Partie 5 :
Ses phrases sont constamment coupées avant même de se terminer. Mes doigts habiles descendent jusqu'à ses testicules puis remontent vers son pénis que j'entoure avec et commence à faire des vas et viens. Là il ne devient plus que soupirs et gémissements. Je sens son pénis se durcir entre mes mains ce qui devient encore plus aisé pour moi de continuer mon boulot. Ma langue se pose sur son gland et tourne autour. Je sens sa respiration s'accélérer. Son corps est toujours maintenu par ma prise. J'engloutis son gland et je laisse ma bouche descendre sensuellement le long de son pénis lui arrachant encore plus de gémissements. Il a une très bonne taille, ma petite bouche de poupée métisse a d'ailleurs un peu de mal au début à s'y habituer. Je me lance dans de lentes montées et descentes le long de son pénis, puis j'accélère mes mouvements motivée par ses réactions. C'est tellement jouissif de l'entendre sortir autre chose que des insultes. La pression dans l'air est tellement sexuel que j'en mouille ma culotte. Ça fait trop longtemps que je n'ai pas fait ce genre de chose. Dans le plaisir il essaie de libérer ses mains. Je décroise alors mes pieds et soulève légèrement mes fesses pour lui permettre de récupérer ses mains. Je ralentis à nouveau mes mouvements ce qui ne semble pas lui plaire parce que les secondes qui suivent je sens sa main empoigné mes tresses et me forcer à accélérer mes mouvements. Il me baise carrément la bouche, ce qui est loin de me déplaire. Je mouille encore plus! C'est dingue, j'ai envie de sentir sa bite que je m'acharne à sucer en moi. Oui ça fait vraiment longtemps mais non c'est pas comme ça que c'est censé se passer....j'attrape son poignet et retire sa main de mes cheveux avant de ralentir le rythme à nouveau quand je sens qu'il va bientôt se libérer. Je descends et remonte une dernière fois avant de retirer complètement ma bouche à la dernière seconde. Désolée mais je n'avale pas ça... Un jet de sperme jaillit sous mes yeux dessinant sur mon visage un sourire de satisfaction. Je l'entends respirer bruyamment dans mon dos. Je me retourne faisant face à lui cette fois ci. Il a les yeux rivés vers le plafond et la respiration courte. J'attends que ça se stabilise un peu…
Moi: maintenant tu as le droit de me traiter de pute.
Son regard descend et rencontre le mien. Ce ne fut que de courte durée. Je quitte sur lui et descends du lit par la même occasion puis je sors de sa chambre claquant la porte derrière moi. Mais au lieu de continuer jusqu'à l'extérieur je m'arrête là et me plaque contre la porte pour récupérer un peu de mes émotions. Je respire un bon coup et je serre les cuisses pour faire passer l'envie de franchir à nouveau cette porte et me faire plaisir d'une tout autre façon. Mais en fait qu'est-ce que j'ai foutu?... Je n'aurais jamais dû faire ça! Putain pour une vengeance c'est plutôt raté et puis qu'ai-je voulu prouver au juste?... Pfff j'ai encore le goût de sa bite dans ma bouche, c'est étrange. Je m'évertue à reprendre mes esprits et je sors finalement de la maison. J'inventerais un truc pour Matilde plus tard.
Je m'empresse de sortir de là avant qu'ils n'arrivent et j'emprunte un taxi pour chez moi. Dans le taxi mon téléphone sonne et je sais pas pourquoi mais je manque quelques battements avant de m'apercevoir que ce n'est que Matilde. Elle doit déjà être chez elle, on peut dire que je l'ai échappé belle. Je me calme et je décroche.Moi: allô?
Elle: oui c'est comment t'es ou?Moi: dans le taxi retour pour chez moi.Elle: Kayden t'a fait quelque chose? Pourquoi t'es parti?Moi: non il ne m'a rien fait juste j'ai eu une urgence... On reporte juste.Elle: hmmm bizarre, lui aussi est étrange.J'avale ma salive de travers....
Elle: en tout cas ok, quand t'es libre tu me fais signe et tu passes à la maison.
