Landry le Terrible
— Envoie-nous trois sauts de champagne.
— Bien, monsieur.
Le serveur s’éclipse prestement, glissant entre les tables bondées du club comme un poisson dans l’eau. Depuis ma banquette en hauteur, j’ai une vue plongeante sur la piste de danse et les recoins faiblement éclairés de l’endroit. L’atmosphère est saturée de musique, de parfums lourds, de lumières tamisées et de corps en transe.
Et puis je la vois.
Elle.
Aussi belle que sensuelle.
Aussi envoûtante que mystérieuse.
Elle ne bouge pas comme les autres. Elle n’appartient pas à cet endroit. Elle flotte au milieu de la foule, comme un ange tombé par erreur dans un repaire de débauchés.
Sa robe blanche épouse chaque courbe de son corps avec une telle perfection qu’elle semble avoir été cousue sur elle. Les jeux de lumière caressent la soie et révèlent les formes tentatrices de ses hanches, le galbe de ses seins qui rebondissent légèrement à chacun de ses mouvements. Ses cheveux noirs, brillants, dansent autour de son visage, amplifiant l’impression irréelle qu’elle dégage.
Elle n’est pas d’ici. Elle n’est pas comme les autres. Elle est... pure. Trop pure. Et c’est justement cette pureté qui m’obsède.
Je déglutis difficilement. Mon cœur cogne. Mon souffle se coupe. Mon corps entier se tend comme si j’étais un prédateur en alerte, prêt à bondir. Mon regard s’accroche au sien un instant — ou est-ce elle qui cherche le mien ? Je sens qu’elle me sent. Même sans me voir. Une connexion invisible s’est tissée. Incompréhensible, mais terriblement puissante.
— Le Terrible ?
— Oui ?
Je tourne la tête, agacé d’avoir été arraché à ce moment étrange.
— Ça fait plusieurs fois que je t’appelle, mais t’étais totalement absorbé par quelqu’un...
Je ne réponds pas. Je lève la main.
— Les filles, servez-nous.
Elles remplissent les verres, l’alcool coule, les rires fusent. Mais moi, je n’y suis plus. Mon esprit est resté sur la piste de danse. Je tourne la tête. Elle n’y est plus. Je la cherche du regard. Je la retrouve au comptoir avec ses amies. Elle parle, mais elle regarde autour, méfiante. Intriguée. Peut-être troublée.
Je fais signe à un serveur et lui glisse quelques mots. Il hoche la tête et s’empresse d’aller les voir. Je suis chacun de ses gestes. Il leur parle. Elle hésite. Les autres veulent venir, mais elle... elle freine. Elle doute. C’est elle la plus lucide du groupe. Finalement, elles montent.
Lorsqu’elles arrivent à notre niveau, je me lève, dominant d’une tête la plupart des gens présents. Je ne quitte pas ses yeux du regard.
— Albert, tu t’occupes d’elles. Moi, je suis... occupé ailleurs.
Il comprend immédiatement.
Je m’approche des jeunes femmes. Elles sont jolies, souriantes, légèrement ivres. Je me penche légèrement :
— Excusez-moi, mes belles. Vous allez tenir compagnie à mon ami ici présent. Il sera ravi de faire votre connaissance. Quant à votre amie... j’aimerais lui parler, en privé.
Elles se regardent, surprises. Elle surtout. Ses yeux s’écarquillent. Je tends la main, sans forcer. Elle hésite. Puis, lentement, elle la pose dans la mienne.
Et je ressens ce frisson, ce courant électrique. C’est confirmé : elle est différente.
---
Silvia
Nous sommes dans ce club depuis à peine une heure, et je sens déjà que j’ai trop bu. Johanna me pousse à boire, à danser, à me lâcher... Elle dit que je réfléchis trop. Peut-être a-t-elle raison. Alors j’ai bu. Et j’ai dansé. Beaucoup dansé.
Mais à un moment, j’ai senti quelque chose. Un regard. Un souffle. Une tension. Comme si quelqu’un m’observait, intensément. Je me suis retournée, mais je n’ai rien vu. Juste des gens. Des ombres. Des sourires. Rien de précis.
