Chapitre 268

Mais Manon n'a plus fait attention à lui.

Manon a fait le tour et a parlé à deux autres investisseurs un peu plus jeunes et encore en forme, mais aucun d'entre eux n'a réussi, disant que la société n'avait pas l'intention d'investir dans une si grosse production.

Après tout, l'investissement prévu pour le film était de 300 à 500 millions, ce qui représentait de l'argent réel et que personne ne pouvait se permettre de dépenser.

Certaines entreprises avaient l'air d'avoir une capitalisation boursière d'un milliard ou plus, mais si on leur a demandé de retirer quelques centaines de millions sans affecter les opérations normales de l'entreprise, peu d'entreprises pouvaient vraiment le faire.

« Comment ça va, Manon ? »a demandé une femme en s'approchant.

C'était l'agent de Manon, Cécile Gendron.

La même personne qui avait vu Manon passer de l'école, étape par étape, jusqu'à ce qu'elle en soit là aujourd'hui.

Manon a secoué la tête et a dit : « Pas beaucoup de progrès, Cécile, et de ton côté