Peu importe à quel point ma virilité pulse en ce moment, je n’aimerais quand même pas la baiser à mort.Je hoche silencieusement la tête, contrairement à mon comportement habituel.Tout à coup, je me souviens de quelque chose et m’arrête en chemin.« Ne va pas à la cérémonie de la lune de sang de ce
NATALIEIl plane au-dessus de moi, ses lèvres embrassent mon cou tandis qu’il va et vient en moi à un rythme bestial.Mes gémissements haletants emplissent tout l’espace de cette pièce méconnaissable. Il y a des miroirs partout et tout comme il peut voir chaque centimètre de moi, je peux maintenant
« Il peut aller se faire foutre. Ne décroche pas ses appels. Le mieux qu’on puisse faire pour l’instant est de... l’éviter parce que... » Commence Giana.« Parce qu’il est le fils de l’Alpha et l’héritier de notre meute. » Je finis sa phrase.Je sais qu’elle n’a pas tort. Mais ça me fait bouillir le
NATALIEJe cligne des yeux sous le choc. Mes joues s’enflamment.« Ne me fais pas peur en répétant sans cesse le nom de cet Alpha. Veux-tu vraiment que je me retrouve être sa compagne ? Veux-tu qu’il m’étrangle et me tue ? » Je marmonne et déglutis.Ma main atteint inconsciemment mon cou précieux. S
NATALIEÀ la fin, j’ai dû me rendre à la Villa de l’Alpha. Elle est décorée en blanc et or, dans un cadre royal.Je porte une robe dorée assortie au thème. C’est une robe à épaules dénudées qui révèle mes clavicules et mes bras. J’ai dû appliquer une couche supplémentaire d'anticernes pour cacher la
NATALIEElle a ensuite maudit les loups-garous pour qu’ils aient des compagnons : le couple devant être décidé par la Déesse de la Lune.Si quelqu’un décide de rompre le lien accordé par la Déesse de la Lune, il/elle éprouvera une telle douleur qui le/la rendra fou/folle et le/la compagnon/compagne
« Tu sais... les louves-garous qui ne se transforment pas. » Il commence mais s’arrête pour laisser ses expressions se transformer en pitié. « Elles doivent être envoyées à un homme non accouplé ou quelqu’un qui a perdu sa compagne. »Mon cœur tombe au fond de mon estomac. J’ouvre la bouche puis la
NATALIEJe sais que c’est lui.Ryker. Mon compagnon.Depuis combien de temps est-il là ? Qu’a-t-il vu ?Quand il me voit l’observer, il se penche vers la droite, sortant de l’obscurité. Son expression ennuyée me fait cligner des yeux plusieurs fois.À côté de lui se tient un autre visage familier. L