert parlait exactement de Fortuné.À ses yeux, Pascal a osé être si audacieux, juste parce qu'il s'est appuyé sur la puissa
Une grande scène, non ?Cependant, il y avait une plus grande scène !Soudain !Plusieurs bruits sourds ont retenti dans le bar !Sept ou huit personnes se sont envolées des accès gauche et droite de la porte !Ils étaient tous des hommes de Gilbert !Et puis, un groupe d’hommes de main en costume noir s’est précipité dans le hall du bar !Le chef du groupe était le robuste et tyrannique Lionel !Il a combattu avec une dizaine de voyous tenant le bâton dans la main.Ces personnes étaient celles que Gilbert avait chargées de surveiller la porte là-bas.Seulement, en un instant, ils ont tous été battus par Lionel seul !Quand Gilbert a entendu le vacarme, son visage a tremblé de colère et il a levé les sourcils et regardé avec colère. Il a vu derrière la foule, Thierry marchant lentement avec un sourire dégoûtant.« Thierry ! Que veux-tu ? C'est mon territoire, celui de Gilbert ! Que fais-tu en amenant tant de gens ici ? ! » Gilbert était furieux, il ne s'attendait pas à ce que Thierry
Mais l'homme tatoué en tête leur a bloqué directement le passage et a dit : « Jolie fille, ne sois pas pressée. M. Lu m'a dit que ce type cherchait les ennuis, nous sommes venus pour résoudre le problème. » « J'ai une idée. Il y a un hôtel juste à côté, tant que tu couches avec moi, je ne vais pas blesser ton petit ami, ça te va ? » « Frère Mathieu, vous n'avez qu'à donner une leçon à ce type... » Sur le côté, Fabrice s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas. « Va-t'en ! Tu n'as pas le droit d’ouvrir la bouche quand je parle. Dégage de mon chemin ! » Mathieu lui a donné une gifle et un coup de pied en hurlant : « Comment ? Peux-tu aller à l'hôtel avec nous ? » « Oui ! » Fabrice était fidèle à Mélissa, il a montré un sourire contraint à cet instant. « Espèce d'imbécile ! Tu es dégoûtant ! » Mathieu s'est approché de Fabrice pour l'envoyer dans le coin. « Jeune maître Lu, je ne suis pas ton esclave ! Même si tu es riche, tu ne peux pas me faire fair
Mélissa s'est levée et s'est emportée contre Fabrice : « Ça suffit ! Tu es trop arrogant, Pascal est mon petit ami, je ne permettrai à personne de lui faire du mal ! » Fabrice est devenu plus furieux, a pointé Pascal du doigt et a demandé d'un air sombre : « Mélissa, tu m'accuses pour ce type ? » Il était peu convaincu dans son cœur, pourquoi le traitait-elle ainsi ? Oui, c'était à cause de cet homme appelé Pascal, c'était lui, c'était à cause de lui ! S'il n'était pas apparu, Mélissa ne l'aurait pas traité de la sorte ! « C'est à cause de toi ! » Fabrice a déversé sa colère sur Pascal, a attrapé une bouteille et l'a fracassée contre la tête de Pascal ! « Ah ! » Mélissa était si effrayée que son visage est devenu pâle et qu'elle s'est couvert la bouche en criant. La tête de Pascal allait définitivement se briser et saigner à cause de ce coup ! Fabrice a ricané, il pensait qu'avec ce coup, Pascal allait certainement lui demander pitié ! Mélissa saurait
Ce n'est que lorsque Mélissa s'est approchée que Pascal a repris ses esprits et a demandé d'un air absent : « Pourquoi es-tu là ? » Mélissa était vraiment trop belle, avec un visage petit et délicat, et bien qu'elle ne se maquille pas, sa peau était blanche et elle avait une beauté naturelle. « Tu as oublié ? Je suis venu te chercher comme promis. » Un peu mécontente, mais elle ne l'a pas montré. Ce type ne voulait pas la voir ? Pascal a secoué la tête : « Je n'ai pas le temps, je dois aller voir ma fille à l'hôpital. » Mélissa était stupéfaite, qu'est-ce qui n'allait pas chez ce type ? Elle était venue le chercher en personne et il ne l'acceptait pas ? Savait-il combien d'hommes rêvaient de sortir avec elle ? C'était la première fois qu'elle invitait un homme ! Même s'il était déjà marié, et alors ? Mélissa était une fille audacieuse, elle voulait déclarer son amour à Pascal. Même si elle ne pouvait être que sa maîtresse, cela n'avait pas d'importanc
Pascal a gratté son nez et a dit : « Ton mari n'est pas si nul, d'accord ? À partir de maintenant, je serai ton chevalier. » Valérie lui a jeté un regard. De son côté, Romain était furieux, et lorsqu'il a vu le couple marcher à deux, il a menacé : « Directeur Jiang, tu dois me donner une explication sur cette affaire aujourd'hui, sinon, je le rapporterai au conseil d'administration ! » Valérie s'est approchée, le visage froid, et a dit : « Directeur adjoint Li, si vous êtes mécontent, je m'excuse auprès de vous pour Pascal. » Après avoir dit cela, elle s'est tourné vers la foule et a dit : « Tout le monde, accueillons notre nouveau collègue, Pascal, à partir de maintenant, il sera l'assistant du bureau du directeur. » Il y avait des applaudissements enthousiastes. La plupart des gens avaient des protestations dans le cœur. Pascal était vraiment un raté. En appuyant sur sa femme, il est devenu l'assistant du bureau du directeur. Cependant, Pascal s'en fichait, il