Puis le serveur est venu. Il nous a invités à monter à l’étage. Je n’aime pas ça. J’ai un mauvais pressentiment, mais les autres sont surexcitées. « C’est le coin VIP ! » crie Johanna. Je n’ai pas eu le choix.
Plus on monte, plus mon cœur s’emballe. J’ai la tête légère. Je me sens ailleurs.
Et puis je le vois.
Grand. Puissant. Inoubliable. Mon regard glisse lentement sur lui, comme aimanté. Ses chaussures élégantes. Ses jambes longues. Son torse large sous sa chemise sombre. Et enfin, son visage...
Dieu du ciel. Quel visage. Ses yeux me frappent de plein fouet. On reste là, figés, à se regarder. J’ai l’impression que le monde s’arrête. Son regard est à la fois doux et dangereux, brûlant et glacial. Je ne sais pas s’il veut m’aimer ou me détruire.
Il s’approche. Me tend la main. Ma gorge se serre. Mon cœur rate un battement. Je la prends.
— Suivez-moi. Vous êtes magnifique.
Sa voix est grave, suave, déroutante. Son toucher me foudroie. Je sens une chaleur me traverser, comme si chaque cellule de mon corps réagissait à lui.
Il nous installe à une autre table, un peu à l’écart. Une bouteille arrive aussitôt. Ma toute première fois avec du vrai champagne. Il me sert. Nos verres se touchent. Nos doigts aussi.
Je bois. Le goût est étrange, pétillant, presque amer. Mais c’est enivrant. Comme lui.
On reste là, en silence. Pas besoin de mots. Il me regarde. Je le regarde. C’est comme un rêve.
Puis… plus rien.
---
Je me réveille en sursaut. Ma tête me fait mal. La lumière du jour m’agresse. Où suis-je ? Ce n’est pas ma chambre. Ce n’est même pas mon quartier. Mon cœur s’emballe.
Je me redresse lentement, et les souvenirs affluent par vagues. Les flashs de la veille me reviennent.
La musique. Le champagne. Ses yeux. Ses mains. Son souffle sur ma peau. Et puis...
Non.
Non...
On a couché ensemble.
Je lâche un cri étouffé, mes mains se posent sur ma bouche.
J’ai perdu ma virginité. Avec un inconnu. Dans un endroit que je ne connais même pas.
Je panique. Et ma grand-mère ? Et Johanna ? Elles doivent être folles d’inquiétude ! Je me lève, cherche mon téléphone. Il est posé sur une petite table. À côté, un mot griffonné : "Je reviens vite. Tu étais parfaite."
Mon cœur se serre. J’ai envie de pleurer. De hurler. Mais
au fond de moi, je sens quelque chose d’étrange...
Je ne me sens pas salie.
Je me sens... marquée.
Silvia Je vais prendre une douche rapide avant de rentrer . J'espère qu'il ne viendra pas me trouver ici . Vingt minutes plus tard , j'étais devant , cherchant un taxi . Je commence à marcher petit en attendant qu'un taxi vienne passer . J'arrive à la maison une heure plus tard . Ma grand-mère m'attend sur la véranda . - Alors ma chérie , J'espère tu as passé une bonne nuit ? - Bonjour Magui , oui , j'ai passé une bonne nuit . As-tu préparé ? Je meurs de faim . - Je vois que la nuit a été torride .- Grand-mère ! Elle est vraiment sans gêne . Je suis toute rouge . Je monte me changer avant de prendre place pour le régaler de ses délicieux plats . - Raconte-moi , est-il beau ? - Grand-mère ! Je ne veux pas parler de ça avec toi . J'avais tellement bu ! Mais , oui , il est magnifique . - Tant mieux , tu ne mérites rien de moins . Ta copine est venue te chercher , elle était inquiète pour toi . - Je vais la voir , je comprends pas ce qui s'est passé . À toute à l'heure Magui .