Moi: m'ouais justement à propos de passer chez toi...est-ce que...on ne pourrait pas reporter ça ailleurs.Elle: j'en étais sûre il t'a fait quelque chose.Moi: mais non roohh...Elle: tu veux pas me dire ce qu'il a fait, je vais lui demander.Moi: écoutes ton frère ne m'a rien fait.C'est plutôt moi qui lui ai fait un truc d'ailleurs.
Elle: bon alors c'est quoi le problème? Tu passes quelques minutes ici seule avec lui , tu t'en vas précipitamment et tu ne veux plus revenir. Et tu veux me faire croire qu'il ne s'est rien passé?
Moi: bon okay ce sera chez toi.Elle: hmmm cette histoire n'est pas encore clair.Moi: laisses ton frère tranquille, je reviendrai une autre fois.Elle: hmmm oki.Moi: bon à plus.Elle: bisous.Mais qu'est-ce que j'ai fais?.... Pfff...bon bon peu importe ce qui se passe après tu dois simplement affronter la situation la tête haute. Je dois vite rentrer chez moi et prendre une douche. Pitié que ça ne retombe pas sur moi! Je suis , je ne suis pas le genre femme fatale qui s'en fiche de tout alors que ça reste un secret. Pourquoi j'ai taillé une pipe à ce type ?! Non mais pourquoi! pourquoi! pourquoi! Et puis lui aussi au niveau de la volonté hein. Si il avait plus résister, je serais parti simplement honteuse.... Ou peut-être que j'aurais insisté? En tout cas encore heureuse qu'il ne m'ai pas à nouveau giflé sinon cette fois j'aurais croqué son pipi.... Ouais bon bref! Je viens de faire une énorme connerie!
……………………<<Cécile>>…………..........
Dans une trentaine de minutes environ on sera à Lwami. On a quitté Franceville en voiture il y a quelques heures, juste après avoir atterri autant dire que nous sommes très fatigués. C'est Edward qui conduit tandis que moi j'observe le paysage. Je ne suis pas encore arrivée au village qu'une certaine joie m'envahit. Je suis contente de retrouver les paysages typiques de cet endroit. Pour le moment j'évite de penser que c'est l'enterrement de mon père qui me mène en ces lieux. Quand nous sommes quittés de Libreville Tante Anne est venu nous dire au revoir avec Germain et Matilde. D'ailleurs elle est censée nous rejoindre dans trois jours selon ce qu'elle m'a dit, elle finit d'abord quelques trucs au boulot.
Lui: Cécile tu vas bien?
Moi: …Les premiers mots qu'il m'adresse depuis que nous sommes dans cette voiture. Je ne sais pas ce qui se passe en ce moment mais je sais qu'il s'éloigne à nouveau de moi même si il fait en sorte de ne pas trop le montrer.
Moi: oui ça va.
Lui: tu m'as l'air absente, perdue dans tes pensées.Moi:...Lui:...Moi: je réfléchis effectivement.Lui: à quoi?Moi: à rien...Lui: quand on va arriver ils seront en pleine veillée.Moi: je sais...Lui: tu vas donc voir son corps.Moi: oui je sais Edward.Lui:...Moi: mais là c'est pas l'objet de ma pensée.Lui: …Maman souhaitait enterrer papa rapidement comme lui Même l'aurait souhaité et quand elle a su que je venais aujourd'hui. Elle a décidé de faire la veillée du corps ce soir.... l'atmosphère redevient silencieuse. Il y a comme une sorte d'animosité entre nous deux. C'est vrai que depuis que j'ai appris la mort de papa, j'ai eu à avoir des comportements qui ne lui ont pas forcément plu mais j'ai l'impression que le problème ne vient pas de là. Il est assez distant avec moi et même si il essaie de ne pas le montrer , Moi je le vois très clairement.....
