À l’origine, Stella n’avait pas toujours voulu que son fils épouse Sabrina. Si elle avait organisé cette cérémonie, c’est tout simplement parce qu’elle avait envie d’apaiser la colère de son fils.Aujourd’hui, lors de cette cérémonie de mariage, les parents de Sabrina avaient déshonoré la famille Coulomb. Ce seul fait était suffisant pour qu’elle blâme Sabrina et qu’elle interdit Sabrina d’épouser son fils.De ce fait, Stella était représentative des parents qui étaient sages dans la vie quotidienne.Les parents sages qui se disputaient avec leurs enfants essaient souvent de rejeter les responsabilités sur l’épaule d’autrui.Si la décision de l’enfant était rejetée fermement, l’enfant s’en voudrait certainement contre ses parents. Mais si les parents procédaient différemment, le résultat serait bien meilleur.Maintenant, les mots que Stella venait de dire étaient raisonnables, donc même si Abraham était mécontent, il ne pouvait pas le montrer. En ce moment, Abraham ne pouvait rien fai
La Boutique de la Farine dorée disposait de deux canaux de distribution relativement importants, l’un étant constitué de grands supermarchés comme Carrefour et l’autre de supermarchés de taille moyenne comme les supermarchés de la famille Poquelin.L’industrie de la farine était relativement peu technologique, donc elle était très compétitive.Il existait déjà en France de nombreuses grandes marques de la farine. Ces marques étaient très connues, de sorte que leurs produits se vendaient bien. De plus, dans chaque ville, il existait au moins une dizaine d’autres marques locales de farine. Par conséquent, si une petite boutique comme la Farine dorée voulait réaliser un certain volume de ventes au niveau local, elle devait avoir beaucoup de distributeurs.Si les distributeurs achetaient plus de ses produits et les exposaient au rayon remarquable, elle pouvait gagner plus d’argent. En revanche, si le canal de vente ne lui accordait pas d’espace d’exposition et n’achetait pas ses produits,
Stella a commencé à hésiter après avoir entendu ces mots.Une somme de trente millions était vraiment attrayante, mais le prix était que son fils devait épouser une femme enceinte.Si son fils devait élever un enfant qui n’avait pas une relation biologique avec lui, ce serait trop misérable.Cependant, lorsqu’elle pensait à trente millions et à la vente la plus élevée de sa farine, elle était ravie au fond d’elle-même.Selon elle, tant qu’elle pouvait recevoir une grande somme d’argent, le bonheur de son fils n’était plus important.Néanmoins, cette affaire était encore épineuse. Si la fille de Monsieur Poquelin était enceinte d’un enfant français, il n’y aurait aucun problème, car elle pourrait expliquer à ses parents et à ses amis que son fils était depuis longtemps tombé amoureux de cette fille. Pour des raisons d’argent, elle pourrait quand même élever cet enfant lorsque le bébé serait né. Quelques années après, elle demanderait à la fille de Monsieur Poquelin de donner naissance à
« Quant aux rayons de farine dans leurs supermarchés, il faut absolument en donner la plus grande partie à ma famille. Si Monsieur Poquelin est d’accord sur cela, je marie mon fils à sa fille aujourd’hui. Tu vois, la cérémonie du mariage est prête et il se trouve que le nom de la mariée n’est pas écrit, ainsi, demande à Monsieur Poquelin d’amener sa fille ici. »Après avoir dit cela, Stella a repris en souriant : « Chapel, puisque sa fille est enceinte, son mariage ne doit pas être retardé. De plus, si tu réussis à négocier avec Monsieur Poquelin, je te donnerai deux millions d’euros pour te remercier. »La principale raison pour laquelle Chapel était si enthousiaste à propos de ce travail était que Monsieur Poquelin lui avait promis que si elle pouvait trouver un homme apparié pour sa fille qui accepterait volontiers de la laisser donner naissance au bébé, Monsieur Poquelin lui donnerait 5 millions d’euros.Après tout, Monsieur Poquelin n’avait qu’une fille et il ne voulait pas que la
