Je me sens tellement bête ! Je suis rouge de honte, quand je pense que j'ai vus ces parties intimes ! Je lui sers la main. Et s'installe derrière ma chaise, et reste stoïque. J'ai du mal à rester en place. J'ai chaud, et je sais que mon frère a compris que quelque chose de bizarre c'est passé.
S'il sait ça, je vais me faire tuer. Il pensera que j'ai fait exprès de rentrer dans les toilettes des hommes ! Enfin bref. Je reste à attendre en essayant de me détendre. Ce n'est rien non ? Ça aurait pu arriver à n'importe qui ? Et de toute manière il y a bien plus important. Mon père est à l'hôpital. Je n'arrive pas à tenir en place. Je tape du pied, j'ai envie de bouger.
« Mama ? Je vais chercher du café et à manger tu veux quelque chose ?
- Oui, je veux bien, Rodrigo vous en voulez un ? demande ma mère.- Oui, s'il vous plaît, dit-il toujours sérieux.- Moi aussi j'en veux un s'il te plaît ! Me dit mon frère.-D'accord je reviens alors ! »Je me lève et commence à marcher en direction des ascenseurs. Je prends mon téléphone et j'envoie un message à Lilas.
De Katia à Ma vie :* <3 :
« Bébé, il m'est arrivé un truc de fou, je me suis tromper de toilette à l'hôpital et je suis rentré dans les toilettes des hommes, j'ai fait ce que je devais faire mdrr. Et en sortant je suis tombé nez à nez avec les éléments intimes d'un mec. J'étais gênée ! Bref, le pire c'est que c'est lui mon garde du corps ! »
« Alors, mes éléments intimes vous ont plus ? Me dit-il mort de rire.
- Je suis désolée, je pensais ne vraiment pas tomber sur quelqu'un ! Encore moins vous...- Je ne pensais pas non plus trouver une femme dans les toilettes des hommes, me dit-il.-Je ne veux pas que vous en parliez à mon frère. Ça doit rester entre nous et Lilas, sinon, lui dis-je en le menaçant.- Je ne risquerais pas ma place auprès de vous. »Je reste bouche-bée et souffle un coup. Je crois que je suis tombé sur un fou.
Je suis devant la cafétéria maintenant et j'attends pour prendre ma commande en plus de café pour tout le monde, j'ai pris des bonbons, du chocolat pour mon père et des pâtisseries pour nous. Je sens mon téléphone vibrer et j'aperçois un sms de Lila :
De Ma vie :* <3 à Katia :
« Mdr, sale folle ! J'espère au moins qu'il est bien foutu ! Sinon comment vas ton père ? »
Oh non elle n'est pas sérieuse de dire ça ? Je rigole discrètement !
De Katia à Ma vie :* <3
« T'es une folle ! Bah il doit être dans sa chambre donc je vais aller le voir ! »
Je range mon portable dans ma poche, et je laisse Alejandro prendre les cafés et je m'occupe des cochonneries. Nous remontons dans la salle d'attente, mais il n'y a plus personne. Il prend son téléphone et appelle Rodrigo qui lui indique qu'ils sont au troisième étage chambre 213 !
Nous prenons donc l'ascenseur une seconde fois pour les rejoindre. Nous arrivons enfin devant la chambre. Je reprends les cafés, les deux bodyguards prennent les leurs et leurs pâtisseries tandis que je vais rejoindre ma famille dans la chambre. Alejandro m'ouvre la porte et j'entre sous son regard plein de soutiens.
Je me dirige directement vers le lit de mon père et je pose tous ce que j'ai dans les mains sur la table en plastique blanc. Je me penche sur le lit et fait un bisou à mon père qui est encore un peu dans les vapes.
Il est entouré de perfusions, de machines en tout genre qui me prouve bien que la douleur et bien présente. Ma mère est sur une chaise et elle caresse doucement les cheveux de mon père, mon frère et sur le lit au pied de celui-ci. Je me pose sure la chaise qui se trouve vers la table à manger.
« Beba, je t'ai ramené des bonbons et du chocolat ! Je ne sais pas quand tu pourras en manger mais au moins tu auras un peu de réconfort !
