« Ils ne devraient pas être les seuls. » Pascal a dit en sirotant tranquillement son thé.« Oui, il y a aussi quelques patriarches de l'État qui ont aussi fait de légères remarques en disant que vous êtes trop impétueux et qu'une petite famille Lu n'est pas digne d'une telle fanfare. » Fortuné avait l'air impuissant.Son jeune maître était allé un peu trop loin cette fois-ci.Pour être exact, c'était la première fois au cours de ces sept années.Dans le passé, le jeune maître avait fait des choses plus exagérées que celle-ci.Fortuné regrettait même un peu le jeune maître de l'époque, n'ayant peur de rien, arrogant et dominateur. C’était un bon stratagème pour cacher son vrai visage.« Alors, on les laisse marmonner. Je n'ai pas l'intention d’agir conformément à leur humeur de toute façon. »Pascal a dit calmement en s’en moquant.Fortuné a déposé la tasse à thé et s’est retenu pendant un long moment avant de demander : « Jeune Maître, avez-vous vraiment l'intention d’attaquer Madame Y
La Cour de la Cité du Dragon ?C’était le quartier de villas le plus luxueux et le mieux gardé de la ville Haute-Rivière, un lieu de rassemblement pour les personnes les plus riches !Toutes les villas d’ici coûtaient plus de dix millions d’euros l'unité !Le prix des villas les plus proches de la route commençait à partir de trente millions d’euros !La villa la plus chère la Cour de la Cité du Dragon était naturellement le Palais unique qui se trouvait en plein centre. En bénéficiant d’une position géographique idéale, il était très majestueux, comme protégé par des bâtiments imposants tout autour.En ce qui concernait la Cour de la Cité du Dragon, il fallait naturellement mentionner le patron qui se cache derrière, le Groupe Dragon, la famille Long.C’était une entreprise locale de la ville Haute-Rivière qui a tenu pendant quarante ans. Le pouvoir qui se cachait derrière elle était très terrifiant.Même Thierry, empereur clandestin de la ville Haute-Rivière a dû agir conformément à
Pascal connaissait ce que Valérie voulait demander et a dit : « Ceux que tu as vus venaient en fait d'un ami de mon père qui travaille pour la Garde de combat spécial de la ville Haute-Rivière. Je ne sais pas pourquoi il a fait une telle scène. N'aie pas peur, tout va bien. »Valérie s'est alors rassurée. Elle avait pensé que la famille de Pascal était dans ce domaine ou qu’il était le fils d’une famille avec une puissance spéciale qu'on ne pouvait voir qu'à la télévision.Il semblait qu'elle ait trop réfléchi.Cependant, Valérie était de plus en plus curieuse de connaître ce que faisait la famille de Pascal.Au cours du dîner aux chandelles, Valérie a posé de nombreuses questions. Pascal a habilement évité les points essentiels et donné à Valérie une explication satisfaisante.« Valérie, crois-moi. Il y a des choses que je ne peux pas te dire pour l'instant, mais je peux t'assurer qu'un jour, je te dirai tout. »Pascal s'est assis avec Valérie dans le jardin et elle s'est simplement
Pascal s'est retourné et a vu Gisèle, sa belle-mère s'avancer avec un air perplexe, les sourcils froncés, l'air mécontent.À ce moment-là, le visage de Gisèle ne pouvait pas dissimuler son mépris pour Pascal.L'une d'elles était la deuxième sœur de Gisèle, Fanny Yang. Pascal ne connaissait pas l'autre femme qu’il a vue pour la première fois. Elle était d’une famille extraordinaire d’après son tempérament et son habillement.Gisèle et Fanny la flattaient manifestement. On pouvait donc imaginer que l'identité de cette femme n'était pas ordinaire.« Que fais-tu ici ? »Gisèle était assez surprise de tomber sur Pascal dans cet endroit, elle était complètement bouleversée.Elle avait réussi à supplier sa deuxième sœur aujourd'hui de contacter une femme riche qui était une parente de la famille Long pour venir voir les villas de la Cour de la Cité du Dragon.Elle rencontrait sa mauviette de gendre à ce moment-là. Ne serait-ce pas humiliant si la femme riche le découvrait ?« Je ... »Pascal