Après avoir entendu ces mots, Monsieur Poquelin a cédé au compromis. Ce qu’il craignait, c’est que la réputation de sa fille ne soit ruinée et que son bonheur n’en soit affecté.Maintenant, il y avait un gendre apparié et miraculeusement, la cérémonie de mariage pouvait avoir lieu justement aujourd’hui.Après quelques instants de réflexion, il a eu une idée et a dit à Chapel : « Bon, dis à Stella que je suis prêt à lui donner cinquante millions. D’ailleurs, je vais amener ma fille là-bas. Aujourd’hui, le mariage aura lieu en présence des proches et des amis du marié. Demain, j’organiserai une autre cérémonie de mariage et inviterai mes amis et mes proches à y assister. De cette façon, le mariage entre Abraham et ma fille serait un grand succès. »Chapel a dit avec enthousiasme : « Monsieur Poquelin, tu es vraiment intelligent. Il n’est pas étonnant que tu puisses gagner beaucoup d’argent. Tu as pu prendre une décision si rapidement, je pense que tu es le seul dans toute la Cité J à avo
Stella a fait un geste de la main et a dit avec dédain : « S’il n’est pas d’accord, son père et moi rompons la relation avec lui ! Puisqu’il est notre fils, il n’a pas le droit de faire d’objection. » Après avoir dit ça, Stella a marché vers Abraham et Sabrina et a dit d’une voix froide : « Abraham, si la famille de Sabrina ne peut pas nous donner 30 millions, ce mariage n’est pas envisageable. »« Trente millions ? ! »Abraham et Sabrina se sont tous exclamés en état de choc !Abraham a ensuite dit avec colère : « Maman, tu as perdu la tête ? Tout à l’heure, tu as dit 10 millions, mais en un clin d’œil, c’est 30 millions. Comment la famille de Sabrina peut-elle trouver une telle somme d’argent ? Même notre famille n’a pas autant d’argent. »Stella a tiré la manche d’Abraham et lui a dit : « Viens avec moi, je veux te parler. »Après avoir dit cela, elle a également salué son mari : « Chanove, viens ici ! »Ils sont allés tous les trois dans un coin où il n’y avait personne, Abraham a
Lorsque Chanove a entendu le chiffre de cent millions, il a immédiatement transigé. Il s’est tourné vers son fils et lui a dit : « Comme c’est bon d’avoir une femme riche. Elle ne dépense pas notre argent et elle nous donne des dizaines de millions d’euros en retour. C’est parfait, n’est-ce pas ? »Abraham a dit d’une voix froide : « Oui, c’est vraiment parfait. Dans ce cas-là, tu peux même avoir un petit-fils directement et c’est un petit-fils à la peau noire. »À ces mots, Chanove ne se sentait pas du tout honteux et a dit : « Si quelqu’un me donne cinquante millions, je suis même prêt à avoir un fils à la peau noire. »Abraham s’est écrié : « Tu n’as pas besoin de gaspiller ta salive, je ne serai jamais d’accord sur cette affaire. »Chanove a soupiré et a pointé Abraham du doigt d’un air haineux, « Tu es encore jeune et tu n’es pas assez sage. Tu n’as jamais gagné d’argent depuis ton enfance, donc tu ne sais pas comme c’est difficile de gagner de l’argent. Je n’aurais pas dû te donn
Pour forcer son fils à épouser la fille de Monsieur Poquelin, Stella ne pouvait que le menacer en disant qu’elle avait envie de rompre la relation avec lui.Cependant, à ce moment-là, Abraham a dit sévèrement : « Puisque tu as si peu de respect pour moi, je n’ai rien d’autre à dire. Si tu ne veux pas me considérer comme ton fils, tu ne seras plus ma mère non plus. » En entendant cela, Stella était immédiatement furieuse et elle a crié de colère : « Tu es vraiment sans cœur. Si j’ai élevé un chien, il saurait quand même remuer la queue devant moi, mais tu veux rompre la relation avec moi pour une femme aussi pauvre, nous t’avons élevé pendant tant d’années pour rien. »Abraham a dit : « Je suis désolé, maman, je ne veux pas être manipulé par toi pour le reste de ma vie. »Chanove a également dit avec colère : « Merde ! Si tu pars aujourd’hui, pas un centime de la fortune familiale ne sera à toi dans le futur ! Tu dois peser le pour et le contre. »Abraham a dit : « C’est bon, je ne veu
