Chapitre 258

Lorsqu'il a vu son affaire qui pourrait être perdue, le patron s'est empressé de l'arrêter : « Attendez une minute, ma belle, si vous admirez ce qu'il sculpte, cela signifie que vous le tenez en estime, c’est moi qui décide, donc il le fera, et je vous assure un travail bien fait et vous serez satisfaite. »

« Monsieur, je… », le jeune a parlé à son patron.

« Tais-toi ! Ne viens pas si tu ne vas pas le faire ! »

Sonia a payé l’acompte et pris la facture, elle s'est approchée de la sculpture du jeune homme, elle a regardé, et puis elle s'est penchée, elle a ramassé un débris, et elle a dit : « Monsieur, je peux prendre ça avec moi ? »

« Oui, bien sûr ! »

Un petit débris, et le propriétaire ne l’a pas pris au sérieux, donc il a répondu indifféremment.

Non loin de la boutique, de petits bruits de pas se sont fait entendre derrière elle et Sonia s'est arrêtée sans se retourner, les bruits de pas se sont arrêtés en même temps.

Elle a souri légèrement et avancé, et elle a tourné un coin avec