Silvia Je vais prendre une douche rapide avant de rentrer . J'espère qu'il ne viendra pas me trouver ici . Vingt minutes plus tard , j'étais devant , cherchant un taxi . Je commence à marcher petit en attendant qu'un taxi vienne passer . J'arrive à la maison une heure plus tard . Ma grand-mère m'attend sur la véranda . - Alors ma chérie , J'espère tu as passé une bonne nuit ? - Bonjour Magui , oui , j'ai passé une bonne nuit . As-tu préparé ? Je meurs de faim . - Je vois que la nuit a été torride .- Grand-mère ! Elle est vraiment sans gêne . Je suis toute rouge . Je monte me changer avant de prendre place pour le régaler de ses délicieux plats . - Raconte-moi , est-il beau ? - Grand-mère ! Je ne veux pas parler de ça avec toi . J'avais tellement bu ! Mais , oui , il est magnifique . - Tant mieux , tu ne mérites rien de moins . Ta copine est venue te chercher , elle était inquiète pour toi . - Je vais la voir , je comprends pas ce qui s'est passé . À toute à l'heure Magui .
Silvia - Tu es....tu es la...la chasseuse ! La chasseuse ! Ho mon dieu ne me tue pas , s'il te plaît ne me tue pas . - Et toi , tu es une catwoman ! Tu es magnifique ! Elle s'était déjà éloignée de moi , elle est à un mètre de moi . - Pourquoi penses-tu que je vais te faire du mal ? Que m'as-tu fait pour que je te tue ? Et comment connais-tu la chasseuse ? - Tu jure que tu ne me feras pas de mal ? Tu me le jure ? - Je le jure , tu es mon amie , comment veux-tu que je te fasse du mal ? Elle se rapproche peu à peu de moi . - Comment j'ai pu passer toutes ces années à tes côtés sans savoir qui tu étais ? - Et toi ? Comment as-tu pu pendant toutes ces années me cacher une chose aussi spéciale ? - Tu es la chasseuse ! La grande chasseuse dont les légendes ont parlé depuis des générations . - Tu connais mon histoire ? - Ho , qui ne la connait pas ? Les grands-parents commencent à raconter cette histoire à leurs petits-enfants depuis l'enfance . Tout notre communauté connait ton
Silvia— Merci beaucoup, monsieur.Il nous fait un petit signe de tête, l'air pressé, puis nous conduit jusqu’à deux petits bureaux. Ils sont simples, fonctionnels, installés côte à côte, et donnent directement face à un bureau plus imposant, celui du PDG.— Je vous demande de nettoyer chaque matin le bureau du PDG avant son arrivée, déclare-t-il avec un ton sec mais sans méchanceté. Ensuite, vous irez lui chercher son café au quatrième étage. C’est là que se trouve la cantine.Je hoche la tête, attentive.— Je vais vous laisser entre les mains de ma secrétaire. Elle vous expliquera tout dans les moindres détails. Elle restera avec vous pendant deux jours, pas plus.— Merci beaucoup, monsieur, pour votre sollicitude.— Bien. Au travail maintenant.Il s’éloigne sans attendre de réponse. Nous restons seules avec une femme élégante, au chignon strict et au regard sévère.— Suivez-moi, dit-elle en nous désignant un couloir du menton. Je me présente : Madame Rachelle Montélimar. Comme l’a
SilviaIl fonce sur moi comme un prédateur qui ne veut pas laisser fuir sa proie. Il claque violemment la porte derrière lui, et me voilà coincée entre le bois massif et la chaleur de son corps. Mon souffle se bloque. Il est grand, trop grand, et son ombre m’écrase. Il se penche vers moi, ses yeux fixés dans les miens avec une intensité cruelle, presque fascinée.— Et que ferais-tu si je t’embrassais encore ? murmure-t-il d’une voix grave.Je reste sans réponse. Je n’y ai pas pensé. Je n’ai pas eu le temps d’y penser.Sa bouche s’approche de mon oreille, et sans prévenir, il en mordille doucement le lobe. Une décharge électrique me traverse la colonne. Mon corps me trahit.— Quelle déception… Une si belle femme qui ne se respecte pas. Si tu ne te respectes pas, pourquoi les autres le feraient ?— Espèce de malotru !Ma main se lève instinctivement pour le gifler, mais il l’attrape en plein vol, puis la seconde. En une seconde, mes poignets se retrouvent au-dessus de ma tête, plaqués c