Lucas a dit avec un sourire : « Si tu ne me crois pas, on verra. »L’entraîneur a ricané : « Bon, je vais attendre ici et voir comment Françoise va perdre ce match. »Après avoir dit ça, il s’est directement dirigé vers le siège de spectateur à côté de lui et s’est assis, ses bras croisés devant sa poitrine. Selon lui, Française perdrait définitivement ce match.Lucas ne lui a plus prêté d’attention, mais a regardé Françoise et lui a dit à voix basse : « Ne sois pas nerveuse plus tard et lance des attaques sur ton adversaire comme je te l’ai dit, je pense que tu seras capable de vaincre cet adversaire. »Françoise a hoché la tête avec un air déterminé, puis a dit d’un ton suppliant : « Maître Lucas, après le départ de mon entraîneur, je n’aurai plus d’entraîneur à partir de maintenant. Si je gagne ce match, je devrai participer à plusieurs tours de match, pouvez-vous venir et être mon entraîneur ? »Sans réfléchir, Lucas a répondu : « Pas de problème, je serai ton entraîneur à partir d
En entendant les mots de Lucas, Françoise l’a regardé avec une grande excitation et s’est écriée : « Maître Lucas ! »Après avoir dit cela, elle a repris avec un peu de honte : « Je suis désolée, je n’ai pas bien fait. »Lucas a souri pour la réconforter : « Ce n’est pas grave. Il est normal de ne pas pouvoir trouver la faiblesse de ton adversaire. Si tu choisis la bonne stratégie, tu seras capable de gagner. »Françoise a hoché la tête avec excitation et a dit avec révérence : « Je vois. Maître Lucas, merci pour vos enseignements. »À ce moment-là, l’entraîneur à côté de Françoise a regardé Lucas avec un visage mécontent et a dit : « Qui es-tu ? As-tu le droit d’éduquer Françoise ? Connais-tu le combat libre ? Françoise est maintenant au moment le plus critique. Si elle ne peut pas changer la situation au 3ème set, elle perdra probablement. Tu lui donnes encore de mauvaises instructions, n’essaies-tu pas délibérément de lui nuire ? »Lucas a dit avec indifférence : « Ce que je viens d
Lucas pouvait voir que les coups de poing de cette boxeuse thaïlandaise étaient rapides et qu’elle était très agile. De plus, elle était presque dix centimètres plus petite que Françoise, ce qui lui permettait de maintenir l’équilibre plus facilement. D’ailleurs, la Thaïlandaise jouait intelligemment, sachant que son avantage se situait dans la partie inférieure et que celui de Françoise se situait dans la partie supérieure, elle lançait donc de fréquentes attaques à la partie inférieure de Françoise.Comme son adversaire ne cessait d’attaquer, Françoise ne pouvait que se protéger contre ses attaques et elle jouait donc un peu dans le désordre au début.Dans le premier set, la Thaïlandaise a eu beaucoup plus de coups efficaces que Françoise, de sorte qu’après un set, elle avait une avance sur Françoise.Pendant la courte pause, l’entraîneur de Françoise s’est empressé de lui donner des instructions tactiques en disant à ses oreilles.Après une courte pause de quelques minutes, le matc
Dès que William a prononcé ces mots, Lucas a immédiatement vu Françoise.Aujourd’hui, Françoise portait un soutien-gorge de sport ainsi qu’une culotte de sport, si bien que son excellente silhouette était exposée.Ce à quoi Lucas ne s’attendait pas, c’était les incroyables lignes musculaires sur le corps de Françoise. Avec ses muscules, Françoise était vraiment indifférente des autres filles.De plus, la peau de Françoise était aussi blanche que la neige, et il n’y avait pas la moindre imperfection. Ainsi, avec sa silhouette aussi stupéfiante, elle était tout simplement parfaite au point d’être impeccable.Maintenant, les longs cheveux de Françoise étaient attachés à l’arrière de sa tête et elle portait une paire de gros gants de boxe rouges aux mains, ce qui la rendait très cool.Une jeune femme à la peau brune, voire un peu bronzée, marchait aux côtés de Françoise.William l’a présentée à Lucas en disant : « Maître Lucas, ma cousine joue contre cette joueuse thaïlandaise aujourd’hui,
Lucas a hoché la tête, puis est entré dans le gymnase avec Justus.Le gymnase de la Cité J était extrêmement grand et contenait non seulement une piscine, mais aussi des salles de compétition standard pour l’athlétisme, le badminton, le tennis de table et le basket-ball et la compétition de combat libre aurait lieu dans toutes les salles, à l’exception de la piscine.L’ensemble du site était divisé en plusieurs carrés, chacun doté d’une estrade pour le match de combat libre.Justus a pointé du doigt ces estrades et les a présentées à Lucas en disant : « Maître Lucas, il y a un total de 8 estrades et ces 8 estrades correspondent à 8 groupes. 8 groupes jouent leurs préliminaires respectivement sur leurs estrades et celui qui gagne à la fin est l’un des 8 meilleurs joueurs. »Sur ce, il a désigné à nouveau l’estrade 5 et a dit : « Maître Lucas, Françoise sera en concurrence avec son rival sur l’estrade 5 et son match commence dans 10 minutes, allons-y ! »Lucas a dit oui et s’est dirigé v