Nous entrons enfin dans le village, se rapprochant un peu plus de la dépouille de mon père. Une drôle de douleur me prend à la poitrine quand j'y pense. J'ai le cœur lourd. Aurais-je peur de le voir?...de toute façon je n'ai pas le choix. Je domine ce sentiment et il passe aussi vite qu'il est arrivé. Il nous a encore fallu un moment pour arriver devant chez moi. Une triste vue s'offre à nous lorsqu'Edward gare la voiture. Il y a beaucoup de personnes autour de la maison, on entend jusqu'ici les pleurs ou juste le bruit des bavardages. La majorité des personnes présentes sont des femmes, il y a vraiment très peu d'hommes. En même temps le deuil c'est pas vraiment le truc des hommes, les femmes viennent plus pour soutenir maman je pense. Mais je me pose une question, pourquoi des pleurs? Papa était-il quand même aimé de quelques personnes dans ce village?.... Bref! Je ne m'attendais pas à voir la moitié du village chez moi mais bon..... Edward coupe le moteur et descend de la voiture. Moi j'ai dû mettre quelques secondes pendant lesquels je me demandais si je devais vraiment sortir. L'étrange angoisse qui me pris en entrant dans le village, refit surface. Je regardais la poignée de la portière sans pour autant vouloir l'ouvrir. À ce moment là je ne voulais pas sortir de cette voiture.Lui: Cécile?
Comme pour me demander ce qui se passe. Je ne réponds pas et m'empresse de descendre de là. Je n'ai pas le choix me dis-je à nouveau.
Pourtant il y a toujours cette étrange angoisse là qui me rend le cœur lourd. Edward me regarde inquiet tandis que je m'avance vers les cases. Je détourne mes yeux des siens pour pouvoir continuer. Je marche un pas devant l'autre, les pleurs me parviennent au fur à mesure que j'avance et je distingue clairement le corps de mon père qui semble posé sur une natte au sol. Il est recouvert d'un drap blanc mais je sens bien que ça me fait quelque chose. Mon cœur devient de plus en plus lourd. Mais qu'est-ce qui m'arrive?...Sans même que je ne m'en rende compte mes pas s'arrêtent subitement comme si je ne voulais plus avancer. Edward arrive à mon niveau et me prend la main.Lui: tu vas bien?
Je n'ai pas envie de répondre, je ne suis pas sûre d'aller bien. Pourquoi ai-je autant mal à la poitrine?...Quand j'ai appris sa mort je n'ai rien ressenti alors pourquoi maintenant que je dois aller le voir ma poitrine se sert autant?...non!
Je recommence à avancer. Edward me suit me tenant toujours la main. La distance entre le corps et moi se réduit de plus en plus et les pleurs s'intensifient me donnant mal à la tête. Puis là dans cette foule, près du corps de mon père j'aperçois maman pleurant dans les bras d'une femme qui tente tant bien que mal de la calmer. Je m'arrête à nouveau sans qu'Edward n'y comprenne rien. Maman se met subitement à parler.Elle: Robert oh! Pourquoi oh? Réveilles-toi stp réveilles-toi!...tu me laisses avec qui? Tu laisses ta fille avec qui?...moi je n'avais que toi ici oh!
Puis se détachant de la femme elle se met à secouer le corps de papa.
Elle: réveilles-toi oh!... Réveilles-toi Robert!..
La femme l'arrête et la reprend dans ses bras. Cette Scène me brise le cœur. Maman continuait de pleurer, de crier. Je n'ai pas pu supporter, les larmes se sont mises à couler.
Edward: Cécile?
Moi: non!Je me suis écroulée à genoux. Les larmes n'arrêtaient pas de couler. Je ne veux pas avancer, je ne veux pas avoir à affronter ça. Mon père était un homme horrible avec mère pourquoi le pleure-t-elle ainsi? Et moi pourquoi ai-je si mal? Edward me lâche et s'accroupit à mon niveau.
Lui: Cécile...
Moi: papa est mort...sniff...sniff...il est vraiment mort Edward...sniff...sniff…Je pleurais vraiment comme si tout ce temps je m'étais retenue. Toutes mes émotions se libèrent. La tristesse, une énorme tristesse et un grand vide.