Silvia - Venez dans mon bureau . - Non , monsieur , je... nous allons partir . - Si vous voulez que je vous envoie devant les tribunaux pour non-respect du contrat allez-y . - Quoi ? Mais ...- Avez-vous signé des documents ce matin avant de commencer ? - Heuu.... Oui .- Très bien , venez dans mon bureau . Johanna et moi , nous nous suivons pour pénétrer dans son bureau . Mais , il nous arrête : - Elle Seulement .Il referme la porte au net de Johanna . Puis , il se tourne vers moi , nous sommes seuls dans le bureau lui et moi . Je suis encore coincée entre lui et la porte . Je n'ai pas de moyen de fuir . Il se penche vers moi , je tourne ma tête de l'autre côté , pour ne pas le regarder dans les yeux . Il attrape mon visage pour le tourner vers lui . Mais , je résiste , il se penche à mon oreille et il me murmure :- De quoi as-tu peur ? Je ne réponds pas . Sa langue me lèche la lobe , me faisant frissonner .Il émet un petit rire .- As-tu peur de succomber sous mon charme
Silvia Il est tellement énorme que je me demande comment j'ai pu marcher ce jour-là pour arriver chez moi , il a dû me déchirer en deux . Il continue de se caresser , il s'approche plus de moi , je ne dis toujours pas un mot . Je regarde cet homme des cavernes qui me surplombe de sa taille , je suis si minuscule à côté de lui , comment avons-nous pu faire l'amour sans que je n'en sorte meurtrie ? Sa queue est à quelques centimètres de ma chatte qui bave d'envie de le goûter . - Tu ne dis rien ? As-tu perdu ta langue ?Je suis sûr que tu meurs d'envie de la goûter , mais , si tu ne fais d'efforts pour la mériter , tu n'auras rien . Après avoir dit cette phrase , il m'embrasse encore , me serrant contre lui , me collant à lui , ma poitrine se presse contre son torse bien dur , sa queue qui palpite entre mes cuisses , me rend dingue . Ses mains se posent sur mes fesses , il les presse et il se frotte à moi , j'ai vraiment envie de lui , oui , je le veux ! - Que veux-tu ? Je t'écout
Silvia Je reste couchée sur lui , il me sert contre lui , je ressemble à une enfant que sa mère dorlote . Il me caresse le dos , il est toujours en moi , il me demande : - Tu vas bien ? - Oui .- Regarde-moi , tu n'as pas à avoir honte . J'ai adoré ce moment avec toi , et je ne compte pas m'arrêter maintenant que je t'ai goûté . Je le regarde longuement , il en fait de même . - Tu me plaît beaucoup . Et j'aime être en toi , j'aime te baiser , tu es magnifique . - Que veux-tu dire par là ? - Que nous allons faire un bout de chemin ensemble . Il y a une telle alchimie entre nous , c'est indéniable . Je ne veux pas m'en passer . Je veux te goûter encore et encore . Je ne dis rien , je n'ai pas envie de savoir ce qui se passera après . Pour le mot , il faut que j'enlève cette honte que je ressens d'avoir autant aimer coucher avec lui . Je ne sais même pas combien de temps nous sommes restés dans ce bureau , et maintenant , je demande ce que les autres vont penser de moi . Je suis
Silvia - Tu vas rester ici et m'attendre . Je ne vais pas tarder . - Non , je veux vous accompagner . - Non , c'est trop dangereux .- Mais , tu seras avec moi , mais seule ici j'ai peur , je veux être avec toi , je ne connais personne ici . Il hésite un instant avant de me dire : - Très bien , mais tu restes près de moi , ne t'éloignes surtout pas . - J'ai compris , je ne vais pas m'éloigner de toi . - Ok , Allons-y . Mais avant , tu dois changer de chaussures . Suis-moi . Je le suis et il m'amène dans une maison où se trouvent des domestiques : - Nkita , trouvez-moi une basket de pointure trente-neuf . - Je vais en chercher monsieur . Elle court pour sortir de la pièce et revient quelques minutes plus tard avec les chaussures en question . Je change de chaussure et nous partons , avec lui , nous sommes au nombre de trois . Nous marchons pour aller dans la forêt , nous marchons pendant quarante cinq minutes , toujours rien alors je lui demande : - Qui cherchons-nous ?
