Chapitre 4

Chapitre 4

Mila willems 

Après ma phrase Arthur me foudroie du regard ,j'avoue que ses quelques minutes que je suis en train de passer ici me semblent interminable ,cet homme est vraiment désagréable, j'étais à deux doigts de pleurer mais je me retient .

Je crois fermement que si il le veux il peux remarcher facilement.

- Qui vous a donnez la parole de parler?lançait t'il avec agressivité.

- Ne lui parle pas ainsi Arthur elle est.

- Elle n'est rien maman,tu connais mon opinion concernant les femmes je les déteste ,je n'arrive pas à sentir leur présence ,elles ne sont que des arrivistes ,des diablesses et des profiteuses ,je ne veux pas d'une saleté chez moi crit t'il.

Mon dieu j'avais tellement envie de lui répondre mais pas respect pour sa mère je garde mon sang froid.

Il est vraiment un être sans cœur, comment je peux aimer un homme pareil ? me suis je demandé.

-Mon fils fais le pour moi ,à cause de moi je t'en prie accepte qu'elle t'aide pour l'amour que tu a pour moi dit sa mère.

Il avait les traits tendus,son regard montrait qu'il souffrait dans son fort intérieur .

- Je t'en supplie Arthur s'il te plaît fais le pour moi le suppliait sa mère.

Il me regardait avec tendresse ce qui me montrait qu'il aimait beaucoup sa mère.

- C'est bon maman mais que ce soit bien clair après ses trois mois de temps perdus passé je ne veux plus jamais l'a revoir ici car je sais que ses massages n'auront aucune efficacité ,ce sera toujours comme les autres fois et tu verras que j'ai raison dit t'il .

Je remue la tête dépassé par sa froideur et son mépris .

Donc comme ça il croit dur comme fer que ses trois mois d'exercices ne serviront à rien et beh je vais lui montré le contraire me suis dit intérieurement.

- C'est compris mon fils,bon je vais demander à partir lança sa mère.

Immédiatement je me mis à avoir peur ,j'ai peur de rester seule avec lui dans la même pièce.

- Ma puce n'oublie pas ce que je t'ai dit s'il te plaît,je n'ai pas gardé ton prénom c'est quoi déjà me demande t'elle.

- Je m'appelle Mila willems mais je préfère juste que vous m'appeliez la Kinésithérapeute d'Arthur ou de votre fils dis je .

Après cette phrase de ma part je sent le regard lourd d'Arthur sur moi.

Sa mère me sourit avec tendresse avant de me répondre.

-D'accord la Kinésithérapeute de mon fils.

Pour toute réponse je lui adresse un petit sourire.

Elle donne un bisou à son fils avant de partir..

Une fois seul Arthur pose un regard dur sur moi avant de dire.

- Prenez votre sac et débarrasser les lieux ordonnait t'il.

Je cligne des yeux sans rien comprendre..

- C'est ma mère qui vous a engagez non? actuellement elle n'est pas ici avec nous alors vous allez rentré chez vous et lui faire croire que vous faites votre travail jusqu'à ce que les trois mois s'épuisent continuait t'il.

Après sa phrase je remue la tête,non mais cet homme n'allait pas vraiment bien ma parole,mais comment peux t'elle pensé un seul instant que je ferai une chose pareille ?

- Non mais vous me prenez pour qui?je ne ferai pas un chose pareille non,je suis venue ici pour travailler et je ferai mon travail jusqu'à ce que les trois mois finissent et si vous refusez de coopérer je vais informer votre mère répliquait je.

Il me méprisa du regard ce qui ne me faisait ni chaud ni froid,qu'il le veuille ou pas il va devoir se laisser aider ,il va devoir accepter ma présence.

- Ma Kinésithérapeute je ferai de vos trois mois de travail ici un enfer vous oubliez compter sur moi rétorquait t'il le regard cruel .

Je vous mentirai si je vous dit que je n'ai pas peur seulement je ne réculérait devant rien .

- Que vous le vouliez ou pas Arthur vous allez remarcher déclarait je.

Il ne me répondit rien avant de tourner son fauteuil, j'étais sur le point de poussé ce dernier quand il me poussa brutalement dans la piscine .