Edward s'est penché pour m'enlacer mais je ne voulais pas. C'est cet endroit, je ne veux pas rester ici. Les pleurs de ma mère, ses cris désespérés vers la dépouille de mon père, toutes ces personnes. Non je ne voulais pas rester ici. Je me suis dégagée de ses bras, me suis levée d'un coup et j'ai fuis. J'ai fuis cet endroit aussi vite que j'ai pu. Maintenant que je m'en rappelle j'ai toujours adopté cet attitude à chaque fois que la situation m'échappait, courir pour fuir mes problèmes.Les larmes qui se fondent au vent et le cœur battant comme d'habitude j'atterri devant le seul endroit où je me suis toujours sentie libre. J'étais à bout de souffle, j'essayais de le reprendre tant bien que mal. Entre deux respirations j'ai quand même pris le temps de crier son nom.Moi: ASTRIDE!!
…………………………<<Astride>>………………………
...:ASTRIDE!!
Ce cri m'a fait sursauté! Mais pas parce que je ne m'y attendais pas. Dites-moi que je rêve? je jurerais que c'est la voix de Cécile. Mais c'est pas possible non?
Je me précipité vers l'extérieur avec une certaine lueur d'espoir. Après tout son père est décédé c'est normal qu'elle assiste à ces funérailles.Quand j'ai mis le nez dehors, je l'ai vu qui avait du mal à respirer. C'était bien elle! C'était Cécile! À ce moment mes yeux se sont remplies de larmes. Nos regards se sont croisés et j'ai remarqué qu'elle aussi était en larmes.Elle: sniff...sniff...papa, papa est vraiment mort...sniff...sniff..
Ce sont les seuls mots qu'elle a prononcé avant de s'écrouler. Je suis heureuse de la revoir.
…………………….<<Edward>>…………………………..
Quand elle s'est enfui au départ j'ai voulu lui courir après...mais j'ai très vite abandonné l'idée. Elle a sans doute besoin d'être seule. Je savais que sa non tristesse était une façade mais j'avoue que j'aurais bien voulu que ce soit vrai. Ça m'aurait soulagé la conscience qu'elle ne soit pas trop triste, mais là ça me brise le cœur. Je n'ai pu supporter de la voir comme ça mais en même temps étant responsable de la situation je ne savais pas comment m'y prendre. Je me sens tellement coupable que je n'ose pas trop l'approcher. C'est pénible!... Je vais la laisser quelques temps seule avant de me mettre à la chercher. Mais pour l'instant je veux me rendre utile ici autant que possible.
Partie 6:……..…………<<Astride>>………………Elle tire le rideau et entre dans la case. Elle me trouve accroupi devant du feu.Elle: mais qu'est-ce que tu fais?Moi: euh et bein je te réchauffe à manger.Elle: non c'est bon je n'ai pas faim.Elle s'assoit sur un des tabourets.Moi: oui tu as aussi dis ça hier. Mais il faut que tu manges maintenant tu as besoin de reprendre des forces.Elle: hmmm…Quand elle est arrivée ici hier, on ne s'est rien dit, on a rien échangé, elle n'a fait que pleurer dans mes bras toute la nuit. J'ai essayé de la consoler mais en vain. Je n'ai pu que l'accompagner du mieux que je pouvais. Elle a l'air d'aller vraiment mieux depuis son réveil. Elle n'est même pas rentrée hier et elle a manqué l'enterrement de son père.