Silvia Après avoir mangé , je suis allée dans ma chambre pour relire l'un des manuscrits qu'on avait rapporté de notre petit voyage . Le lendemain , la voiture de mon patron est venue nous chercher .- Votre patron est vraiment très gentil .Saluez-le de ma part . - À ce soir Magui . Nous montons et en moins de trente minutes , nous sommes arrivés au travail .Avant d'aller dans le bureau du Boss , je me suis arrêtée à la cafétéria pour prendre son café . J'ouvre son bureau et il est là aussi imposant que d'habitude .- Bonjour monsieur . Je referme la porte , il se tourne vers moi , - Tu viens me saluer comme il faut ? Je m'avance vers lui , je suis à quelques centimètres de lui mais , il ne fait pas un geste vers moi , je suis gênée , je me soulève sur mes chevilles pour lui faire une bise sur la joue . Je recule mais il m'attrape par la taille et il fond sur ma bouche . Son baisé est enivrant , il est rageux comme s'il voulait me faire passer un message . Il me place sur sa
Silvia Je marche doucement car mon ventre me fatigue encore un . Quand nous sortons de l'ascenseur il se tourne vers moi et il remarque que je marche tout doucement . Alors il se penche vers moi et il me soulève . Le temps est suspendu , il n'y même plus une mouche qui vole , tous les employés nous regardent , d'autres on la bouche bien ouverte , d'autres ont leur café qui verse par terre : ils sont étonnés de voir leur patron si désagréable être aussi gentil avec une femme de plus une stagiaire . Il marche tranquillement comme si ça lui était égal ce que les gens pouvaient bien penser . - Déposez-moi , je ne veux pas de commérage à mon sujet . - Non , tu ne te sens pas bien . Alors , je fais ce que j'ai à faire . - Mais...- Tais-toi .Il sort avec moi et son chauffeur nous attend , il ouvre la portière et il entre avec moi dans le véhicule . Johanna monte devant . Elle fait entrer l'emplacement de notre maison dans le GPS . Le chauffeur démarre . Il me fait coucher sur lui .-
Silvia - Heu... je crois que je viens de finir de manger tout ce qu'il y a dans les plateaux . J'espère que vous n'aviez pas l'intention de manger aussi . Il me regarde avec un sourire , avant de me répondre : - Non , ça va , je me contenterai du café . - Je suis désolée , je ne sais pas comment toute la nourriture a pu disparaître comme ça . Vous êtes sûr que nous sommes seuls ici ? Quelque chose ou quelqu'un a pu venir voler sur mon plateau quand , je ne regardais pas . - Tu es vraiment sérieuse là ? Et qui a pu voler sur les plateaux ? - Je ne sais pas , je ne compte rien , j'ai pris seulement un coup et quand j'ai regardé , les plateaux étaient déjà vides . Il éclate de rire . - Tu n'es pas croyable , dis-moi plutôt que tu mourrais de faim ce n'est pas plus pratique ? - Sauf que ce n'est pas possible que j'ai pu manger tout ce que ces plateaux contenaient . - N'en fait pas un drame , je ne te juge pas , tout le monde peut manger plus ou moins beaucoup , surtout que tu
Silvia Si je n'étais pas dans cette pièce quelque instants plus tôt , j'aurais dit qu'il s'agit d'une personne . Il est complètement différent de cet homme fougueux , passionné , qui gémissant contre mon cou . Je revois encore son corps contre le mien , ses mains sur mon corps et sa queue en moi ....- Silvia , Silvia....- Humm...? - Vous étiez dans la lune , vous pensiez à quoi ? - Heuu... rien monsieur .Il se déplace pour se tenir derrière moi , - Vous pouvez nous faire partager votre réflexion , si ce n'est pas trop indiscret . - Heuu...Je suis morte de honte et toute rouge , il sait très bien à quoi je pensais , j'en suis sûr . - Les documents que nous venons d'amener , ils parlent de quoi ? - Tu t'en sors bien , tu as su détourner notre attention ! Très bien . Alors au travail . Après notre réunion , son chauffeur est venu m'apporter la pilule en question , je me suis pressée de la prendre . Et je me suis sentie mal des minutes plus tard . Johanna vient rapidement me