Gisèle était embarrassée pendant un moment et s’est empressée d’expliquer : « Non, non. N'écoute pas cette mauviette de Pascal. S'il pouvait acheter une villa ici, je pourrais lui servir du thé tous les jours. »Hein !Laure a froidement reniflé et a dit : « Tu penses que la Cour de la Cité du Dragon est un marché de légumes où tout le monde peut acheter quelque chose ? »Gisèle était occupée à répondre : « Oui, oui, Mme Zhao a raison. »Elle a ensuite regardé Pascal avec un visage plein de honte et de colère. Elle s'est approchée de lui avec colère, a levé la main et lui a donné une gifle en le réprimandant : «Tu ne m'as pas entendue quand je t'ai demandé de partir ? Tu veux rester ici pour te ridiculiser, n'est-ce pas ? »Pascal ne s'attendait pas à être giflé de la sorte.Son visage était gelé et ses yeux étaient légèrement froids. Il avait supporté Gisèle pendant assez longtemps.Cependant, il était impuissant, car cette femme méchante et étourdie en face de lui était la mère de Va
Pascal a regardé l'identifiant de l'appelant, a légèrement froncé les sourcils et a décroché.À l'autre bout du fil, on entend immédiatement le bruit des pleurs et des cris, ainsi que des voix bruyantes : « Beau-frère, viens vite me sauver. Je ... J'ai accidentellement heurté ta voiture et ils veulent que je paie vingt millions d’euros ... »« Heurté ? Quelle voiture as-tu heurtée pour que tu doives payer vingt millions d’euros ? »Pascal était également choqué que Louise avait vraiment heurté une voiture.C'était une Ferrari !Elle avait eu un accident de voiture et elle devait payer vingt millions d’euros ?Se pourrait-il que l'autre partie soit aussi une voiture de luxe ?C'est une collision de voitures de luxe ?Louise n'a pas pu s'expliquer clairement au téléphone. Elle n'a cessé de pleurer et de crier : « Beau-frère, viens vite. Ils sont si nombreux. Ils ont dit qu'ils m'emmèneront si je ne paie pas et qu’ils viendront chez moi pour chercher mes parents. »Pascal était impuissant
Dès que les mots de Louise ont quitté sa bouche, des moqueries se répandaient de la foule.« Putain de merde ! Tu ne connais même pas une Ferrari Enzo. »« Quelle honte ! C'est l'Enzo, la voiture de sport haut de gamme ! Un noble de Ferrari ! Une voiture rare ! »« Non, il n’y en a que quelques centaines dans le monde. Dans notre pays, il n'y en a que six ou sept ! »Alors que la foule parlait, Louise a réalisé que quelque chose n'allait pas.Seulement six ou sept dans notre pays ?La voiture noble et rare de Ferrari ?Panique !Louise a paniqué tout d'un coup. Son regard s’est assombri, mais elle a quand même répondu avec raideur : « Je n'y crois pas. Mon beau-frère sera là dans un instant. »Louise a tapé du pied de haine, les bavardages de la foule des badauds lui ont fait baisser la tête.Les quelques jeunes de l'autre côté de la rue ont également reniflé plusieurs fois.Le propriétaire de la Ferrari Enzo, un garçon en chemise blanche a dit : « Bien, alors nous attendrons que ton b
Pascal a couru de loin, s'est glissé dans la foule, a tiré Louise en arrière et a dit avec inquiétude : « Louise, tu vas bien ? »Louise qui fondait en larmes à ce moment-là, s'est jetée dans les bras de Pascal et a dit : « Beau-frère, ils ... Ils veulent m’emmener pour les accompagner pour boire et chanter. Ils ont dit que si je ne couche pas avec eux, ils veulent que je paie vingt millions d’euros. »Louise pleurait très tristement.Pascal l’a consolée un peu et a dit : «D'accord, d'accord. Laisse-moi résoudre les problèmes. C'est bon. »Louise s’est frotté les yeux rouges en pleurs et a demandé avec précaution : « C’est vrai ? Pour les vingt millions d’euros, as-tu autant d'argent, beau-frère ? »Pascal a haussé les épaules et s'est retourné pour regarder les jeunes arrogants et dominateurs en disant d'une voix froide : « Ce ne sont que vingt millions d’euros. Qui vous a permis de l’emmener comme ça ?»Le garçon en chemise blanche qui était le chef du groupe a ricané, a regardé Pasc
