Chapitre 152

Chanan et Maël sont devenus plus cruels à ce moment-là, comme ils l’avaient fait sur le champ de guerre. Immédiatement, Jacques, sa femme, sa fille et son fils ont senti froids. Ils ont regardé les deux hommes avec peur. Ils étaient tous des personnes ordinaires. C’était naturel qu’ils n’osent pas du tout bouger devant Chanan et Maël qui avaient participé à la guerre.

Jacques s’est assis sur le canapé d’un air déçu et a dit, « André, qu’est-ce que tu veux faire ? »

« Je ne veux que reprendre ce qui m’appartient. Donne-moi l’indemnité de mes parents. Quant à la maison, je ne la veux pas. Après tout, j’ai habité chez vous pendant plusieurs années, et vous ne m’avez pas fait mourir ! À cette époque-là, si vous m’aviez frappé plus violemment, je serais mort très tôt ! Je n’aurais pas pu vivre jusqu’à présent. » André a dit avec ironie.

« Nous n’avons pas d’argent. Tu peux nous tuer ! Je ne crois pas que tu oseras faire cela. », a crié Sandrine. Elle voulait profiter de l’indemnité pour a