Partie 7:Après ces mots je n'avais plus du tout envie de lui dire non. De toute façon comme je l'ai dit plus haut je n'avais pas de force pour faire quoi que ce soit. Je me suis donc approchée de lui après avoir retiré le reste de mes vêtements et je me suis assise sur le tabouret. Il a commencé à me laver. C'était un peu étrange, pourtant ce n'est pas la première fois qu'on prend une douche ensemble. Quoi que la je suis là seule à être nue et je suis là seule qu'on lave. J'ai l'impression d'être un bébé,pourtant ce n'est pas juste une douche qu'il donne à sa femme affaiblie, non y avait de la sensualité dans l'air. Bref c'était étrange et bon à la fois. Il m'a même lavé les cheveux. À la fin il est allé chercher une serviett
Partie 8:
Partie 9: .................<<Cécile>>……………..Il va encore rentrer tard ce soir. Il est déjà 20h et il n'est toujours pas là. Franchement il l'a déjà fait combien de fois?...suis-je bête?...j'ai cru qu'en venant ici, tout ce que j'avais imaginé disparaîtrait mais bon, ce n'était pas mon imagination mais bel et bien la réalité. Il m'évite à nouveau. Il sort tôt chaque matin et rentre tard quand je suis déjà couchée avec pour seul prétexte l'aide qu'il apporte aux villageois. Non mais quel excuse! Aider les gens ne veut pas dire délaisser sa femme! Et d'ailleurs pourquoi il les aide même? ...pourquoi il fait tout ça? Pourquoi il joue les bons samaritains tout d'un coup?...j'ai mal à la tête à force d'avoir une pensé
Partie 10:……………<<Sophie>>…………Moi: c'est pas encore fini?Ça fait un moment que la fête bat son plein et d'ailleurs Matilde et moi venons de finir de nous préparer dans la seconde chambre de l'appartement qui soit dit en passant est juste magnifique. Ah quand j'aurai mon bac , dad va m'offrir quoi même? ...Germain a eu la voiture, l'appart, une méga fête. C'est juste trop beau pour être vrai.Matilde et moi avons aidé à préparer la fête toute la journée et à vrai dire même pour moi qui suis toujours en forme pour faire la fête, là je ne suis pas vraiment d'humeur. Et je vous rassure ça n'a aucun rapport avec Kayden. Ça va j'ai eu le temps de me faire à l'idée que j'ai couché avec lui, sa présence ne me dérangera
Partie 11:……….<<Sophie>>…………Lui: <<tu viens me rejoindre?>>Moi:…Encore lui! Kayden vient à nouveau de m'envoyer un message. Franchement j'admire la persévérance dont il fait preuve, je lui réponds à peine voir pas du tout mais il insiste. Encore un autre message qui passera aux oubliettes. Par contre vu le message il doit être au courant que je suis chez eux en ce moment.Matilde: concentres-toi sur moi au lieu de ton téléphone.Moi: aka j'ai le droit de faire une pause quand même.Elle: non finis d'abord.Moi: bon okay….Aujourd'hui Matilde est mon cobaye. Je suis pas très douée en maquillage malgré tous les produits que j'ai. Je me débrouille mais je dois encore me perfectionner. du coup je ne sais pas trop comment lui est venu l'idée m
Partie 12 : ……………<<Germain>>…………..C'est aujourd'hui que j'emménage dans mon appart. Depuis que maman m'a remit les clés je ne m'y suis pas encore installé , d'ailleurs la seule nuit que j'ai passé ici c'était le jour de ma petite fête. L'appartement est déjà tout équipé, les parents ont pensés à tout du coup je dois juste apporter mes effets personnels et mes vêtements. Matilde et Kayden m'aident. Là nous sommes entrain de vider ma chambre de tout ce qui me sera utile dans ma nouvelle maison. Mine de rien ils vont me manquer. Y aura plus personne pour débarquer dans ma chambre quand je m'y attends le moins, la squatter, leurs disputes bêtes. Ouais ça va me manquer.Kayden: rooh mais Matilde bouges! Tu vois pas que je veux passer?Il po