Mais l'homme tatoué en tête leur a bloqué directement le passage et a dit : « Jolie fille, ne sois pas pressée. M. Lu m'a dit que ce type cherchait les ennuis, nous sommes venus pour résoudre le problème. » « J'ai une idée. Il y a un hôtel juste à côté, tant que tu couches avec moi, je ne vais pas blesser ton petit ami, ça te va ? » « Frère Mathieu, vous n'avez qu'à donner une leçon à ce type... » Sur le côté, Fabrice s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas. « Va-t'en ! Tu n'as pas le droit d’ouvrir la bouche quand je parle. Dégage de mon chemin ! » Mathieu lui a donné une gifle et un coup de pied en hurlant : « Comment ? Peux-tu aller à l'hôtel avec nous ? » « Oui ! » Fabrice était fidèle à Mélissa, il a montré un sourire contraint à cet instant. « Espèce d'imbécile ! Tu es dégoûtant ! » Mathieu s'est approché de Fabrice pour l'envoyer dans le coin. « Jeune maître Lu, je ne suis pas ton esclave ! Même si tu es riche, tu ne peux pas me faire fair
Mélissa s'est levée et s'est emportée contre Fabrice : « Ça suffit ! Tu es trop arrogant, Pascal est mon petit ami, je ne permettrai à personne de lui faire du mal ! » Fabrice est devenu plus furieux, a pointé Pascal du doigt et a demandé d'un air sombre : « Mélissa, tu m'accuses pour ce type ? » Il était peu convaincu dans son cœur, pourquoi le traitait-elle ainsi ? Oui, c'était à cause de cet homme appelé Pascal, c'était lui, c'était à cause de lui ! S'il n'était pas apparu, Mélissa ne l'aurait pas traité de la sorte ! « C'est à cause de toi ! » Fabrice a déversé sa colère sur Pascal, a attrapé une bouteille et l'a fracassée contre la tête de Pascal ! « Ah ! » Mélissa était si effrayée que son visage est devenu pâle et qu'elle s'est couvert la bouche en criant. La tête de Pascal allait définitivement se briser et saigner à cause de ce coup ! Fabrice a ricané, il pensait qu'avec ce coup, Pascal allait certainement lui demander pitié ! Mélissa saurait
Ce n'est que lorsque Mélissa s'est approchée que Pascal a repris ses esprits et a demandé d'un air absent : « Pourquoi es-tu là ? » Mélissa était vraiment trop belle, avec un visage petit et délicat, et bien qu'elle ne se maquille pas, sa peau était blanche et elle avait une beauté naturelle. « Tu as oublié ? Je suis venu te chercher comme promis. » Un peu mécontente, mais elle ne l'a pas montré. Ce type ne voulait pas la voir ? Pascal a secoué la tête : « Je n'ai pas le temps, je dois aller voir ma fille à l'hôpital. » Mélissa était stupéfaite, qu'est-ce qui n'allait pas chez ce type ? Elle était venue le chercher en personne et il ne l'acceptait pas ? Savait-il combien d'hommes rêvaient de sortir avec elle ? C'était la première fois qu'elle invitait un homme ! Même s'il était déjà marié, et alors ? Mélissa était une fille audacieuse, elle voulait déclarer son amour à Pascal. Même si elle ne pouvait être que sa maîtresse, cela n'avait pas d'importanc
Pascal a gratté son nez et a dit : « Ton mari n'est pas si nul, d'accord ? À partir de maintenant, je serai ton chevalier. » Valérie lui a jeté un regard. De son côté, Romain était furieux, et lorsqu'il a vu le couple marcher à deux, il a menacé : « Directeur Jiang, tu dois me donner une explication sur cette affaire aujourd'hui, sinon, je le rapporterai au conseil d'administration ! » Valérie s'est approchée, le visage froid, et a dit : « Directeur adjoint Li, si vous êtes mécontent, je m'excuse auprès de vous pour Pascal. » Après avoir dit cela, elle s'est tourné vers la foule et a dit : « Tout le monde, accueillons notre nouveau collègue, Pascal, à partir de maintenant, il sera l'assistant du bureau du directeur. » Il y avait des applaudissements enthousiastes. La plupart des gens avaient des protestations dans le cœur. Pascal était vraiment un raté. En appuyant sur sa femme, il est devenu l'assistant du bureau du directeur. Cependant, Pascal s'en fichait, il
« Pascal, pourquoi es-tu ici ? » Romain, un sourire froid aux lèvres, se tenait à l'entrée et l'a regardé d'un air amusé : « Et toi Myriam, qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n'es pas à ton poste ? Veux-tu être renvoyée ? » « Non, directeur adjoint, je suis... » Myriam voulait s'expliquer, mais Romain l'a interrompue. « Je ne veux pas entendre ton prétexte, je pense que tu ne veux simplement plus travailler. » Romain s'est assombri : « Tu es tellement irresponsable ! Tu es virée ! » Pascal a déclaré : « Romain, tu n'as pas besoin de viser les autres à cause de moi, ça n'a rien à voir avec elle. » « Pascal... » Myriam était quelque peu émue et a essuyé ses larmes. Pascal a continué en souriant : « Directeur adjoint Li, j'ai oublié de te dire qu'à partir d'aujourd'hui, je suis également membre de l'entreprise. » Quoi ? Tout le personnel de l'entreprise était stupéfait ! Pascal est devenu leur collègue ! C'était Directrice Jiang qui avait organisé