- Bougez de là saleté..

Mon dieu une fois dans la piscine je commence par me laisser emporter par l'eau et la seule chose que j'entendit était une voix qui disait..

- Mon dieu mademoiselle.

Arthur Peeters 

- Mon dieu mademoiselle.

Quand j'entendis cette phrase je tourne mon fauteuil et je vis que la jeune femme était en train de se noyer,j'avoue que j'eu un peu peur .

Mon garde du corps entre dans la piscine et l'a faire sortir ,elle était inerte .

Elle était encore plus belle et ses cheveux, mon Dieu,mon garde du corps était sur le point de lui faire du bouche à bouche quand elle se mit à tousser .

Elle ouvrit brusquement les yeux et quand son regard se pose sur moi elle me regarde sans aucune expression sur le visage.

Je sais qu'après ça elle prendra la porte de sortir et ne reviendra plus.

- Demoiselle tout va bien ? questionnait mon garde du corps.

- Oui tout va bien,merci beaucoup,je ne savais pas nager raison pour laquelle lui répondit t'elle.

Je leur tourne le dos et continue mon chemin, heureusement que mon fauteuil était électronique.

Une fois dans la salle de massage je l'attendais patiemment tout en sachant qu'elle ne se présentera pas.

Un sourire s'afficha sur mes lèvres ,j'ai encore une fois marqué un point.

J'étais dans mes pensées quand j'entendis derrière moi..

- On peux commencer ?.

Je perds rapidement mon sourire et me tourne vers elle qui était debout devant moi dans toute sa splendeur.

Elle avait changé d'uniforme, malgré la haine que je ressentais envers elle je ne pouvais m'empêcher de l'a dévisagé.

Depuis deux ans je n'ai plus jamais été fasciné par une femme ainsi .

- Il s'en va être l'heure monsieur Arthur dit t'elle.

Je l'a foudroie du regard avant d'ordonner à mes hommes de m'aider à monter sur le lit.

Une fois fait elle se rapprochait de moi et fit sortir ses instruments.

Je n'arrive pas à croire que ma mère m'est pu imposé la présence de cette femme.

Elle a la chance que je l'aime sans quoi.

Quand elle s'installait sur le lit son parfum me titille les narines.

Quand elle me touche les jambes je ressentais quelques chose de différent.

Elle se mit à me masser les jambes et commençait à faire des mouvements musculaires avec.

Plus elle touchait mes jambes plus je ressentais des douleurs pas possible.

- Ici vous faire mal? questionnait t'elle ?

- Oui répondit je le visage douloureux .

Ses mains étaient tellement douces sur mes jambes,je ferme les yeux un instant tout en oubliant tout mes problèmes.

Deux heures plus tard.

- C'est bon pour aujourd'hui dit t'elle.

Je me lève et mes hommes m'installait dans mon fauteuil,au même moment la pluie se mit à battre .

Elle prends son sac et s'éloignait de moi ,la pluie battait à son plein .

Elle rejoignait la sortie et je me rapproche d'elle le regard haineux.

- Il est temps que vos rentriez dis je.

Elle se tourne vers moi tout en fronçant les sourcils.

- Allez vous en de chez moi ,votre travail est terminé .

- Mais il pleut et je n'ai même pas de parapluie avec moi dit t'elle.

Je l'a toise du regard ,je m'en fou complètement de ça elle entrera dans la pluie ,je lui ferai voir de toutes les couleurs ,je veux l'a décourager afin de ne plus l'a voir chez moi.

- Je m'en fou de ça sortez de chez moi immédiatement ordonnait je.

Ses yeux s'imbibaient de larmes automatiquement ce qui ne me faisait ni chaud ni froid.

Les femmes ne savent que verser des larmes de crocodile,elles ne savent que tromper et se foutre des gens ,je les connais assez bien.

- Monsieur.

- Assez ,sortez de chez moi immédiatement sinon j'appelle les gardes l'a menaçais je.

Elle ne me lançait plus aucun regard après ma phrase avant de rentrer sous la pluie.

C'était bien fait pour elle et j'espère ne plus l'a revoir demain chez moi.