« Pascal, pourquoi es-tu ici ? » Romain, un sourire froid aux lèvres, se tenait à l'entrée et l'a regardé d'un air amusé : « Et toi Myriam, qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n'es pas à ton poste ? Veux-tu être renvoyée ? » « Non, directeur adjoint, je suis... » Myriam voulait s'expliquer, mais Romain l'a interrompue. « Je ne veux pas entendre ton prétexte, je pense que tu ne veux simplement plus travailler. » Romain s'est assombri : « Tu es tellement irresponsable ! Tu es virée ! » Pascal a déclaré : « Romain, tu n'as pas besoin de viser les autres à cause de moi, ça n'a rien à voir avec elle. » « Pascal... » Myriam était quelque peu émue et a essuyé ses larmes. Pascal a continué en souriant : « Directeur adjoint Li, j'ai oublié de te dire qu'à partir d'aujourd'hui, je suis également membre de l'entreprise. » Quoi ? Tout le personnel de l'entreprise était stupéfait ! Pascal est devenu leur collègue ! C'était Directrice Jiang qui avait organisé
Face à la force de Zoé, Gisèle n'a pas osé lui résister du tout. Elle n'osait agir de manière arbitraire que dans sa famille. Si elle rencontrait un étranger, elle serait trop lâche pour prononcer un mot. Surtout s'il s'agissait d'une femme très forte comme Zoé, Gisèle était effrayée au plus profond de son cœur. « Moi...... » Gisèle s'est couvert le visage, ne sachant que dire. Clac ! Zoé lui a donné une autre gifle et a dit d'un ton menaçant : « Gisèle, je te préviens, laisse tomber tes pensées irréalistes. Penses-tu vraiment que les membres de ma famille Chen sont des lâches ? As-tu oublié l'avertissement que je t'ai donné en premier lieu ? » Cette femme était vraiment une personne mesquine, elle a déjà oublié ses douleurs passées. « Non, je n'ai pas... » Gisèle s'est couvert le visage et a baissé la tête, n'osant pas la regarder directement dans les yeux. Zoé l'a regardée froidement et est entrée directement dans la villa, la visitant quelques instan
« Pascal, me caches-tu quelque chose ? » a demandé Valérie, les yeux fixés sur Pascal. Pascal s'est approché et l'a serrée dans ses bras en riant : « Non, à quoi tu penses ? Je t'ai dit tout ce que j'aurais dû te dire. » Au fond de lui, Pascal pariait que Zoé n'avait rien dit. Il savait qu'il était impossible que Zoé le dise à Valérie. Ainsi, il pourrait amener Valérie et Méline à juste titre. Pourquoi il n'avait pas révélé son identité à Valérie ? Il avait ses propres raisons. Valérie venait d'une famille ordinaire, sans argent ni pouvoir. Si Pascal révélait son identité ou les ramenait chez lui, cela entraînerait inévitablement un retour de bâton de la part de la famille Yun et de nombreuses forces. Dans ce monde, la famille Yun n'était pas la seule à surveiller la famille Chen ! La situation actuelle était comme une corde de chanvre, avec de multiples forces luttant les unes contre les autres. Une fois que Pascal aurait rompu cet équilibre, une réaction en
« Valérie, pourquoi es-tu soudain venue me voir ? » Au même moment, Zoé est entrée dans le hall latéral, pleine de sourires doux, et se tenait devant Valérie. À ce moment-là, Zoé était tout à fait différente de celle qu'elle avait été dans le hall plus tôt. Valérie a vu deux dos disparaître dans la nuit et sortir de la villa. « Tante Zoé. » l'a saluée Valérie poliment. Zoé l'a tirée, s'est dirigée vers le canapé et s'est assise, ordonnant à ses hommes de préparer des collations. Pascal a quitté la villa avec Ludovic, mais il a soudain jeté un coup d'œil en arrière, car il lui semblait avoir entendu "Valérie" tout à l'heure. Secouant la tête, il a ouvert la portière et est monté dans la voiture. Quant à Valérie, elle se sentait mal à l'aise, surtout face à Zoé. Cette femme était la belle-mère de Pascal, et il y avait un malentendu entre eux. « Valérie, viens ici, goûte des dim sum fraîchement préparés, une spécialité de la région du Sud. » Zoé a souri do
Ludovic s'est assis sur le canapé, a penché la tête et a ri bruyamment : « Zoé, si tous les membres de la famille Yun sont si imprudents, quel genre de grandeur atteindront-ils à l'avenir ? » Du début à la fin, Pascal s'est assis sur le côté et n'a rien dit. C'était parce qu'il savait que c'était son deuxième oncle qui intervenait maintenant. Zoé avait l'air sombre, elle voulait tuer Ludovic dès maintenant pour que la famille Chen perde une force énorme. Cependant, elle n'osait pas. Elle avait peur du pouvoir que Ludovic avait entre les mains. Bien sûr, après toutes ces années, Ludovic avait également peur du pouvoir de Zoé. Les deux camps s'étaient battus ouvertement et secrètement pendant plus de dix ans, s'entravant mutuellement. « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. » Serge a pris la parole à ce moment-là, assis sur le siège principal du canapé, les mains posées sur sa canne à tête de dragon, il a jeté un coup d'œil à Pascal assis là-