Face à la force de Zoé, Gisèle n'a pas osé lui résister du tout. Elle n'osait agir de manière arbitraire que dans sa famille. Si elle rencontrait un étranger, elle serait trop lâche pour prononcer un mot. Surtout s'il s'agissait d'une femme très forte comme Zoé, Gisèle était effrayée au plus profond de son cœur. « Moi...... » Gisèle s'est couvert le visage, ne sachant que dire. Clac ! Zoé lui a donné une autre gifle et a dit d'un ton menaçant : « Gisèle, je te préviens, laisse tomber tes pensées irréalistes. Penses-tu vraiment que les membres de ma famille Chen sont des lâches ? As-tu oublié l'avertissement que je t'ai donné en premier lieu ? » Cette femme était vraiment une personne mesquine, elle a déjà oublié ses douleurs passées. « Non, je n'ai pas... » Gisèle s'est couvert le visage et a baissé la tête, n'osant pas la regarder directement dans les yeux. Zoé l'a regardée froidement et est entrée directement dans la villa, la visitant quelques instan
« Pascal, me caches-tu quelque chose ? » a demandé Valérie, les yeux fixés sur Pascal. Pascal s'est approché et l'a serrée dans ses bras en riant : « Non, à quoi tu penses ? Je t'ai dit tout ce que j'aurais dû te dire. » Au fond de lui, Pascal pariait que Zoé n'avait rien dit. Il savait qu'il était impossible que Zoé le dise à Valérie. Ainsi, il pourrait amener Valérie et Méline à juste titre. Pourquoi il n'avait pas révélé son identité à Valérie ? Il avait ses propres raisons. Valérie venait d'une famille ordinaire, sans argent ni pouvoir. Si Pascal révélait son identité ou les ramenait chez lui, cela entraînerait inévitablement un retour de bâton de la part de la famille Yun et de nombreuses forces. Dans ce monde, la famille Yun n'était pas la seule à surveiller la famille Chen ! La situation actuelle était comme une corde de chanvre, avec de multiples forces luttant les unes contre les autres. Une fois que Pascal aurait rompu cet équilibre, une réaction en
« Valérie, pourquoi es-tu soudain venue me voir ? » Au même moment, Zoé est entrée dans le hall latéral, pleine de sourires doux, et se tenait devant Valérie. À ce moment-là, Zoé était tout à fait différente de celle qu'elle avait été dans le hall plus tôt. Valérie a vu deux dos disparaître dans la nuit et sortir de la villa. « Tante Zoé. » l'a saluée Valérie poliment. Zoé l'a tirée, s'est dirigée vers le canapé et s'est assise, ordonnant à ses hommes de préparer des collations. Pascal a quitté la villa avec Ludovic, mais il a soudain jeté un coup d'œil en arrière, car il lui semblait avoir entendu "Valérie" tout à l'heure. Secouant la tête, il a ouvert la portière et est monté dans la voiture. Quant à Valérie, elle se sentait mal à l'aise, surtout face à Zoé. Cette femme était la belle-mère de Pascal, et il y avait un malentendu entre eux. « Valérie, viens ici, goûte des dim sum fraîchement préparés, une spécialité de la région du Sud. » Zoé a souri do
Ludovic s'est assis sur le canapé, a penché la tête et a ri bruyamment : « Zoé, si tous les membres de la famille Yun sont si imprudents, quel genre de grandeur atteindront-ils à l'avenir ? » Du début à la fin, Pascal s'est assis sur le côté et n'a rien dit. C'était parce qu'il savait que c'était son deuxième oncle qui intervenait maintenant. Zoé avait l'air sombre, elle voulait tuer Ludovic dès maintenant pour que la famille Chen perde une force énorme. Cependant, elle n'osait pas. Elle avait peur du pouvoir que Ludovic avait entre les mains. Bien sûr, après toutes ces années, Ludovic avait également peur du pouvoir de Zoé. Les deux camps s'étaient battus ouvertement et secrètement pendant plus de dix ans, s'entravant mutuellement. « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. » Serge a pris la parole à ce moment-là, assis sur le siège principal du canapé, les mains posées sur sa canne à tête de dragon, il a jeté un coup d'œil à Pascal assis là-