- Merci benthi, me dit-il en esquissant un tout petit sourire qui montre bien qu'il a mal !- Je vous ai ramené du café et des gâteaux. »Je distribue le tout. Et nous commençons à papoter de ce qu'a dit le médecin. Il aura pas mal de rééducation à faire mais il ira mieux d'ici quelque jours !
Cela fait déjà 2 heures que nous sommes dans la chambre et mon père reprend partiellement conscience, mais l'infirmière nous demande de sortir et de rentrer chez nous. Les visites sont terminer et mon père doit se reposer. Nous lui faisons tous des bisous et je sors de la chambre.
Les larmes que je retiens depuis tout à l'heure sont de trop. Une fois que tout le monde est sorti, je pars en courant. Je suis encore qu'une enfant, et c'est tellement dure de voir mon père dans cette état. Tout ce que j'entends c'est une voix d'homme dire « Je vais la chercher »
Si c'est Alejandro je crois que je vais péter un plomb. Je me pose sur une chaise perdu dans un couloir et j'envoie un sms à Henri pour qu'il vienne me chercher. J'entends des pas arrivé vers moi. Et je reconnais les baskets et le jogging de mon jumeau.
« Tu nous le feras à chaque fois ? dit-il en soufflant
- Partir en courant lorsque j'ai peur de ce que je vois ou que je n'ai pas envie d'assumer mes larmes ? Ouais, je crois bien que oui.Il se glisse derrière moi, et me cale dans ces bras. C'est vrai que j'ai peur de ce qui pourrais nous arrivez, mais surtout ce qui pourrais arriver à mon père !
« Tu as demandé à Henri de venir nous chercher ? » Je hoche seulement pour lui dire que oui.
Nous finissons par descendre et rejoindre Henri qui nous attend devant la voiture. Nous montons et je retrouve le regarde vert d'Alejandro...
Je suis à la maison depuis 30 minutes déjà et je descends parce que nous devons contacter tous les invitées pour les prévenir que la fête aura lieux la semaine prochaine. Nous sommes sept et je pense que nous en aurions pour 2 bonne heures. Il y'a deux domestiques de la maison, Ines et Juan, nos gardes du corps, Camil, ma mère et moi. Nous attaquons la liste et nous finirons tard.
Cela fait 2h que nous avons commencé et ils ne nous restent une cinquantaine de personne à appeler. Il est 22h et je n'en peux plus. Je compose un numéro, la personne me répond et je me présente et la personne me dit qu'elle sera présente ainsi que ces enfants. Je raccroche et je coche positive pour la semaine prochaine....
Je sens quelque chose de musclé et me porter et monter des escaliers. Je ne reconnais pas le bras de mon frère. J'ouvre un peu les yeux et le regard vert d'Alejandro se pose sur moi.
Il me dépose dans mon lit et me recouvre de mon drap, tout en déposant ces lèvres sur mon front...
Je me réveille à 9h dans mon lit. Je suis toute habillé et j'ai du mal à me souvenir d'hier soir. Je me lève. Enlève mon jogging et mon t-shirt. Je reste en sous-vêtement choisis une tenue, je prends un jean slim noir et un body lacé bordeaux. Je prends mes sous vêtement en dentelle noir et je me rends dans ma salle de bain.Je me douche, me crème, m'habille et finis par sortir pour me maquillée. Je traverse ma chambre ouvre ma fenêtre et je me penche sur le rebord et j'aperçois Alejandro courir dans l'allée de notre rue. Je le regarde quelque instant et me demande si c'est bien lui qui m'a embrasser le front hier.Je finis par descendre, et je vais dans ma cuisine. Inès est en train de faire des crêpes, et je pioche dans la pile
Je suis avec mon papa depuis maintenant 1h, je lui raconte qu'on a tout déplacé pour lui et lui il me raconte ce que les médecins lui ont dit par rapport à sa blessure. Il va rester à l'hôpital encore quelques jours. En attendant il doit se reposé et moi je vais rentrer. Il n'a pas beaucoup dormi de la nuit puisqu'il a dû régler des histoires avec la police et des problèmes avec l'entreprise.Je sors donc de la chambre en repensant à Alejandro... C'est vrai qu'il me plait mais tout doit rester professionnel. Et surtout maintenant je dois trouver un petit ami qui s'appelle Alejandro !Je suis de nouveau dans la voiture avec mon bodyguard. Je sais pas trop quoi faire ni quoi dire. Je met mes écouteurs et je laisse Nekfeu envahir mes oreilles
J'enfile mon jogging ma brassière :« Je le connais à peine tu te tapes des films puce.- Mouais, tu sais il est pas mal, c'est le genre de mec qui te plait d'habitude. Pis même dans tes yeux ça se voit qui te plait, me dit-elle en mangeant des M&n's- Mais non, c'est parce qu'il est arrivé un truc à mon père que je m'attache à lui. Lui dis-je peu convaincu.- Moi c'est les chocolats qui me rassurent ! Pas les mecs ! »Je la regarde et explose de rire, à m'en tordre le ventre. Après une bonne tranche de rire, je prends une veste à capuche, et je la zippe jusqu'en dessous de ma poitrine. J'attache mes cheveux en queue de cheval et j'enfile ma paire de New balance 790 rose et noir.
