« Nathalie, as-tu entendu André parler d'une personne appelée Chloé ? » Iris a demandé. En effet, elle avait aperçu cette femme dans le Capital Orient depuis longtemps, et elle avait fait une extrême attention à elle. En fait, Chloé, issue du village défavorable dans la montagne, après être devenue la subordonnée d'André, en un clin d'œil, était une femme riche ayant plus d'une dizaine de milliards d'euros en seulement quelques mois. À ce moment-là, elle était la directrice générale du Capital Orient, dans cette entreprise, seul André était supérieur à elle. Iris faisait toujours attention aux femmes près d'André, de peur que certaines, qui étaient plus intelligentes et belles que sa fille, ne deviennent ses copines. À ses yeux, à ce moment-là, André était un gendre idéal avec sa richesse, son apparence et ses bonnes manières. « Non, pas du tout. Qu'est-ce qu'il y a ? » Nathalie a demandé d'un ton curieux. « Nathalie, tu es trop naïve ! Pourquoi tu ne t'intéress
Après qu'Iris et Roland étaient sortis, Nathalie a dit d'un ton désolé : « André, ne sois pas inquiet. Ma mère est toujours comme cela, elle est trop curieuse. » « Chérie, je ne suis pas du tout inquiet, je sais que Tante Iris est gentille avec moi. » André a dit en souriant, en effet, il ne savait pas encore ce qu’Iris pensait, et pensait que peut-être elle pensait qu'il y avait des malentendus entre Nathalie et lui. À vrai dire, ayant une copine tellement douce comme Nathalie, André était très heureux. « André, veux-tu rester dans la capitale pendant combien de jours ? » Elle a demandé. « Peut-être... un ou deux jours. » Il a répondu. « Pourquoi dois-tu quitter tellement vite ? » Elle a demandé d'un ton déçu, en effet, elle voulait rester avec lui pendant ces jours-là, mais à sa surprise, il devait partir si tôt. « Pardon, chérie, mais je dois rentrer à cause d'une réunion des camarades, je ne dois pas être absent. En plus, je dois rendre des visites à mes tantes,
« Mais nous ne pouvons pas nous laisser faire ! Peut-être que Chloé est sans doute sa copine. » Iris a dit d'un ton fâché. « Ne dis pas cela, peux-tu le prouver ? André ne peut-il pas avoir des collègues et des subordonnées ? En tant que président du Capital Orient, pourquoi André ne peut-il pas faire des affaires avec la directrice générale et ses employés à l'étranger ? » Roland a dit. « Mais... » Elle a hésité. « Ne t'en fais pas, allons-y. Faisons des courses ensemble. » Il a dit. Après le dîner, toute la famille restait dans le salon. À ce moment-là, Iris s'empêchait enfin de poser des questions à André. « Tante Iris, Oncle Roland, demain, je veux rentrer dans la Province de Sud, parce que je dois participer à une réunion des camarades de lycée dans quelques jours. Je veux partir avec Nathalie, nous sommes aussi des camarades de lycée, en plus, nous sommes disponibles. » À cet instant, André a demandé à Iris et Roland. « Allez-y, je veux aussi que Nathalie
Le lendemain matin, André et Nathalie sont partis pour la Garnière dans la Province du Sud en avion, ensuite, ils sont rentrés dans le Château international du Sud. Bien qu'ils ne soient pas rentrés ici depuis longtemps, chaque semaine, des domestiques venaient pour faire des nettoyages, ainsi, les chambres restaient propres. Dans la voiture, André a téléphoné à l'Hôtel Feuille d'or pour envoyer le déjeuner dans le Château international du Sud, en effet, il ne voulait plus être fatigué pour cela, et voulait faire appel aux autres. Une fois entré dans le salon du Château international du Sud, il a dit à Nathalie : « Chérie, si tu es fatiguée, repose-toi un peu, je te réveillerai à l'heure du déjeuner. » « Non, je ne suis pas fatiguée. André, c'est ta résidence ? Elle est très belle. » Nathalie a promené ses yeux dans tous les coins du château et s'émerveillait de cela. « Bien sûr, auparavant, j'habitais ici. Si tu l'aimes, nous pourrons aussi y habiter. Si tu veux ha