Silvia Je reste couchée sur lui , il me sert contre lui , je ressemble à une enfant que sa mère dorlote . Il me caresse le dos , il est toujours en moi , il me demande : - Tu vas bien ? - Oui .- Regarde-moi , tu n'as pas à avoir honte . J'ai adoré ce moment avec toi , et je ne compte pas m'arrêter maintenant que je t'ai goûté . Je le regarde longuement , il en fait de même . - Tu me plaît beaucoup . Et j'aime être en toi , j'aime te baiser , tu es magnifique . - Que veux-tu dire par là ? - Que nous allons faire un bout de chemin ensemble . Il y a une telle alchimie entre nous , c'est indéniable . Je ne veux pas m'en passer . Je veux te goûter encore et encore . Je ne dis rien , je n'ai pas envie de savoir ce qui se passera après . Pour le mot , il faut que j'enlève cette honte que je ressens d'avoir autant aimer coucher avec lui . Je ne sais même pas combien de temps nous sommes restés dans ce bureau , et maintenant , je demande ce que les autres vont penser de moi . Je suis
Silvia Il est tellement énorme que je me demande comment j'ai pu marcher ce jour-là pour arriver chez moi , il a dû me déchirer en deux . Il continue de se caresser , il s'approche plus de moi , je ne dis toujours pas un mot . Je regarde cet homme des cavernes qui me surplombe de sa taille , je suis si minuscule à côté de lui , comment avons-nous pu faire l'amour sans que je n'en sorte meurtrie ? Sa queue est à quelques centimètres de ma chatte qui bave d'envie de le goûter . - Tu ne dis rien ? As-tu perdu ta langue ?Je suis sûr que tu meurs d'envie de la goûter , mais , si tu ne fais d'efforts pour la mériter , tu n'auras rien . Après avoir dit cette phrase , il m'embrasse encore , me serrant contre lui , me collant à lui , ma poitrine se presse contre son torse bien dur , sa queue qui palpite entre mes cuisses , me rend dingue . Ses mains se posent sur mes fesses , il les presse et il se frotte à moi , j'ai vraiment envie de lui , oui , je le veux ! - Que veux-tu ? Je t'écout
Silvia - Venez dans mon bureau . - Non , monsieur , je... nous allons partir . - Si vous voulez que je vous envoie devant les tribunaux pour non-respect du contrat allez-y . - Quoi ? Mais ...- Avez-vous signé des documents ce matin avant de commencer ? - Heuu.... Oui .- Très bien , venez dans mon bureau . Johanna et moi , nous nous suivons pour pénétrer dans son bureau . Mais , il nous arrête : - Elle Seulement .Il referme la porte au net de Johanna . Puis , il se tourne vers moi , nous sommes seuls dans le bureau lui et moi . Je suis encore coincée entre lui et la porte . Je n'ai pas de moyen de fuir . Il se penche vers moi , je tourne ma tête de l'autre côté , pour ne pas le regarder dans les yeux . Il attrape mon visage pour le tourner vers lui . Mais , je résiste , il se penche à mon oreille et il me murmure :- De quoi as-tu peur ? Je ne réponds pas . Sa langue me lèche la lobe , me faisant frissonner .Il émet un petit rire .- As-tu peur de succomber sous mon charme
SilviaIl fonce sur moi comme un prédateur qui ne veut pas laisser fuir sa proie. Il claque violemment la porte derrière lui, et me voilà coincée entre le bois massif et la chaleur de son corps. Mon souffle se bloque. Il est grand, trop grand, et son ombre m’écrase. Il se penche vers moi, ses yeux fixés dans les miens avec une intensité cruelle, presque fascinée.— Et que ferais-tu si je t’embrassais encore ? murmure-t-il d’une voix grave.Je reste sans réponse. Je n’y ai pas pensé. Je n’ai pas eu le temps d’y penser.Sa bouche s’approche de mon oreille, et sans prévenir, il en mordille doucement le lobe. Une décharge électrique me traverse la colonne. Mon corps me trahit.— Quelle déception… Une si belle femme qui ne se respecte pas. Si tu ne te respectes pas, pourquoi les autres le feraient ?— Espèce de malotru !Ma main se lève instinctivement pour le gifler, mais il l’attrape en plein vol, puis la seconde. En une seconde, mes poignets se retrouvent au-dessus de ma tête, plaqués c