2 jours plus tard : Aujourd'hui je dois voir le type du sms, je le sens mal, sachant que je vais devoir l'embrasser sans même le connaitre. Je me suis habiller simplement, un jean noir, un tee-shirt blanc, une queue de cheval et ma casquette nike. Rien de bien intéressant. Je me maquille légèrement les yeux, et met un rouge-à-lèvre kaki, et j'enfile mes gazelles dorées et prend mon sac à main noir avant de descendre rejoindre Alejandro qui m'attend en bas. Je ne le calcule pas et je vais directement m'installer dans la voiture. Je prends mon téléphone et j'enfonce mes écouteurs pour ne pas l'entendre. Nous arrivons au centre-ville et je ne tarde pas à descendre de la voiture. Je trace ma route directement au point de rendez-vous, devant le starbucks. Je reconnais le brun au yeux mar
Trois jours, Trois putain de jours qu'il est renter, et trois putain de jours qu'on ne se parle pratiquement pas. Il sais que je peux découvrir ce qu'il s'est passé. Mais il m'ignore la dessus. Je veux la vérité. Je veux qu'il me dise. Je sais qu'en séduisant un peu Alejandro, j'aurais les réponses que je veux. Mais je veux qu'elles viennent de mon père.Mais aussi dans ces putains de trois jours, j'ai continué de recevoir de sms de ce numéros inconnu. Toujours des messages mignons, mais qui commence à me faire peur, comme :De Inconnu à Katia :« Tu ne devrais pas te faire tant de soucis en ce qui concerne ton père. La vérité ne te feras que trop mal. P
Je suis toujours en train de courir avec Alejandro qui me suit derrière et qui sourit. Il passe devant moi et m'attrape par la taille. Il me plaque au même endroit que tout à l'heure.« Tu dois savoir que m'embrasser ou me mordre l'oreille ou le cou, me déstabilise de trop. Et que je te ne permet plus de faire ce geste si plaisant, il me déclare ceci tout en éloignant mes cheveux de mon épaule gauche et l'embrasse...-Mais qu'est-ce que tu fais... j'ai le souffle qui se coupe lorsque ses lèvres montent doucement dans mon cou.- Tu en a envie. Je le sais...-Mais Alejandro, no es possible, te sabes no ? No es possible, te sabes que es impossible, te esta mi guarda... Alejandro pare, pare... Oh es muy suave... Quand je stresse, ou que je suis dans un état second... je me met à parler en espagnol... Ma
Je suis posée sur mon transat dans mon bikini noir, en face de la piscine. Je me fais bronzer tranquillement quand une ombre passe devant moi. Je reconnais Alejandro, je me redresse et lui adresse un regard.« J'ai des nouvelles pour les sms, me dit-il- Oh enfin ? Oui dit moi !- C'est un homme, mais je ne sais ni son prénom ni son âge, c'est un téléphone prépayé acheter en bureau de tabac, il est inquiet, encore plus que moi.- Rien d'autre ? Tu n'as rien d'autre... Moi qui pensais que c'était toi... l'angoisse me monte au ventre.- Vous avez l'air angoisser, nous allons régler ça. Nous devons aller chez votre coiffeur aujourd'hui, à quel heure voulez-vous partir ? Il est trop sérieux... je n'aime pas quand il est comme ça.- Dans 1 heure je vais me préparer.