En effet, à ce moment-là, Marie et Julie étaient aussi reconnues dans la Ville de Privet, elles se sentaient tout à fait honorables, et tout cela était grâce à André. En fait, ce qu'elles avaient fait, c'était seulement de le laisser habiter chez elles quand il avait rencontré de grands problèmes et quand il avait mené une vie pénible. À leurs yeux, elles le trouvaient normal car elles étaient des membres de sa famille, alors, elles devaient lui donner un coup de main. Ensuite, il les avait beaucoup remerciées. En effet, André pensait aussi que comme ils étaient dans une famille, il devait les aider quand il avait fait fortune. Toutefois, Jacques, Benoît et un autre oncle, à cause des remboursements de ses parents, ils avaient torturé André. Jusqu'à ce moment-là, André ne leur a donné aucun profit. En effet, quand Marie et Julie étaient rentrées dans la Ville de Privet, elles avaient été entourées par les regards envieux de ces personnes, et ces dernières, les avaient suppl
Le lendemain, André et Nathalie ont rendu une visite chez Marie et Julie. Ensuite, elle a aussi reçu quatre cadeaux, c'était les mœurs de la Ville de Privet : quand un jeune homme rentrait avec sa copine, les membres de sa famille devaient leur donner des cadeaux. À ce moment-là, Nathalie était tout à fait heureuse, en effet, ce n'était pas parce que ces cadeaux étaient luxueux et coûteux, mais elle était contente car la famille d'André l'aimait, c'était la chose la plus importante pour elle. Ensuite, André voulait rentrer dans la Ville de Privet avec elle. Bien que la réunion des camarades de lycée commence trois jours après, ils voulaient encore voir leur école ou se promener dans la Ville de Privet, qui était remplie par leurs meilleurs souvenirs. Ayant su qu'il allait rentrer dans la Ville de Privet, Marie et Julie voulaient aussi y rentrer avec lui. Bien qu'elles travaillent à Garnière, la Ville de Privet restait toujours leur pays-natal, et beaucoup de membres de leur
« Monsieur Leschamps, vous me connaissez encore ? Je suis André, je suis venu pour vous voir. » À ces mots, André est entré dans la chambre et a posé deux grands sacs sur la table. Nathalie le suivait. Le vieil homme, Yves Leschamps, le toisait et le trouvait familier. Ensuite, après avoir un peu réfléchi, il s'est souvenu de ce jeune homme. Il était justement André, ancien élève du Premier Lycée de la Ville de Privet. La raison pour laquelle il le trouvait familier, c'était qu'il avait souvent fait les livraisons à domicile pendant les temps libres, alors, Yves l'avait connu. En plus, il était toujours amical envers André, et ce dernier avait forcé son admiration. Quand les autres camarades avaient appris ou joué, André avait toujours travaillé à temps partiel, mais ses performances scolaires étaient tout à fait brillantes, il était toujours le meilleur élève dans l'école. Trois années avant, André avait passé le Bac et était devenu un étudiant de l'Université du Sud,
Quand André et Nathalie sont entrés dans l'école, Yves s'est avancé vers la table et voulait poser ces cadeaux sur l'étagère, ensuite, il a jeté un coup d'œil dans le sac. Tout d'un coup, il était stupéfait et a ouvert tous les deux sacs. Il les regardait avec stupéfaction. Un sac était plein de Marlboro, grande marque de cigarette. En effet, il fumait toujours, mais il n'avait jamais fumé Marlboro. Dans un autre sac, il y avait quelques bouteilles de Romanee-Conti, qui étaient tout à fait chères, alors, tous ces cadeaux coûtaient plus de quelques millions d'euros. À la vue de ces cadeaux, Yves était tout à fait bouleversé. Après seulement quelques années, André pouvait lui donner des cadeaux tellement chers, de plus, il avait trouvé une fille tellement brillante, Nathalie, comme copine. « André est devenu enfin un jeune homme réussi... » Il murmurait. En effet, bien qu'il pensait toujours que ce jeune homme réussirait, à sa grande surprise, il avait fait fortune ra