Partie 13:…………<<Sophie>>…………Je mets mes talons qui heureusement pour moi ne sont pas aiguilles. Pardon les problèmes oh! Ça surprendra surement mais je suis plutôt masculine comme fille. Oui j'aime faire du shopping, je suis fille à papa et je me maquille mais j'adore aussi faire du sport, foot, karaté c'est moi-même qui ai prit l'initiative . En gros disons que j'ai un bon mélange des deux cotés.Une fois mes talons aux pieds, je m'avance vers le miroir pour vérifier de quoi j'ai l'air. Le résultat est plutôt satisfaisant ma fille. Je suis agréable à regarder même pour moi-même avec ma jupe qui moule parfaitement mes formes et mon débardeur. Les deux se marient bien ensembles et les talons apportent un plus. Ce sont mes cheveux naturels que
Épilogue:**4 ANS PLUS TARD **.....<<Sophie>>.....Je n'arrête pas de me bouger dans mon sommeil ce qui attire son attention.Lui: Bon Sophie qu'est-ce qu'il y a ?Moi: oh tu ne dors pas ?Lui: quand tu gesticules comme ça, comment pourrais-je arriver à dormir?Il a l'air un peu agacé dans sa façon de parler. Ça me fait rigoler intérieurement. Je me retourne pour me retrouver face à lui.Moi: mais ce n'est pas de ma faute, c'est la faute de ton enfant qui a faim.Lui: comme par hasard il n'a trouvé que cette heure-ci pour avoir faim.J'avoue qu'il est tard. Il doit être 3h du matin je crois mais bon...Moi: roohh....Lui: bon je vais te faire quelque chose à manger.Moi: je veux juste des cornichons.Lui: toi et tes cornichons là, c'est la nourriture ?Moi(faisant les yeux d
Partie 76 ***DEUX JOURS PLUS TARD***.....<<Amandine>>.....Je cogne avant d'entrer dans le bureau. Elle est assise sur son siège. Quand elle me voit entrer, un sourire se dessine sur son visage.Dr Naomie: Amandine. (sourire)...Moi: Bonjour docteur.Dr Naomie: tu vas bien?Je m'avance et prend place sur le siège en face de son bureau.Moi: oui je vais bien et vous?Dr Naomie: je vais très bien également. (sourire)...Moi: (sourire)...Dr Naomie: dis-moi qu'est-ce qui t'emmène ? Tu n'es pas juste là pour me saluer je suppose.Moi: c'est vrai...Dr Naomie:....Moi: je suis revenue pour le même problème.Je n'arrête pas de repenser à cette possibilité de ne plus pouvoir avoir d'enfant. Ça m'angoisse énormément. Même si c'est pas ma v
Partie 75:.....<<Cécile>>.....Je reprends conscience et mes yeux s'ouvrent peu à peu. Ma vision floue au départ, s'éclaircit et je tombe sur un plafond blanc. J'ai un peu la tête qui tourne et le corps engourdit. J'ai une sorte de masque à oxygène devant la bouche. Je le pousse sur le côté car il me gêne, je remarque ainsi le perfuseur sur ma main. Suis-je dans un hôpital ?J'essaie de me redresser pour observer les lieux mais je suis rapidement gênée par mon ventre que je sens lourd tout à coup. Mon regard se pose instinctivement dessus et il a augmenté de volume.Moi: qu'est-ce qui se passe ?... : nous sommes à l'hôpital... Essaie de rester calme s'il te plaît.C'est maintenant que je remarque la présence d'Edward. Il se lève de son siège et s'assoit sur le lit. Il m'aide &agrav
Partie 74 .....<<Cécile>>.....J'ai dû trouver le courage de me lever pour venir dans cette salle de bain. Je me sens tellement mal. J'ai pleuré toute la journée, je n'ai rien pu faire d'autre. À un moment j'ai espéré. Espérer le voir revenir mais au fur et à mesure que la journée s'écoulait, mon espoir s'effaçait également. Il est 22h et toujours pas de signe de lui. Je me suis faite à l'idée depuis. J'ai essayé de comprendre, de comprendre pourquoi malgré tout ce que j'ai fait ou dit il y est allé. Edward a toujours été un homme têtu mais là ça lui a coûté la vie. L'homme que j'aime n'est plus et je me sens terriblement seule et mal. À part la profonde tristesse que je ressens, je suis également dégoutée de
