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Chapitre 295 Tu ne peux pas séparer les canards mandarins à coups de bâton

Roland a inconsciemment fait un pas en arrière, il était encore trop peureux.

Il s'est forcé pour l’affronter. «Elle ... Elle est volontaire, mon deuxième oncle, tu ne peux pas séparer les canards mandarins à coups de bâton ... Ah ... »

Tout le corps de Roland a été soulevé et appuyé contre le mur, la peau de sa tête a senti des picotements et son dos a eu une douleur mortelle.

En tant qu'explorateur, il était bien plus apte physiquement que des gens ordinaires, mais ici, pour Zeus, il était simplement un faible !

Sa dignité a été foulée aux pieds par Zeus !

Le regard de Zeus était froid alors qu'il l’a fixé, sans aucune considération pour les liens de la famille, et ses actions étaient nettes et décisives, sans pitié. «Roland, si tu veux mourir, dis-le directement, je t'enverrai en route ... »

Jacques s'est précipité : « M. Fu, on peut discuter doucement et correctement, le jeune maître Fu ne faisait que plaisanter, comment Mlle Su a-t-elle pu l’apprécier ? »

Chapitre verrouillé
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