C'est le grand soir. Ce soir c'est notre anniversaire. Je suis entrain de me faire épiler avant de partir me faire coiffer, puis habiller. Je veux être parfaite ce soir. Je veux qu'on m'envie, qu'on me jalouse. Je veux être la reine de la soirée. L'étoile qui feras jalousé le soleil et la lune. Ce soir, je deviens une femme puissante.Je suis dans le salon de coiffure que j'ai privatisé pour moi et mes chéries. On se fait maquiller, coiffer, On se fait chouchouter. Je me faire faire un smoky eyes noir et dorée, des lèvres rouges, un contouring pour être bien mis en valeur. Je reçois un sms au moment ou Alejandro me dit amoureusement :De Body Guard à Katia :« Tu m'as pris
Mais c'est trop tard. Il a déchiré ma robe. Il est au dessus de moi et je suffoque...J'essaie de lui mettre des coups de pieds, mais une giffle viens s'abbattre sur mon visage.Je hurle et le griffe le plus possible. je me laisserais pas faire. Je peux pas vivre ça.'Mais laisse toi faire sale pute, de toute façon je te violerais quand même !"J'essaie de lui mettre des coups mais il les evite. Ma robe est de plus en plus déchirer. Et j'ai envie de mourir à l'instant. Je veux pas vivre ça.Je lui met un coup de pied. C'est le bon. Il se retrouve propulser sur le sol...Mais c'est Alejandro qui est là. Il se met sur lui et l'enchaine. Je hurle dans le fond de la piéce. Je suis en larmes, mais si fière qu'il n'est pas pu me toucher. Le poing de mon suaveur s'abat une nouvelle fois, encore, encore et encore. Le mec ne bouge presque plus mais il
D'une seule main il me rattrape par les hanches. Sa main toute chaude touche mon ventre dénudé et me procure des frissons intensent."Mais fait voir attention, t'as de la chance que je te suis comme ton ombre, je sens qu'il sourit en disant ça- Oh merci, il me rapproche de son corps et me colle à son torse"J'ai l'impression de plus rien entendre autour de moi. J'ai des papillons dans le ventre, je sens ses abdos musclé dans mon dos, sa main et encore sur mon ventre. Et la seconde touche mes cheveux. J'en oublie même que mon frère nous regarde, je me sens tellement en sécurité proche de lui.Son souffle chaud dans mon cou m'appaise et je me surpprend à sourrire.Il me retourne contre lui et me dis :"Tu as assez profité comme ça tu sais ? En me repoussant- Non, j'ai profité de rien du tout. C'est toi qui à profiter d'un mom
Il est au-dessus de moi. Il caresse doucement ma joue, essuie les quelques larmes qui y ont coulés, avant de m'attraper fermement par la taille et me serré contre lui. Je sens son parfum qui m'enivre et me fait oublier le désagrément que j'ai pu apprendre quelques minutes plus tôt. Son souffle chaud sur ma peau...Oh bordel... Mais est-ce qu'il n'aurait pas eu raison ? Je me sors de son emprise si chaleureuse.« Aller pousse toi ! Je dois me remaquiller avant de partir, lui dis-je en me relevant de mon lit.- Je te laisse faire, il se couche sur mon lit, sur son dos en croisant les jambes.- Mets-toi à l'aise surtout, je ne vais pas t'empêcher de te mettre bien. Je lève les y
C'est le grand soir. Ce soir c'est notre anniversaire. Je suis entrain de me faire épiler avant de partir me faire coiffer, puis habiller. Je veux être parfaite ce soir. Je veux qu'on m'envie, qu'on me jalouse. Je veux être la reine de la soirée. L'étoile qui feras jalousé le soleil et la lune. Ce soir, je deviens une femme puissante.Je suis dans le salon de coiffure que j'ai privatisé pour moi et mes chéries. On se fait maquiller, coiffer, On se fait chouchouter. Je me faire faire un smoky eyes noir et dorée, des lèvres rouges, un contouring pour être bien mis en valeur. Je reçois un sms au moment ou Alejandro me dit amoureusement :De Body Guard à Katia :« Tu m'as pris
Je suis posée sur mon transat dans mon bikini noir, en face de la piscine. Je me fais bronzer tranquillement quand une ombre passe devant moi. Je reconnais Alejandro, je me redresse et lui adresse un regard.« J'ai des nouvelles pour les sms, me dit-il- Oh enfin ? Oui dit moi !- C'est un homme, mais je ne sais ni son prénom ni son âge, c'est un téléphone prépayé acheter en bureau de tabac, il est inquiet, encore plus que moi.- Rien d'autre ? Tu n'as rien d'autre... Moi qui pensais que c'était toi... l'angoisse me monte au ventre.- Vous avez l'air angoisser, nous allons régler ça. Nous devons aller chez votre coiffeur aujourd'hui, à quel heure voulez-vous partir ? Il est trop sérieux... je n'aime pas quand il est comme ça.- Dans 1 heure je vais me préparer.