Partie 73:.....<<Cécile>>.....J'ouvre les yeux. Immédiatement les souvenirs de la veille refont surface. Toutes les révélations, tous les actions. J'ai mal à la tête et je suis vraiment fatiguée. J'ai pratiquement pleuré toute la nuit avant de m'endormir.Je regarde sur le lit et Edward n'est pas là. Mon cœur commence tout de suite à battre la chamade. J'ai un mauvais pressentiment mais je ne veux pas céder à la panique tout de suite. Je me redresse.Moi: Edward.Une fois, deux fois, trois fois. Au fur et à mesure que je prononce son nom sans succès, mon espoir s'effondre. J'ai mal à la poitrine. Il n'est pas là je le sais, il est parti. Malgré tout ce que j'ai dit, il y est quand même allé. Je me recouche, les larmes ont déjà recommencé à couler. C'est pa
Partie 72 .....<<Cécile>>.....Non, non, non. Je n'arrive pas à y croire. Toutes ces révélations me donnent mal à la tête. D'abord la mort d'un enfant dont j'ignorais l'existence et maintenant celle de mon père ? C'est pas possible.Moi: qui te donnait le droit de faire celà Edward ? Pourquoi ? Que t'a-t-il fait ?Lui:...Mes larmes continuent de couler.Moi: pourquoi Edward?.. Snif... Snif...Lui: sur le coup je me suis dit que tu n'avais pas une bonne relation avec lui alors...Moi(l'interrompant) : de quel droit tu as pensé ça ? Donc comme il était un mauvais père il méritait de mourir ?!.. Snif...Lui:...Moi: sa vie valait moins que la mienne, valait moins que celle de ta mère ?Lui:...Je suis dépassée vraiment, c'est just
Partie 71:.....<<Cécile>>.....Je ne respire plus depuis environ une minute maintenant. Tout devient noire et c'est à ce moment que j'entends un sifflement aiguë provenant du serpent puis l'étreinte se relâche. Je tombe au sol, reprenant immédiatement mon souffle. Je respire rapidement et bruyemment tandis que mes yeux qui avaient laissé échapper quelques larmes, se lèvent, tombant sur Edward. Ekat a disparu.Il se baisse rapidement à mon niveau.Lui: Cécile........<<Edward>>.....Je suis couché dans mon lit mais je n'arrive pas à fermer l'oeil et je sais déjà que je n'y arriverai pas. J'essaie de me convaincre que j'ai fait le bon choix et pourtant ce sentiment du contraire n'arrête pas de me quitter. Je le mets sur le coup de la tristesse. C'est fini maintenant, Cécile n'est plus ma femme.
Partie 70 .....<<Cécile>>.....Je n'arrête pas de faire tourner ma paille en rond à l'intérieur de mon verre. Je suis un peu, non beaucoup stressée. Habituellement il arrive toujours avant moi mais là pour le coup ça fait déjà une trentaine de minutes que je suis là et il n'est toujours pas arrivé. J'ai commandé une boisson en attendant.Ça fait un peu plus de trois semaines que l'incident avec Frédérick a eu lieu et je n'ai trouvé le courage de lui écrire qu'hier. Enfin je lui ai demandé si on pouvait se voir. Il m'avait fait un message le lendemain de cette soirée pour s'excuser mais je n'y avais pas répondu. J'avais peur et honte à la fois. Je ne savais pas quoi lui dire si je répondais. C'était pas à lui de s'excuser mais &agra
Partie 69:.....<<Germain>>.....Je suis assis au salon attendant le retour de maman. Deux jours se sont écoulés depuis que j'ai appris pour la grossesse de Melissa. J'ai préféré ne pas tarder pour l'annoncer aux parents. Je vais en profiter pour parler également du fait qu'Astride soit enceinte. En gros je viens avec beaucoup de nouvelles et j'appréhende un peu la réaction de maman. J'avais dit à Matilde de ne rien lui dire, je voulais le lui annoncer moi même.Je n'ai plus revu Melissa depuis et je ne la cherche pas. Le lendemain de la nouvelle, j'ai réuni ses affaires et je les ai laissé avec le gardien de l'immeuble avant de la prévenir pour qu'elle puisse les récupérer. C'est le dernier "contact" que j'ai eu avec elle.Après quelques minutes, maman fait son entrée dans la maison. J'avais mon tél&eacut