Après que Lucas et Luc ont quitté la maison, ce dernier a dit avec un sourire tout en conduisant : « J’ai attendu depuis si longtemps et il y a enfin une opportunité que l’université pour les personnes âgées organise un échange culturel avec notre association de calligraphie et de peinture. Ce n’est vraiment pas facile. »Lucas a souri et a demandé : « L’as-tu déjà dit à Méline ? »Luc a souri : « Pas encore. Je prévois lui faire une surprise. Après tout, je ne l’ai pas vue depuis quelques jours. »Lucas a hoché la tête en disant : « Mais tu devrais quand même être plus prudent pour ne pas laisser Sylvie savoir que Méline est retournée en France, et encore moins la laisser savoir que tu as eu un contact avec Méline. Sinon, tous les membres de notre famille n’auront pas une vie tranquille. »Lucas connaissait très bien le caractère de Sylvie. Il y avait deux tabous qu’on ne pouvait pas mentionner devant Sylvie, l’une était l’argent et l’autre était Méline.Même si Sylvie était en colèr
Françoise a dit timidement : « Je ne suis pas une petite fille... »Lucas a souri et a demandé : « Alors qu'est-ce que tu es ? »Françoise a dit : « Je... Je... Je suis une petite beauté et une petite mignonne ! »Après avoir dit cela, sans attendre la réponse de Lucas, elle a raccroché immédiatement le téléphone d'un air timide.Lucas a écouté le changement soudain en un bip de l'autre côté du téléphone, et ne pouvait s'empêcher de secouer la tête et de rire, en se disant que cette petite fille était vraiment très mignonne....Après avoir terminé son repas, Carina s’est rendue à son studio.Son studio, qui s’était récemment agrandi par rapport à sa taille précédente, qui avait recruté quelques employés et qui avait plusieurs projets de rénovation en cours, était pour ainsi dire en plein essor.Luc s’activait tous les jours à l'Association de calligraphie et de peinture.Aujourd'hui, après le petit-déjeuner, il était impatient de se rendre à l'Association de calligraphie et de peintur
Lucas a enfilé son tablier et s’est rendu à la cuisine pour préparer le repas.Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné à nouveau.Contre toute attente, l'identification de l'appelant indiquait qu'il s'agissait de Françoise, une jeune fille de la famille Raoult.Lucas se disait :« Cette petite fille n'a pas l'habitude de m'appeler souvent, aurait-elle encore des ennuis aujourd'hui ? »En pensant à cela, il s’est pressé alors de décrocher le téléphone et a demandé : « Françoise, qu'est-ce qui s’est passé ? »Françoise a dit timidement : « Monsieur Lefevre, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à propos de ma participation à la compétition internationale de combat pour étudiants ? »Lucas a souri et a dit : « Bien sûr que je m'en souviens, ne t'ai-je pas promis que je serais là pour t'encourager ? D'ailleurs, tu ne m'as pas dit exactement quand elle aura lieu. »Françoise a souri joyeusement et a dit : « Alors, Monsieur Lefevre, vous vous souvenez encore, je suis vra
Lorsque Lucas a entendu cela, il a dit : « Alors, nous le vendrons aussi à 150 euros la boîte, si notre médicament est plusieurs fois plus puissant et a le même prix que les médicaments d’autres pays, nous pouvons évincer directement ces médicaments japonais et coréens du même type ! »Cassandre a dit précipitamment : « Pas de problème, Monsieur Lefevre, alors je fournirai les médicaments aux distributeurs à 150 euros la boîte. »« Bien », a dit Lucas d’un ton sérieux, « essaie de produire autant que tu le peux, ne t’inquiète pas des ventes de ce médicament, nous devons maintenant vendre ce médicament non seulement aux utilisateurs nationaux, mais aussi au Japon, à la Corée et à l’Asie du Sud-Est. Nous devons non seulement les concurrencer dans notre propre pays, mais aussi les concurrencer dans leurs propres pays. Si nous voulons les vaincre, nous avons besoin de suffisamment de forces. »« Je vois, Monsieur Lefevre ! »Excité, Cassandre s’est exclamé : « Les médecines japonaises e