Je suis toujours en train de courir avec Alejandro qui me suit derrière et qui sourit. Il passe devant moi et m'attrape par la taille. Il me plaque au même endroit que tout à l'heure.« Tu dois savoir que m'embrasser ou me mordre l'oreille ou le cou, me déstabilise de trop. Et que je te ne permet plus de faire ce geste si plaisant, il me déclare ceci tout en éloignant mes cheveux de mon épaule gauche et l'embrasse...-Mais qu'est-ce que tu fais... j'ai le souffle qui se coupe lorsque ses lèvres montent doucement dans mon cou.- Tu en a envie. Je le sais...-Mais Alejandro, no es possible, te sabes no ? No es possible, te sabes que es impossible, te esta mi guarda... Alejandro pare, pare... Oh es muy suave... Quand je stresse, ou que je suis dans un état second... je me met à parler en espagnol... Ma
Trois jours, Trois putain de jours qu'il est renter, et trois putain de jours qu'on ne se parle pratiquement pas. Il sais que je peux découvrir ce qu'il s'est passé. Mais il m'ignore la dessus. Je veux la vérité. Je veux qu'il me dise. Je sais qu'en séduisant un peu Alejandro, j'aurais les réponses que je veux. Mais je veux qu'elles viennent de mon père.Mais aussi dans ces putains de trois jours, j'ai continué de recevoir de sms de ce numéros inconnu. Toujours des messages mignons, mais qui commence à me faire peur, comme :De Inconnu à Katia :« Tu ne devrais pas te faire tant de soucis en ce qui concerne ton père. La vérité ne te feras que trop mal. P
2 jours plus tard : Aujourd'hui je dois voir le type du sms, je le sens mal, sachant que je vais devoir l'embrasser sans même le connaitre. Je me suis habiller simplement, un jean noir, un tee-shirt blanc, une queue de cheval et ma casquette nike. Rien de bien intéressant. Je me maquille légèrement les yeux, et met un rouge-à-lèvre kaki, et j'enfile mes gazelles dorées et prend mon sac à main noir avant de descendre rejoindre Alejandro qui m'attend en bas. Je ne le calcule pas et je vais directement m'installer dans la voiture. Je prends mon téléphone et j'enfonce mes écouteurs pour ne pas l'entendre. Nous arrivons au centre-ville et je ne tarde pas à descendre de la voiture. Je trace ma route directement au point de rendez-vous, devant le starbucks. Je reconnais le brun au yeux mar
J'enfile mon jogging ma brassière :« Je le connais à peine tu te tapes des films puce.- Mouais, tu sais il est pas mal, c'est le genre de mec qui te plait d'habitude. Pis même dans tes yeux ça se voit qui te plait, me dit-elle en mangeant des M&n's- Mais non, c'est parce qu'il est arrivé un truc à mon père que je m'attache à lui. Lui dis-je peu convaincu.- Moi c'est les chocolats qui me rassurent ! Pas les mecs ! »Je la regarde et explose de rire, à m'en tordre le ventre. Après une bonne tranche de rire, je prends une veste à capuche, et je la zippe jusqu'en dessous de ma poitrine. J'attache mes cheveux en queue de cheval et j'enfile ma paire de New balance 790 rose et noir.